Les délégués de Bouira ont été catégoriques au sujet d’un des leurs, en l’occurrence Hakim Kacimi, qui, ayant fait partie de la délégation des 24, avait exprimé son option pour la reprise du dialogue après la suspension de celui-ci le 27 février dernier.
L’ex-délégué s’est trouvé ainsi irrémédiablement exclu de la Coordination des comités de citoyens de la wilaya de Bouira (CCCWB), et ce, depuis dimanche dernier. C’est ce que nous a appris, hier, Djaffer Abdedou, délégué de la CCCWB (...)
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Les délégués de Bouira excluent la reprise du dialogue
25 mars 2004, par Hassiba -
L’échec de la diplomatie de Bouteflika
25 mars 2004, par HassibaEn dépit d’une relative amélioration de la situation sécuritaire, le risque algérien demeure élevé, selon les estimations de la communauté internationale.
Les réticences dont font preuve certains pays lorsqu’il s’agit d’organiser des rencontres en Algérie et les consignes de sécurité que donnent d’autres concernant les déplacements de leurs ressortissants contredisent chaque jour le discours officiel. Après le déménagement de l’ambassade de Grande-Bretagne, pour des raisons de (...) -
Bouteflika : “La concorde est une aspiration du peuple”
25 mars 2004, par HassibaLe président-candidat a indiqué : “nous avons éliminé nombre de terroristes, non pas par esprit d’éradicateur, mais dans le cadre de l’application de la loi.”
Abdelaziz Bouteflika a déclaré, hier, à Béchar que la concorde civile est “une aspiration du peuple algérien épris de paix de justice et de stabilité”. Il a, en outre, soutenu que le passage de la concorde civile à la réconciliation nationale “peut se réaliser, étape par étape, d’autant, a-t-il précisé, que le peuple algérien (...) -
Djaballah : “je refuse d’utiliser le mot terrorisme”
25 mars 2004, par HassibaIl s’est rendu, hier, successivement à Chlef, à Relizane puis à Tiaret pour “prêcher” les vertus de sa réconciliation nationale.
À Chlef comme à Relizane ou encore à Tiaret, Abdallah Djaballah, candidat à la présidentielle du 8 avril, a été timidement accueilli par la population locale. Ses discours ressassés, tout au long de la journée d’hier, soit lors de meetings ou de “causeries” tenues sur les principales artères des trois régions de l’ouest du pays, ne sont pas sortis du cadre (...) -
Ali Benflis, une autorité morale à Batna
25 mars 2004, par HassibaDans sa ville natale, le candidat à la présidentielle jouit d’une estime que sa carrière algéroise n’a pas amoindrie, bien au contraire. Reportage chez des proches et des moins proches.
Le numéro 26 de la rue Belkacem-Benflis, père du secrétaire général du FLN, est une adresse que tout batnéen connaît parfaitement. C’est la maison où Ali Benflis, est né le 8 septembre 1944. Dans cette demeure, il a passé la majeure partie de sa jeunesse. En 1964, la famille déménage dans un autre (...) -
L’Algérie que prépare Bouteflika
25 mars 2004, par HassibaAttaque en règle contre la presse indépendante, volonté exprimée de remettre en cause le pluralisme politique, des propos injurieux contre la revendication berbère, pression sur l’administration pour assurer un second mandat, manoeuvres pour faire admettre que l’armée est de son côté et appel du pied pour bénéficier du soutien des terroristes islamistes, c’est sous ces auspices que le président-candidat Bouteflika compte avoir un second mandat.
Le ton est donné au premier jour de (...) -
Benflis :“L’armée veut un président élu par les Algériens”
25 mars 2004, par HassibaD’importantes clarifications ont été apportées par le candidat quant à la neutralité de l’armée que Bouteflika a tenté de remettre en cause.
Un accueil triomphal a été réservé hier à Ali Benflis à son entrée dans la salle Baâziz de Blida où il a animé un meeting populaire. Des invités de marque à l’image de Louizette Ighil Ahriz, Lakhdar Bouragrâa, Anissa Benameur, Chérifa Khedar des familles victimes du terrorisme de la région de Blida, ont pris part à cette rencontre qui a drainé (...) -
Bouteflika : A la recherche du temps perdu
25 mars 2004, par HassibaOn savait, depuis le début de son quinquennat, que Bouteflika s’acheminait droit vers la sollicitation d’un second mandat.
Non pas pour poursuivre la réalisation de quelque œuvre historique mais pour asseoir définitivement son pouvoir total, sans avoir à composer avec un quelconque contre-pouvoir ni à se soucier de quelque “ligne rouge”. Il allait donc inéluctablement, et d’ailleurs plus vite que prévu, se détourner des forces politiques et sociales qui travaillent à l’avènement d’un (...) -
Louisa Hanoune à Mascara
25 mars 2004, par HassibaLa porte-parole du PT a appelé la population à aller voter pour éviter la dislocation du pays.
“Je suis en colère, car on m’a empêchée de prendre l’avion alors que nous avions confirmé bien avant nos réservations. Je vous le dis : nos places ont été cédées à des familles de hauts responsables venues célébrer un mariage à Ouargla. C’est un précèdent très grave, car nous n’avons pas comme eux de l’argent pour louer des avions. C’est de la hogra. Vous devez comprendre que ce qui s’est (...) -
L’AIS soutient Bouteflika
24 mars 2004, par Hassiba« L’Armée islamique du salut (AIS, ex-branche armée du FIS, ndlr) s’aligne sur la politique du président de la République » nous a confirmé, hier, un dirigeant de cette nébuleuse autodissoute le 13 janvier 2000, mais qui garde encore fortes ces ramifications sociales.
Le choix de l’AIS, attendu du reste, s’inscrit dans le cadre du rapprochement entre le président et les islamistes radicaux, qui avaient choisi délibérément de déposer les armes en 1997, d’intégrer le projet de « concorde (...)