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300 000 vaches importées pour résorber la crise du lait

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  • 300 000 vaches importées pour résorber la crise du lait

    Annoncé par M. DjaÂboub, ministre du commerce
    300 000 vaches importées pour résorber la crise du lait

    La facture importation de poudre de lait s’envole : 1,3 milliard de dollars contre 700 millions de dollars l’année dernière.
    Selon le ministre du Commerce, M. Djaâboub, le phénomène de la flambée des prix des produits sur le marché national est le fait de la mondialisation. L’Algérie subit d’une manière directe les fluctuations des tarifs qui interviennent dans le commerce international et ne peut échapper à une telle situation. Le ministre du Commerce estime que la population accueille avec satisfaction la hausse des cours du pétrole au plan international, mais elle doit dans le même temps accepter les prix pratiqués par les pays producteurs d’autres produits. Il cite comme exemple les prix de la poudre de lait, du blé tendre et du blé dur qui enregistrent actuellement une augmentation importante sur le marché mondial.
    Des quantités considérables de ces produits sont importées et par conséquent, expliquera le ministre, leurs tarifs augmentent localement. “Nous subissons inévitablement cette hausse”, indiquera-t-il. Toutefois, quand ces bouleversements dépassent les limites et portent atteinte au pouvoir d’achat du citoyen, l’État intervient soit par l’achat de quantités du marché pour que les prix augmentent légèrement afin de ne pas pénaliser l’agriculteur ou le producteur soit en les achetant pour les stocker dans le but d’augmenter l’offre et baisser par là même les prix. Devant cet état de fait, le département de M. Djaâboub propose deux mécanismes pour une meilleure régulation du marché.
    Il s’agit de la création d’un office national pour les légumes tels que la pomme de terre, l’oignon, l’ail…, afin de pouvoir concrétiser l’autosuffisance qui demeure, selon le ministre, “une chose possible et réalisable”. Pour la pomme de terre, M. Djaâboub dira : “En consacrant chaque année 50 000 hectares pour sa production et avec une productivité de 40 000 tonnes/hectare, nous pourrons produire plus de 2 millions de tonnes.” Avec de telles quantités, l’Algérie deviendra, a déclaré le ministre, un pays autosuffisant et pourra même exporter la pomme de terre. L’office aura pour tâche de faire en sorte que ces légumes soient produits localement avec des quantités suffisantes à travers des aides de l’État pour que les prix se stabilisent à des niveaux raisonnables. Et en cas d’excédent dans la production, l’office prendra en charge ce volet en achetant ces quantités auprès des agriculteurs. Ces derniers ne vont pas ainsi souffrir de cette situation. En cas de rareté d’un produits, due, entre autres, à des catastrophes naturelles, l’État devra malheureusement, dira M. Djaâboub, recourir à l’importation.

    148 000 tonnes stockées dans les chambres froides
    Une chose est certaine, la raison d’être de cet office est d’offrir sur le marché des quantités suffisantes de ces produits à des prix raisonnables et abordables pour le simple citoyen. Le ministère de tutelle a proposé aussi au gouvernement la création d’un fonds national pour la subvention des prix. C’est un second levier qui a pour objet de stabiliser les prix. Pour réduire un tant soit peu les méfaits de la crise qui secoue la filière de la pomme de terre, les agents du commerce ont procédé au contrôle de 1 200 chambres froides recensées à travers le pays depuis le 20 août dernier. Les contrôleurs ont pu trouver globalement environ 148 000 tonnes de pomme de terre stockées. “Ce n’est pas un stockage à des fins spéculatives, mais plutôt un fait naturel”, avouera M. Djaâboub dans l’émission “Tahaoulat” de la radio Chaîne I. Car, arguera-t-il, ces quantités ne vont pas suffire pour satisfaire les besoins des mois d’août et de septembre puisque la consommation mensuelle du tubercule est évaluée entre 90 000 tonnes et 100 000 tonnes. D’où la décision d’importer quelque 100 000 tonnes prises conjointement par les ministères du Commerce et de l’Agriculture. Son importation était trop chère et sa commercialisation localement le serait immanquablement. Ce qui a poussé la tutelle, affirmera le ministre, de supprimer les droits de douanes et la TVA aux importateurs pour la vendre à des prix raisonnables sur le marché local. Il a été importé jusque-là, soulignera le ministre, quelque 35 000 tonnes de pomme de terre.
    L’aide de l’État pour la pomme de terre a coûté le montant de 2 milliards de DA. Ces opérations d’importation n’ont pas pu faire baisser les prix. Car, le consommateur algérien n’a pas acheté la pomme de terre importée, mais a préféré la locale très convoitée pour sa bonne qualité et par voie de conséquence son prix est resté élevé. Reconnaissant la cherté de ce produit, M. Djaâboub estime qu’un kilogramme “à 35 DA est souhaitable, à 40 DA est acceptable, mais à 45 DA il est inadmissible”.

    Réunion interministérielle sur l’augmentation des prix de la semoule
    Abordant la filière lait, l’invité de radio Chaîne I précisera que l’Algérie importe chaque année environ 100 000 tonnes de poudre de lait pour un montant de 700 millions de dollars. Avec la hausse des prix de ce produit sur le marché international, le montant sera revu à la hausse et atteindra 1,3 milliard de dollars/an. La solution telle que préconisée par le ministre de l’Agriculture réside dans l’importation de 300 000 vaches laitières avec une productivité de 4 000 litres/vache/an, et en utilisant des techniques modernes dans ce domaine, l’Algérie pourra satisfaire ses besoins en lait dont la consommation annuelle est de 3,5 milliards litres. Un objectif réalisable dans les trois années à venir. Concernant la semoule dont les prix ont dépassé le stade deal tolérance, une réunion qui regroupera les ministères de l’Agriculture, du Commerce, l’OAIC et les propriétaires de semouleries est prévue pour la semaine prochaine. La flambée des prix de ce produit sera abordée et des solutions seront dégagées. Pour montrer l’ampleur du phénomène de l’informel, M. Djaâboub a, en outre, indiqué que 60% des fruits et légumes suivent le circuit parallèle. Dans ce cadre, le ministre a présenté hier au Conseil de gouvernement l’avant-projet d’un amendant la loi sur la concurrence qui porte essentiellement sur la modernisation des mécanismes de régulation.


    Liberté
    La calomnie est une guêpe qui vous importune et contre laquelle il ne faut faire aucun mouvement

  • #2
    300.000 vaches sur combien d'années?
    .
    .
    ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
    Napoléon III

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    • #3
      4000 litres vache/an. 300000 vaches. Donc 1,2 milliard de litres.
      les algériens consomment 3 milliards et qlq de litre par an. l'algérie en produit 2milliards.
      C'est bien, encore faut-il piloter tout cela et faire en sorte que 300000 vaches produisent la quantité initialement voulue.
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #4
        300 000 vaches pour qui , vendues à qui ? à un office, à des grandes laiteries privées ?

        ça veut dire quoi l'Algerie importe 300 000 vaches ?
        l'Etat va les donner, distribuer à des paysans /eleveurs ?

        ça m'enerve, ça m'enerve..., ça m'enerve..



        mais bon va pour les importations de vaches mais faudrait un bon dispositif pour aider les petits éleveurs (10 à 40 vaches laitieres) à se moderniser et à produire du lait en s'associant pour faire tourner leurs petites ou moyennes laiteries modernes payées avec des prêts bon marché ou bonifiés par l'Etat.



        Je crois que si j'etais en Algerie, je me lancerais dans la vache laitiere et la production de lait avec quelques paysans eleveurs de vaches laitieres . de quoi acheter à credit une petite laiterie tip top dernier systeme . cela devrait faire de bons revenus . Cela me parait un bon creneau .

        .

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        • #5
          Salut Sioux foughali :
          Ce serait mon rêve... on s'associe ?
          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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          • #6
            Dzmes Bond,..qui sait ?

            La prochaine fois que je vais en Algerie, c'est à dire probablement au printemps prochain , avril peut être , je vais voir ce qui ce fait dans un coin, faut voir d'abord l'offre à l'echelle de 4 ou 5 dairas et voir aussi s'il ya plusieurs autres paysans proprietaires de vaches ..et reflechir et après sait on jamais . et ferai peut être des suggestions à ma tante , son mari et quelques uns de leurs enfants.

            Ils ont un peu de boeufs et des vaches , y a de l'espace et de l'eau ......qui sait ??

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            • #7
              ça veut dire quoi l'Algerie importe 300 000 vaches ?
              l'Etat va les donner, distribuer à des paysans /eleveurs ?


              Elles seront certainement achetés apr les entreprises publiques et grands eleveurs.

              Le petit payson ne pourra tirer profit de ces vaches. Au Maroc une association etrangere a fait don d' une centaine de ces vaches laitieres a des petits paysans. Apres peu ces paysons ont tous vendu ces vaches ou les avaient tout simplement egorgé car elles n' etainet pas rentables. Elles donnaient (lait) juste l' equivalent de ce qu' elles mangeaient (nouriture) et le probleme c' est que ces payson n' ont pas de grandes fermes ou de forets ou ces vaches peuvent brouter tranquillement comme en Europe où tout est vert.

              Le petit payson du bled il lui faut les petites vaches du bled qui sont adaptées a la vie du bled et au manque partout
              Dernière modification par Tschiko, 05 octobre 2007, 21h06.

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              • #8
                vrai pour les differentes categories de vaches,Tshiko

                mais les vaches que j'ai vues en Algerie , elles sont pas si petites , c'est un type de vaches de meditterranée que j'ai vu.

                Je suis quand même plus optimiste........même au Senegal , y a un type de vaches qui est adapté. J'ai vu l'experience d'un village au Senegal ayant atteint une autosufisance en production laitiere

                c'est pas demain la desertification de la bande au nord de l'algerie de 200 km de profondeur et 2000 km de large en Algerie.
                ya des coins en Algerie où c'est jouable à la fois pour le fourrage et l'eau ,. une plus grande production de lait est possible pour certains eleveurs groupés pour faire marcher une laiterie ( ça coute cher ça) .
                La production interne de lait peut augmenter , j'en suis convaincu. Y a des coins avec de bonnes nappes phreatiques, des sources qui remplissent des barrages et qui continuent à couler et une pluviometrie equivalente à certains coins d'Espagne, Provence, Italie du centre et du sud .
                Et la famille de ma tante , ils mangent pas leur troupeau..du moins jusqu'à present ...je pense que c'est le cas de beaucoup de familles paysannes ayant des boeufs, vaches et moutons

                les problemes d'eau dans les villes , sont des phenomenes trompeurs ...y a de l'eau en Algerie dans le sous sol et l'Agriculture n'y est pas si dense que cela.

                Et d'ailleurs tout le monde reconnait que par exemple la production de blé peut bien augmenter en algerie, y a de la marge . Le blé marche bien sous le climat mediterrannéen..et de toute façons , il faut carrement pas de grosses pluies quand approche la periode des moissons .
                Dernière modification par Sioux foughali, 05 octobre 2007, 22h43.

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                • #9
                  c comme l'histoire des patates, du n'importe koi , c devenuun reflexe chez les decideurs depuis qu'il ya de l'argent à jeter par la fenetre ,des que ça coince qque part on cherche qque chose à importer pour regler la chose , il manque du lait on importe les vaches , alors que les agriculteurs sont entrain de se debarasser de leurs vaches à perte presque puisque ds l'incapacité de les entretenir , l'alimentation coute tres cher, il faut entre 05 à 1 hectar par vache a haut rendement type holshtein en plus des concentres , et autres additifs , ce qui est hors de porté du commun des agriculteurs algeriens existants si le lait continue a etre administré à 25da le litre , meme les races locales dites croisée sont entrain de survivre a la limite de la soualimentation , une botte de foin a 600 da, on fait manger aux vaches laitiere de la paille sensée etre utilisé comme litiere , il ne faut pas s'etonner apres que nos vaches donne ce que donnent certaine chevres d'ailleur .. d'où la grande question qui va aquerir ces 30 000 vaches .. tt simplement les veinards qui savent se mettre au bon endroit au bon moment ;; pour en faire koi? les revendre biensur , elles seront exploitée une année ou deux jusqu'a l"epuisement puis dirigées vers l'abatoire , la solution n'est pas ds l"importation des vaches , mais ds la pensé d'une veritable politique agricole où la filiere lait aurait une place de choix, où les agriculteurs postulants auraient à repondre a des cahiers de charge tres strictes , où les investisseurs qui acceptent d'investir ce crenaux seront aidés par l'etat en les dotant de ces vaches en credit a long termes .. le magnat saoudien talal ben saoud (ouqque chose de ressemblant ) s'enorgueilli de posseder a lui tt seul 350 000 vaches , soit presque le cheptel algerien , ses laiteries , ses centaines de milliers d'ha irrigués en pivot ds le dezert saoudien , chose tres facilement realisable , le sol sahara algerien est tres fertil, l'eau tres abondante et peu profonde en comparaison avec l'arabie saoudite où on puise l'eau a 2000m,un millier de pivots est tres realisable chaque pivot pouvant irriguer 50 ha , la wilaya de jelfa a elle seule fournira tt le lait de l'algerie , en algerie comme en tout il faut une utopie, nos decideurs n'en ont pas , ils sont coincés ds leur mediocrité
                  en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

                  Commentaire


                  • #10
                    Bovidés d'Algerie,

                    APERÇU SUR LES POPULATIONS BOVIDIENNES D'ALGERIE


                    http://www.gredaal.com/biodiversite/...ns_algerie.htm

                    Phénotypes et taxonométrie.

                    Les populations ou rameaux de bovins de l'Algérie s'apparentent toutes à la brune de l'Atlas. Cette dernière est un animal brachycéphale présentant les caractéristiques phénotypiques suivantes:

                    - Robe : Pelage de la robe nuance allant du fauve brunâtre au rouge brune et du gris foncé, peau relativement fine , poils courtes , muqueuse brune , ardoisées paupières et mufle souvent noirs .

                    - Tête: Présence de chignon , profil droit ou sub-concave , front déprimé , face triangulaire ou allongée, orbites saillantes , cornes fines en crochet avec extrémité pointue de couleur grise ou noir .

                    - Corps : de petite taille, musculature moyenne , fanon très développé , hanches étroites , dos horizontale , queue longue .

                    - Aplombs : Membre frêles et courts , onglons noirs à corne très dur et solide .

                    - Mamelles : peu volumineuses, trayons petits .

                    La taille et le poids sont variables, ils sont plus faibles pour les animaux de montagne (250 à 300 Kg ), et élevés pour ceux vivant en plaine (300 Kg ).

                    Les sujets de races pures sont encore conservés dans les régions montagneuses, surtout isolées et difficiles d’accès.

                    Les populations ou rameaux composant cette race «Brune de l'Atlas » se différencient nettement du point de vue phénotypique. Nous pouvons citer à cet effet:

                    La GUELMOISE

                    A pelage gris foncé vit en zones forestières. Elle a été identifiée dans les régions de Guelma et Jijel et elle compose la majorité du cheptel bovin algérien (Cf. Photos).

                    La CHEURFA

                    A pelage gris clair presque blanchâtre. Vit en bordure des forêts. Identifiée dans les régions de Guelma sur les zones lacustres de la région d’Annaba (Cf. Photos) .

                    La SETIFIENNE

                    A une robe noirâtre uniforme, une bonne conformation, une taille et un poids très variables selon la région ou elle vit, la queue de couleur noire longue traînant parfois sur le sol et la ligne marron du dos en sont les caractéristiques de cette sous race .

                    La CHELIFIENNE

                    A une robe fauve, l’animal a une tête courte, des cornes en crochets, des orbites saillantes entourées de lunettes marron foncée la queue longue et noir touche le sol .

                    A ces principales populations , nous y ajouterons :

                    La JERBA

                    La race peuple la région de Biskra. La robe est brune foncée , la tête étroite , la croupe arrondie , la queue longue .La taille très réduite est une caractéristique d’adaptation au milieu très difficile du sud .

                    Les populations bovines KABYLE et CHAOUI

                    Elles s'apparentent respectivement à la population Guelmoise et Guelmoise-Cheurfa.

                    Les types de populations de l'Ouest.

                    Localisés dans les monts de Tlemcen et de Saida. Les tendances aux croisements qu’ils ont eu à subir ont fait appel au sang ibérique.


                    Effectifs et concentration

                    Depuis l’indépendance du pays, la progression des effectifs bovins peut être estimée du simple au double. Nous pouvons soutenir, à cet effet, que cette ressource génétique s’est reconstituée pour atteindre la moyenne des effectifs de la période 1867 - 1915 .

                    Elle compte actuellement près de 1.4 millions sujets , localisés pour plus de la moitié dans les régions de l’Est algérien, son importance diminue avec la pluviométrie décroissante, ce qui explique sa prédominance dans la zone humide, la partie centrale et oriental de la zone subhumide. .

                    On la retrouve concentrée dans les zones littorales, sub-littorales et l’atlas tellien, avec une légère tendance pour les zones telliennes. Au niveau des hautes plaines telliennes et steppiques les bovidés sont peu nombreux. La plupart des grandes aires de bovin local se situent au nord de l’isohyète supérieur à 400 mm de pluies (Cf. Carte). Ces aires concerneraient les zones montagneuses (Guelma , Skikda , Jijel, Kabylie ), les zones lacustres (Annaba , Tarf ). Au niveau des hauts plateaux, nous citerons les aires principales suivantes : Sétif , Oum-el-bouaghi , Souk-ahras ,et Tiaret pour l’ouest du pays .

                    L’ensemble de ces aires d’exploitation du bovin local présentent deux types d’associations:
                    - Association élevage bovin - forêt et ou herbage lacustre.

                    - Association élevage bovin - céréaliculture.
                    La gestion actuelle de ces types d’associations est principalement conditionnée et caractérisée par des ruptures d’équilibre dans le milieu physique avec des incidences sur la productivité calorifique.

                    cliquez içi pour des photos

                    http://www.gredaal.com/biodiversite/...ns_algerie.htm




                    http://www.gredaal.com/biodiversite/...rte_bovins.jpg

                    Dernière modification par Sioux foughali, 05 octobre 2007, 21h59.

                    Commentaire


                    • #11
                      J'ai l'impression d'avoir participe a ce topic deja ai je ete censure?
                      pour les vaches, bonne idee si la traite est faite pour les algerien, pas comme la vache connu(SH) qui as ete pendant des decennie pompes par les exportateurs de chiffon

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                      • #12
                        Salut Sioux

                        c'est pas demain la desertification de la bande au nord de l'algerie de 200 km de profondeur et 2000 km de large en Algerie.
                        ya des coins en Algerie où c'est jouable à la fois pour le fourrage et l'eau ,. une plus grande production de lait est possible pour certains eleveurs groupés pour faire marcher une laiterie ( ça coute cher ça) .
                        C'est plus que jouable. J'ai déjà parlé avec des des gens dans le domaine. Les Hauts plateaux sont largement sous-exploités. Il y a suffisamment de surfaces pour l'alimentation des bêtes ! Il suffit juste d'avoir une politique cohérente et à long terme comme ça avait été le cas pour les ovins qui a donné de bons résultats.
                        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

                        Commentaire


                        • #13
                          Salut DZmes Bond et Jamaloup;



                          concernant le Sahara , Jamaloup , tu as parlé de pivot , c'est quoi ? j'ai entendu parlé d'experiences dans le deseert et vu un reportage dans le magazine Geo sur un algerien qui a fait des exploits en matiere de jardins et productions dans le sud sud algerien ( magazine Geo, le dernier consacré à l'Algerie , periode 2006 ou 2007)

                          .de Jamaloup.....
                          ..de Jamaloup................ la solution n'est pas ds l"importation des vaches , mais ds la pensé d'une veritable politique agricole où la filiere lait aurait une place de choix, où les agriculteurs postulants auraient à repondre a des cahiers de charge tres strictes , où les investisseurs qui acceptent d'investir ce crenaux seront aidés par l'etat en les dotant de ces vaches en credit a long termes .. le magnat saoudien talal ben saoud (ouqque chose de ressemblant ) s'enorgueilli de posseder a lui tt seul 350 000 vaches , soit presque le cheptel algerien , ses laiteries , ses centaines de milliers d'ha irrigués en pivot ds le dezert saoudien , chose tres facilement realisable , le sol sahara algerien est tres fertil, l'eau tres abondante et peu profonde en comparaison avec l'arabie saoudite où on puise l'eau a 2000m,un millier de pivots est tres realisable chaque pivot pouvant irriguer 50 ha , la wilaya de jelfa a elle seule fournira tt le lait de l'algerie , en algerie comme en tout il faut une utopie, nos decideurs n'en ont pas , ils sont coincés ds leur mediocrité

                          Commentaire


                          • #14
                            tres simple un cercle de plusieurs dizaines d'hectares , donc plusieurs dizaines de metres de rayon generalement 50 donnant donc 50 hectares .. le tout irrigués par asperssion le long d'un tuyaux placés sur une charpente metallique mobile representant le rayan du cercle irrigué , pivotante ayant pour axe le centre du cercle irrigué , bref le pivot est un engin lourd de 50 metres de long , equipe de roues et se deplaçant en pivot d'une maniere continue , en se deplaçant il arrose les culture qu'il enjambe jusqu'a revenir à son point de depart ... les aùmericains pendant 5 ans ont ete a gassi touil ds une ferme pilote où ils ont produit du blé avec un rendement de 50 qtx a l'ha .. apres leur depart le rendement est tombé a 10, puis la ferme a disparue , le pivot coute ds les 6 millions de dinars, le forage ds les haut plateux ne coute pas cher , avec des semences de qualité (la grande faiblesse de l'algerie ) avec des intrants de qualité (des hormones , des pesticides , des fertilisants )on paut avoir un rendement de 40 50 qtx a l'ha de blé , soit plus de 2 millions da par saison sur un pivot .. l'elevage aussi est possible sous pivot chaque pivot faisant vivre 50 vaches en vert .. le probleme .. il fo une decision politique , une vraie en treprise comme sonatrach pour la mise en valeur du sahara .. ..ouvrir des pistes, electrification des forages, forage, installation des pivots, plantation des brises vent, cession des pivots pour des investisseurs ou des exploitants directes qui doivent suivre des stages sur des pivots pilotes gerés pendant qques années par des australiens ou americaisn si possibles , mais en plus immediatement relancer la recherche sur de nouvelles varietés de blé , l'institut des grandes cultures existe mais rien ne sort de leurs travaux .. penser aux moyens de stokage , silos , et surtt une autoroute nord sud, une grande penetrante cassant l'atlas a la place de la RN1 qui sera la futur colonne vertebrale de l'economie saharienne desenclavant le sud desengorgeant le nord .. un millier de pivots realisables sur 10 , 15 ans et l'algerie aura faite sa revolution verte elle exportera du blé .
                            en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                            • #15
                              @jamaloup : Il faut que les privés se lancent et non pas l'Etat ! Les fonctionnaires de l'Etat ont pour principale préoccupation leur chèque à la fin du mois...
                              Par contre un privé, il investit son argent, il va tout faire pour que ça marche. Sa volonté et son sérieux lui permettront de réussir !
                              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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