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Mathieu Flamini a tranché. En fin de contrat avec Arsenal, le milieu tricolore a signé un contrat de 4 ans avec le Milan AC. il pourrait dès lors s'afficher comme le successeur de Gennaro Gattuso au sein e l'entrejeu milanais.
Flamini a grandi. C'est désormais une évidence. Après Marseille, Arsenal. Après Arsenal, le grand Milan AC. C'est le premier transfert d'envergure du mercato estival. La jeune pousse tricolore, en fin de contrat, a donc choisi de s'épanouir en Lombardie après 4 ans passés sous les ailes protectrices d'Arsène Wenger. Une période qui l'a vu passer du statut d'espoir à celui de joueur d'envergure international. Une mue qui lui permet de postuler à une place parmi les vingt-trois Bleus à l'Euro.
Cette saison, Flamini a été l'un des éléments les plus en vue des Gunners, s'installant comme un titulaire indiscutable au milieu, juste à côté de l'Espagnol Cesc Fabregas. A Londres, il avait même gagné le surnom de "Gattuso", son désormais nouveau coéquipier. Comme le Milanais, il est le besogneux qui, par son travail et sa débauche d'énergie, permet aux techniciens qui l'entourent de briller. Sa prestation de haute volée lors du 8e de finale de C face au Milan AC (0-0, 0-2) n'est sans doute pas étranger à l'intérêt que lui ont porté les dirigeants rossoneri. Ces derniers ont d'ailleurs misé gros sur le Français en lui proposant une rémunération annuelle de l'ordre de 4 millions d'euros selon la Gazzetta dello Sport.
Successeur de Gattuso ?
Un salaire qui aurait fait pencher la balance. Car l'ancien Marseillais, en fin de contrat, ne manquait pas de sollicitations : le Real Madrid, l'Inter Milan, la Juventus Turin, le Bayern Munich, le FC Barcelone, les plus grands se sont arrachés ses services. Et Arsène Wenger de regretter : "Tout ce que je sais, c'est que nous sommes allés aussi loin que possible". A San Siro, il s'affiche donc comme le digne héritier de Gennaro Gattuso. Le guerrier milanais est en effet sur le départ et a fait part de ses états d'âme dans la presse transalpine affirmant qu'il aimerait "avoir la possibilité de jouer en Premier League. C'est un rêve que j'ai toujours eu et que je n'ai jamais réalisé". Faire oublier Gattuso n'aura rien de simple d'autant qu'il faudra en premier lieu s'imposer au sein d'un effectif pléthorique pour parvenir à inaugurer un palmarès encore vierge. La progression de Mathieu Flamini est à ce prix.
Eurosport
Flamini a grandi. C'est désormais une évidence. Après Marseille, Arsenal. Après Arsenal, le grand Milan AC. C'est le premier transfert d'envergure du mercato estival. La jeune pousse tricolore, en fin de contrat, a donc choisi de s'épanouir en Lombardie après 4 ans passés sous les ailes protectrices d'Arsène Wenger. Une période qui l'a vu passer du statut d'espoir à celui de joueur d'envergure international. Une mue qui lui permet de postuler à une place parmi les vingt-trois Bleus à l'Euro.
Cette saison, Flamini a été l'un des éléments les plus en vue des Gunners, s'installant comme un titulaire indiscutable au milieu, juste à côté de l'Espagnol Cesc Fabregas. A Londres, il avait même gagné le surnom de "Gattuso", son désormais nouveau coéquipier. Comme le Milanais, il est le besogneux qui, par son travail et sa débauche d'énergie, permet aux techniciens qui l'entourent de briller. Sa prestation de haute volée lors du 8e de finale de C face au Milan AC (0-0, 0-2) n'est sans doute pas étranger à l'intérêt que lui ont porté les dirigeants rossoneri. Ces derniers ont d'ailleurs misé gros sur le Français en lui proposant une rémunération annuelle de l'ordre de 4 millions d'euros selon la Gazzetta dello Sport.
Successeur de Gattuso ?
Un salaire qui aurait fait pencher la balance. Car l'ancien Marseillais, en fin de contrat, ne manquait pas de sollicitations : le Real Madrid, l'Inter Milan, la Juventus Turin, le Bayern Munich, le FC Barcelone, les plus grands se sont arrachés ses services. Et Arsène Wenger de regretter : "Tout ce que je sais, c'est que nous sommes allés aussi loin que possible". A San Siro, il s'affiche donc comme le digne héritier de Gennaro Gattuso. Le guerrier milanais est en effet sur le départ et a fait part de ses états d'âme dans la presse transalpine affirmant qu'il aimerait "avoir la possibilité de jouer en Premier League. C'est un rêve que j'ai toujours eu et que je n'ai jamais réalisé". Faire oublier Gattuso n'aura rien de simple d'autant qu'il faudra en premier lieu s'imposer au sein d'un effectif pléthorique pour parvenir à inaugurer un palmarès encore vierge. La progression de Mathieu Flamini est à ce prix.
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Faut pas abuser 
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