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Le savoir, l’avenir de l’Algérie

mardi 2 octobre 2007, par Ahlem

L’Algérie doit bâtir une économie et une société qui font la part belle au savoir estiment les experts du Conseil national économique et social (CNES).

L’Algérie doit investir dans les sciences.

Madame Belabès membre du CNES, soulèvera pour sa part, l’épineuse question relative au nécessaire projet de société fondé sur la connaissance que l’Algérie se doit de mettre en place par une connexion efficace entre pouvoirs publics, réseaux académiques et gestionnaires d’entreprises. L’urgence d’une mutation est fortement soutenue par les experts. Mais dit Nadia Chetab « aller vers une nouvelle économie, cela suppose une rupture, casser la vision sectorielle et aller vers celle globale ». Elle estime que l’Algérie doit s’imposer un changement dans l’accumulation du capital qui selon elle « n’existe pas ».

Ceci, parce qu’elle est convaincue que « ni les retouches, ni les colmatages ne sont permis, il faut reconstruire sur d’autres bases, celles de la connaissance... Le politique a suffisamment primé ». Pour elle, « tout est à construire en Algérie, il faut une stratégie globale redéfinissant toutes les fonctions et le mot programme ne doit plus figurer dans les politiques parce que les programmes n’apportent rien ». Le tout exigera en évidence selon les experts l’émergence d’une gouvernance intelligente.

Synthèse de Ahlem, www.algerie-dz.com
D’après le Quotidien d’Oran