Charlotte wyat est née prématurée de 14 semaines. A sa naissance, elle ne pesait que 450 grammes et mesurait 13cm. Ce qui est très peu sachant qu'en moyenne un nouveau-né pèse à peu près dans les 3kg et mesure dans les 50 cm. Mais surtout Charlotte n'a jamais quitté l'hôpital et elle a déjà fait trois arrêt respiratoires et les médecins disent qu'elle est condamné à plus ou moins brève échéance. La petite fille souffre de graves malformations rénales, respiratoires et cérébrales et ne quitte jamais son caisson à oxygène sauf lorsque sa maman vient la prendre dans ses bras.
En cas de nouvel arrêt respiratoire les médecins ont demandé à ce qu'elle ne soit plus réanimée et la justice a suivit leurs avis. A chaque fois les parents ont fait appel. Pour le dernier appel la justice de la haute cour a tranché en faveur de l'avis des médecins aussi. Mais les parents souhaitent que le juge revienne sur sa décision et oblige les médecins à encore intervenir en cas de 4ème arrêt respiratoire.
Je ne juge pas les parents car ils vivent aussi les souffrances de la petite qui est la chair de leur chair mais je ne partage pas ce que je ressens comme un acharnement à vouloir maintenir une vie qui n'a été et ne sera que souffrance. Quand tout a été tenté et qu’il n’y a plus d’espoir comment infliger encore d’autres souffrances. Maintenant grâce aux nouvelles techniques des très grands prématurés réussissent à rester en vie mais à quel prix lorsqu'il y a de telles séquelles physiques ?
Le papa de Charlotte qui est un très fervent chrétien a dit "Si le gars là haut dit qu'une personne doit vivre, c'est qu'elle doit vivre" mais si elle a été maintenu en vie c'est grâce aux progrès et au caisson à oxygène, c'est grâce aux techniques. Là en cas de 4ème arrêt respiratoires, c'est en refusant de recourir aux techniques et en laissant partir avec le moins de souffrance possible cette vie qui n'aura été que souffrance qu'on laisse "le gars d'en haut " décider.
Les médecins ne sont ils pas les mieux placés pour connaître les souffrances et séquelles qui sont infligés à l'enfant. Charlotte est pratiquement aveugle et ne réagit plus qu'aux sons et les médecins disent que sa vie ne serait que "souffrance continue".
Pour lire son histoire:
La justice britannique confirme le droit de laisser mourir la petite Charlotte
En cas de nouvel arrêt respiratoire les médecins ont demandé à ce qu'elle ne soit plus réanimée et la justice a suivit leurs avis. A chaque fois les parents ont fait appel. Pour le dernier appel la justice de la haute cour a tranché en faveur de l'avis des médecins aussi. Mais les parents souhaitent que le juge revienne sur sa décision et oblige les médecins à encore intervenir en cas de 4ème arrêt respiratoire.
Je ne juge pas les parents car ils vivent aussi les souffrances de la petite qui est la chair de leur chair mais je ne partage pas ce que je ressens comme un acharnement à vouloir maintenir une vie qui n'a été et ne sera que souffrance. Quand tout a été tenté et qu’il n’y a plus d’espoir comment infliger encore d’autres souffrances. Maintenant grâce aux nouvelles techniques des très grands prématurés réussissent à rester en vie mais à quel prix lorsqu'il y a de telles séquelles physiques ?
Le papa de Charlotte qui est un très fervent chrétien a dit "Si le gars là haut dit qu'une personne doit vivre, c'est qu'elle doit vivre" mais si elle a été maintenu en vie c'est grâce aux progrès et au caisson à oxygène, c'est grâce aux techniques. Là en cas de 4ème arrêt respiratoires, c'est en refusant de recourir aux techniques et en laissant partir avec le moins de souffrance possible cette vie qui n'aura été que souffrance qu'on laisse "le gars d'en haut " décider.
Les médecins ne sont ils pas les mieux placés pour connaître les souffrances et séquelles qui sont infligés à l'enfant. Charlotte est pratiquement aveugle et ne réagit plus qu'aux sons et les médecins disent que sa vie ne serait que "souffrance continue".
Pour lire son histoire:
La justice britannique confirme le droit de laisser mourir la petite Charlotte
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