Bonjour
D’anciens dirigeants et cadres de l’Armée nationale populaire ont décidé de fonder une organisation nationale pour les cadres et les diplômés des écoles des cadets de la Révolution, que le président Chadli avait décidé de fermer en 1986, avant que le président Bouteflika ne décide de les rouvrir, à partir de l’année prochaine.
Par ailleurs, ils ont accusé le pouvoir politique algérien, au milieu des années 80, et à leur tête Chadli Ben Djedid, d’avoir cédé aux pressions de parties ennemies de la Révolution algérienne, lorsqu’il pris la décision de fermer les écoles des cadets de la Révolution en 1986, alors qu’elle avaient été créées par le président défunt Houari Boumediene en 1963.
L’ex-responsable de l’école des cadets de la Révolution à Koléa, Bouchebba Mokhtar, a déclaré lors d’une cérémonie organisée hier à Alger, à l’occasion du 45e anniversaire de la création de la première école des cadets, qu’il est clair qu’il y avait un lobby qui soutenait les thèses françaises en Algérie.
Cependant, le général à la retraite et membre du commissariat politique de l’armée, Abdesselam Bouchareb, a nié dans une déclaration à El Khabar qu’il y ait eu une arrière-pensée politique dans la décision prise par Chadli Ben Djedid, concernant la fermeture des écoles des cadets, indiquant que la mission de ces écoles s’est achevée avec l’existence d’établissements scolaires, et la volonté des autorités d’unifier les programmes d’enseignement. A une question sur les raisons de la décision du président Bouteflika de réouvir ces écoles, l’ex-général a considéré que la décision a été motivée par des raisons sentimentales ainsi que les appels d’un nombre d’ex-dirigeants et cadres de ces écoles.
Plusieurs responsables et cadres des écoles des cadets de la Révolution s’étaient réunis, jeudi dernier, à la coopérative des travailleurs du bâtiment à Zéralda, afin de préparer une plateforme pour la création d’une organisation nationale des cadres des écoles des cadets, et présenter une demande d’agrément au ministère de l’Intérieur. Des cadres rencontrés par El Khabar ont nié que cette organisation ait une quelconque dimension politique.
El Kahbar
D’anciens dirigeants et cadres de l’Armée nationale populaire ont décidé de fonder une organisation nationale pour les cadres et les diplômés des écoles des cadets de la Révolution, que le président Chadli avait décidé de fermer en 1986, avant que le président Bouteflika ne décide de les rouvrir, à partir de l’année prochaine.
Par ailleurs, ils ont accusé le pouvoir politique algérien, au milieu des années 80, et à leur tête Chadli Ben Djedid, d’avoir cédé aux pressions de parties ennemies de la Révolution algérienne, lorsqu’il pris la décision de fermer les écoles des cadets de la Révolution en 1986, alors qu’elle avaient été créées par le président défunt Houari Boumediene en 1963.
L’ex-responsable de l’école des cadets de la Révolution à Koléa, Bouchebba Mokhtar, a déclaré lors d’une cérémonie organisée hier à Alger, à l’occasion du 45e anniversaire de la création de la première école des cadets, qu’il est clair qu’il y avait un lobby qui soutenait les thèses françaises en Algérie.
Cependant, le général à la retraite et membre du commissariat politique de l’armée, Abdesselam Bouchareb, a nié dans une déclaration à El Khabar qu’il y ait eu une arrière-pensée politique dans la décision prise par Chadli Ben Djedid, concernant la fermeture des écoles des cadets, indiquant que la mission de ces écoles s’est achevée avec l’existence d’établissements scolaires, et la volonté des autorités d’unifier les programmes d’enseignement. A une question sur les raisons de la décision du président Bouteflika de réouvir ces écoles, l’ex-général a considéré que la décision a été motivée par des raisons sentimentales ainsi que les appels d’un nombre d’ex-dirigeants et cadres de ces écoles.
Plusieurs responsables et cadres des écoles des cadets de la Révolution s’étaient réunis, jeudi dernier, à la coopérative des travailleurs du bâtiment à Zéralda, afin de préparer une plateforme pour la création d’une organisation nationale des cadres des écoles des cadets, et présenter une demande d’agrément au ministère de l’Intérieur. Des cadres rencontrés par El Khabar ont nié que cette organisation ait une quelconque dimension politique.
El Kahbar
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