Tweet
La privatisation de l'université est a l'ordre du jour.
est ce opportun?est ce précoce? est on suffisament préparé pour ce faire?autant de question qui méritenet qu'on s'y attarde.
....on sait combien ce concept provoque de rejet dans une société qui développe un lien quasi-ombilical à la chose publique la résistance pourrait s'avérer encore plus coriace s'agissant de l'université ,lieu privilégié ou se forme les élites de la nation.Le souci du libre acces au savoir et le principe de l'égalité des chances sont a al base des réticencs....l'une des craintes partagées est qu'on insaure, atravers cette réforme une université a deux vitesse.
tous vous diront qu'on ne veut pas d'une université de nanatis a coté université de pauvre, la crainte que l'université publique se vide d ses compétences étant entendu que le privé pourrait offrir de meuilleur condition de travaille.
si ces craintes sont justifiés ,il n'en deleure pas moins que le rejet de principe est a bannir
si l'ouverture de l'université au privé peut contribuer a l'amélioration des performances de cette institution, il n'ya pa a hésiter .mais il ya des précaution a prendres et des balises a instaurer .....
source; Algérie news.
on voit bien a atrvers cet article les cotés positifs et négatifs d'une telle réforme, une lame a double tranchant, et vous, pour ou contre la privatisation, quel est le moyen de rendre l'université algérienne plus performante???????
est ce opportun?est ce précoce? est on suffisament préparé pour ce faire?autant de question qui méritenet qu'on s'y attarde.
....on sait combien ce concept provoque de rejet dans une société qui développe un lien quasi-ombilical à la chose publique la résistance pourrait s'avérer encore plus coriace s'agissant de l'université ,lieu privilégié ou se forme les élites de la nation.Le souci du libre acces au savoir et le principe de l'égalité des chances sont a al base des réticencs....l'une des craintes partagées est qu'on insaure, atravers cette réforme une université a deux vitesse.
tous vous diront qu'on ne veut pas d'une université de nanatis a coté université de pauvre, la crainte que l'université publique se vide d ses compétences étant entendu que le privé pourrait offrir de meuilleur condition de travaille.
si ces craintes sont justifiés ,il n'en deleure pas moins que le rejet de principe est a bannir
si l'ouverture de l'université au privé peut contribuer a l'amélioration des performances de cette institution, il n'ya pa a hésiter .mais il ya des précaution a prendres et des balises a instaurer .....
source; Algérie news.
on voit bien a atrvers cet article les cotés positifs et négatifs d'une telle réforme, une lame a double tranchant, et vous, pour ou contre la privatisation, quel est le moyen de rendre l'université algérienne plus performante???????