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Retour des faux-barrages policiers en Algérie

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  • #46
    mmis ça ne m'étonne pas de toi une telle intervention. moi je dois dire que dés les premières images j'ai été troublé, quand j'ai vu les visages, je me suis dit ça ça doit se passer en kabylie (j'ai toujours pas lu l'article de bakchiche, je le ferai ensuite) ! ensuite quand j'ai vu comment ils arretent les voitures je me suis dit ça c'est peut-être d'anciens "patriotes"... en tout cas qui qu'ils soient, d'où qu'ils viennent, qui qu'ils representent, peu importe leur ancienneté, leur nationalité, leur âge ou la couleur de leurs poils, ils ont commis un meurtre, ils ont assassiné un homme, ils ont couper une route, distribué des tracts, ils ont des armes de guerre... bouteflika et zerhouni savent ce qu'ils leur reste à faire !

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    • #47
      et pourquoi ces chiens se donneraient la peine de nous montrer leur changement de costumes d operettes?

      c est signe bureau de la desinformation!

      Boutef et zerhouni? tu ne te rappelles pas du 11 avril 2007? ils ont la frousse dans le pantalon aussi!

      Tolkien, think!
      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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      • #48
        ce que je vois c'est que c'est surement des kabyles en train de se massacrer, mon dieu où va notre pauvre pays...

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        • #49
          exact. Nos gens doivent s armer de nouveau et reactiver les groupes de vigilance de 1994 n en deplaisent a l etat algerien. sinon, ce sera des bentalha dans nos 1500 villages. L etat algerien a ete un etat assassin depuis l ete 1962.
          Il ne changera pas. A moins que nos gens l en deboulonnent.

          prions pour que nos gens se protegent mieux dorenavant et empechent tout etranger d operer aux alentours de nos villages et sans exception aucun sinon ce sera un massacre programme'.

          M-n-M
          Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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          • #50
            Y'a pas que les kabyles qui sont dans la merd* arrêtez de vouloir passer pour des victimes tout le temps et à tout prix...

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            • #51
              vraiment n'importe quoi amiss kvalitt... le trou est sans fin !

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              • #52
                Trop triste après avoir cette foutue video .... et ça se passe encore en Algérie.

                Ou est l'état, ou sont les services de renseignement, qui c'est ce fils de p*** qui a fait le montage de la vidéo et l a mi sur internet, et qui grave les CD, les tract ... c'est surement pas dans le maquis, mais dans qlq part au chaud dans une grande ville, ya des failles énormes dans le système sécurité.


                Elle fou vraiment la honte cette video.

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                • #53
                  Bonjour, comment avoir cette vidéo ?
                  Faute de grives , nous mangeons des Merles

                  Commentaire


                  • #54
                    Sidi ali bounab, les Issers, Beni amrane, Ammal : Dans le fief des groupes terroristes
                    En cette journée ensoleillée d’hiver, Sidi Ali Bounab, qui culmine sur une série de collines aussi belles les unes que les autres et aussi majestueuses que celles qui forment la chaîne de montagnes de la Haute Kabylie, a l’air d’être si hospitalière que l’on oublie vite l’horrifiante réputation qu’elle s’est faite durant les années 1990. Elle fut une sorte de Tora Bora algérien à partir de laquelle étaient planifiées, déclenchées toutes les actions terroristes ayant ciblé tout le centre du pays. Par ici aussi, la nature n’a pas été avare. Elle a été si généreuse qu’on ne peut dénier le grand soin que la Providence a pris de cette région et que la bêtise humaine a transformée en chaos.


                    Tizi Ouzou et Boumerdès. De notre envoyé spécial
                    Comme les autres jours de cette saison de labeur, la population vaque à ses occupations : travail aux champs et cueillette des olives. Mais l’image « Ushuaïa » qu’offre de prime à bord cette région se dissipe au premier contact avec la réalité. Ce n’est, en fait, qu’une illusion. En sortant des Issers, le premier check-point mixte armée populaire nationale-garde communale, installé depuis peu de temps, à environ un kilomètre du centre-ville, donne déjà quelques sueurs froides. Le chemin qui reste à faire pour arriver au sommet de la colline est des plus dangereux. Il y a un peu plus d’un mois, un citoyen engagé dans la lutte contre le terrorisme dans les années 1990 a été enlevé au lieudit Taawint Tassemat (fontaine fraîche). Youcef s’était pourtant rangé depuis longtemps en travaillant comme cuisinier à Bordj Ménaïel. Il revenait souvent dans son village sans être inquiété. Mais ce jour-là, le groupe terroriste qui écume la région ne lui a laissé aucune chance. Il a dressé simultanément deux faux barrages sur les deux chemins qui descendent de Timezrit vers les Issers. Youcef devait emprunter l’un ou l’autre. A 15h, en plein jour, les quatre terroristes qui l’attendaient à Taawint Tassemat le font descendre de voiture, le ligotent et le jettent dans une camionnette de marque Toyota avant de démarrer en trombe vers une destination inconnue. A la tombée de la nuit, beaucoup d’habitants d’un village situé à quelques encablures seulement du lieu du rapt, indiquent des citoyens rencontrés sur place, ont entendu les cris déchirants de la victime, torturée par les terroristes. Le supplice a duré deux jours, selon les mêmes témoignages, avant que la tête de Youcef ne soit « exposée », le surlendemain, sur un trottoir à Bordj Ménaïel.
                    La terrifiante nouvelle a fait le tour de la région. La psychose s’y installa de nouveau après l’illusion donnée par une fausse accalmie qui n’aura duré que quelques mois. D’aucuns se demandent alors comment, dix ans après avoir mis fin à son engagement dans la lutte contre le terrorisme, les terroristes ne l’ont pas oublié ? Des sources sécuritaires locales, qui ne tarissent d’ailleurs pas d’éloges à son égard – il a contribué à l’élimination d’au moins une douzaine de terroristes en 1999 en donnant des informations exactes sur leurs caches – soutiennent que la victime était certainement suivie depuis longtemps. Ceux qui sont au fait de la situation sécuritaire dans la région soutiennent qu’au moins deux informateurs auraient contribué à l’assassinat de Youcef. L’un a dû renseigner le groupe terroriste que le défunt quittait Bordj Ménaïel où il travaille pour se rendre dans son village ; l’autre a dû donner l’alerte lorsqu’il s’apprêtait à rentrer le soir de Timezrit. Un citoyen rencontré dans la localité dit que « l’assassinat de Youcef renseigne sur l’efficacité et le nombre de soutiens que le terrorisme continue à avoir dans la région ». Pas plus tard que le mois dernier, les services de sécurité ont démantelé un important réseau de soutien au terrorisme dans deux villages limitrophes de la ville des Issers : Bouchakour situé à un jet de pierre de la route qui mène des Issers à Draâ El Mizan et Ouled Bentafath – où des témoins auraient vu passer un important groupe comptant parmi ses membres une jeune femme vêtu en treillis de para – sur le chemin entre Timezrit et Sidi Ali Bounab. Dans l’un comme dans l’autre, les forces de sécurité ont arrêté trois membres de ce réseau de soutien. Mais tout porte à croire que ce n’est là que la partie apparente de l’iceberg. Car sans ses soutiens, les terroristes n’y auraient pas survécu. Et il y en existe encore, indique, sûre d’elle, une source locale. Mais au-delà de ces appuis, le terrorisme semble aussi être une histoire de famille et sans doute également de connaissance parfaite de la géographie locale. Presque tous les membres de la « seriat » (section) des Issers, qui active jusqu’au confins de la commune de Timezrit et aux limites de la commune de M’kira au sud, sont natifs des Issers. C’est le cas aussi de L’émir du groupe El Hachemi El Hachemi, alias Soheib, qui habitait au centre-ville, et de son vétéran, un certain Belaïd, âgé aujourd’hui de plus de 55 ans. Leurs acolytes, les frères Torfi, un certain Riahla et un certain Delci, sont originaires des villages environnants. Depuis des années, cette bande de terroristes sévit dans cette région sans être jamais tombée dans les filets des services de sécurité, fait remarquer notre source. Pour beaucoup, ce serait faux de ne pas penser que ce ne serait pas elle qui aurait prêté main-forte en préparant la logistique nécessaire à ceux qui ont planifié et exécuté le sanglant attentat-suicide qui a ciblé, à la mi-août dernier, l’école de formation de la gendarmerie des Issers. Activant sur un terrain dont il a une parfaite connaissance, ce groupe, bien pris en charge par de nombreux soutiens, semble très renseigné aussi bien sur les sorties des services de sécurité que sur leurs positions sur le terrain. Parfois ce sont les proches parents des terroristes qui accomplissent cette sale besogne. « Quel est ce père qui dirait non à son fils terroriste qui le sollicite pour l’approvisionner en denrées alimentaires, pour l’héberger lui et son groupe ou même pour un renseignement ? », s’interroge un citoyen rencontré aux Issers.
                    Aucun terroriste n’est tombé à Sidi Ali Bounab depuis 2000

                    suite: http://www.elwatan.com/Sidi-ali-bounab-les-Issers-Beni


                    Par Said Rabia- elwatan

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                    • #55
                      La présence des terroristes inquiète la population
                      Le GSPC veut empêcher la cueillette des olives en Kabylie
                      Par : Samir LESLOUS
                      Lu : (13452 fois)

                      Deux victimes sont déjà à déplorer. Cette situation fait craindre le pire.
                      “C’est en hiver qu’il porte ses fruits, quand la froidure condamne à mort tous les autres arbres. C’est alors que les hommes s’arment et les femmes se parent pour aller célébrer avec lui les rudes noces de la cueillette”, disait Mouloud Mammeri dans un entretien avec Jean Pellegri, au sujet de l’olivier dont la cueillette du fruit a été, en effet, de tout temps dure et jamais sans quelques dangers puisque, ajoute l’écrivain, “pour aller jusqu’à lui, il faut traverser la rivière et la rivière en hiver se gonfle. Elle emporte les pierres, les arbres et quelquefois les personnes”.
                      Aujourd’hui, des ponts et des pistes, plus ou moins praticables, sont réalisés et donc les rivières n’emportent plus personne. Mais cela voudrait-il dire que le danger n’existe plus ? Il suffit d’emprunter les chemins sinueux des montagnes de Kabylie pour se rendre compte que le danger a juste changé de nature depuis quelques années et que les risques d’aujourd’hui sont plus importants que ceux qui ont accompagné la cueillette des olives des siècles durant. Mis à part les plaines, rares d’ailleurs, et les périmètres proches des villages, dans les autres régions, notamment la haute montagne, l’ombre du terrorisme se profile derrière chaque olivier. Étant situées, pour la plupart, loin des villages, souvent près des maquis, les oliveraies présentent ces dernières années, particulièrement durant les deux dernières, un danger en permanence pour ceux qui s’y rendent.
                      En Kabylie, “on a autant peur de tomber nez à nez avec ces criminels du GSPC que sur leurs engins explosifs semés par-ci, par-là”, entend-on souvent dire chez les citoyens.

                      La première victime à Yakourène
                      Certains faits enregistrés dans quelques localités de la wilaya justifient amplement cette peur. Yakourène, une région située à environ 60 km de la ville de Tizi Ouzou connue pour être une des bases arrière du GSPC en Kabylie, et ayant vécu durant tout l’été 2007 au rythme de l’insécurité, vient d’enregistrer sa première victime depuis le début de la campagne oléicole.
                      Il s’agit d’un jeune âgé de 35 ans, tombé le 23 novembre dernier sur une bombe artisanale enfouie sous terre, à Timarissi, par les acolytes de Droukdel et qui a explosé l’atteignant grièvement. Évacué d’urgence vers l’hôpital d’Azazga, la victime a été amputée d’une jambe.
                      Le surlendemain, c’est au village de Taourirt Aaden, dans la région de Mekla, d’enregistrer une autre victime et dans les mêmes conditions. Le jeune S. K., âgé de 22 ans se rendait à l’oliveraie familiale avec les autres membres de sa famille lorsqu’il sauta soudainement sur un engin explosif qui l’a, lui aussi, grièvement atteint. Dans le massif de Sidi Ali Bounab, des habitants de cette région, dont la situation sécuritaire a défrayé la chronique en termes d’événements sécuritaires, racontent que certains d’entre eux ont eu à croiser, en se rendant à leurs oliveraies, des terroristes qui leur ont déconseillé de se rendre dans certains endroits minés par des bombes artisanales. “Rien que de les croiser et quelle que soit la manière avec laquelle ils s’adressent à nous, on est déjà terrorisés”, nous raconte un habitant de la région.

                      Les traces des terroristes font peur à Larbaâ Nath Irathen et à Aïn El-Hammam
                      Dans la région des Ouacifs, située à une quarantaine de kilomètres de Tizi Ouzou, les paysans ont déjà eu à les croiser mais sans que le moindre mal leur ait été fait. La peur de les avoir en face leur suffisait. Près de certains villages de Larbaâ Nath Irathen et d’Aïn El-Hammam, on n’a pas encore signalé de cas de “rencontre” entre les villageois et des groupes terroristes, mais leur ombre est partout. “J’ai retrouvé leurs traces plusieurs fois dans mon champ situé à la limite du massif de Takhoukht. J’ai eu à découvrir au milieu de mes oliviers, et à plusieurs reprises, des boîtes de conserve, des restes de nourriture et aussi des traces d’un feu autour duquel plusieurs personnes étaient assises”, nous raconte Mohand Akli, un paysan sexagénaire d’un des villages de Larbaâ Nath Irathen.
                      À Boghni, dans le sud de la wilaya de Tizi Ouzou, un groupe de chasseurs a été passé à tabac par un groupe terroriste qu’il a croisé en pleine forêt, nous a-t-on raconté. Leurs fusils de chasse ne leur ont pas été confisqués mais les terroristes leur ont demandé leurs papiers, qu’ils n’avaient pas sur eux, avant de les rouer de coups. Ils les soupçonnaient de travailler pour le compte des services de sécurité. Autant de cas enregistrés, et la campagne oléicole vient à peine de débuter.
                      Aujourd’hui, la peur à elle seule ne suffit sans doute pas à expliquer l’abandon progressif de l’oléiculture, puisque ces raisons sont aussi économiques et sociales, mais l’insécurité a poussé bien des villageois à abandonner leurs oliveraies et à renoncer à la traditionnelle cueillette des olives. Ce ne sont évidemment là que des cas minoritaires en Kabylie. Ceux qui ont leurs oliveraies à proximité des maquis terroristes. La majorité des familles en Kabylie restent, en dépit de la peur, profondément attachées à cet arbre emblématique, indissociable de leur vie culturelle et économique, qu’est l’olivier, tout comme au bon vieux temps. “L’olivier avec certains vieux troncs sont aussi immémoriaux et impavides aux épisodes de l’histoire. Ils ont vu naître, vivre et mourir nos pères et les pères de nos pères. À certains, on donne des noms comme à des amis familiers ou à la femme aimée parce qu’ils ont tissé nos joies comme la trame des burnous qui couvrent nos corps”, disait encore Mouloud Mammeri à Jean Pellegri en guise d’explication de ce que peut représenter un olivier pour le paysan kabyle. Cette explication reste, d’ailleurs, toujours d’actualité en Kabylie où, ajoute Mammeri, “quand l’ennemi veut nous atteindre, c’est à l’olivier qu’il s’en prend d’abord”. C’est sans doute ce sentiment qui a généré les nombreuses manifestations en Kabylie durant l’été dernier, notamment à Aït Yahia Moussa où plusieurs hectares d’oliviers ont été incendiés. Mais il n’y a, à vrai dire, pas seulement que cette symbolique qui pousse le paysan à vaincre sa peur et à aller vers ses oliviers. La motivation est surtout économique. En dépit des 400 hectares d’oliviers incendiés durant l’été dernier, la récolte s’annonce exceptionnelle pour cette saison.
                      Selon les prévisions des services agricoles, un hectare qui produisait 10 quintaux les années précédentes produira cette année entre 20 à 25 quintaux. Ainsi, la production oléicole, qui était l’année passée de 264 000 q, peut passer cette année à 500 000 q. Avec des prix allant de 400 à 500 DA le litre, du moins selon les prix pratiqués jusque-là, le villageois ne semble pas être près, quel que soit le degré de sa peur, de renoncer à cette richesse, principale pour certains et supplémentaire pour d’autres.

                      Samir LESLOUS

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                      • #56
                        Rbull
                        Sur la vidéo à la 6eme minute 30 seconde, la récitation coranique me fout la chaire de poule. Impressionant
                        De quel coran tu parles ,il n'y a pas un seul mot d coran ,tout ce qu'on entend c'est l'eloge de "la guerre" avec un accent qui n'a rien a voir avec l'algerie,c'est un accent Wahabite.ça devient grave
                        Coucher du soleil à Agadir

                        Commentaire


                        • #57
                          Bonjour, comment avoir cette vidéo
                          faut aller sur Bakchich,ça n'est pas bon a voir,mais ..
                          Coucher du soleil à Agadir

                          Commentaire


                          • #58
                            slt je demande si cette video n'ai pas un montage ,

                            comment ce fait il que personne na appelé les forces de securite avec tout ce monde il ai obligé que quelqun ai un portable

                            le tir a bout portant de la klash ma etonné ,je l'ai ecouté 30 fois ya un truc qui tourne pas rond

                            un quotidien a t'il rapporter cette info merci
                            Dernière modification par ballak, 30 novembre 2008, 20h32.

                            Commentaire


                            • #59
                              moha

                              Dès 2004, quand j'ai "milité" pour le NON, je savais que bouteflika avec sa politique désastreuse et son souhait de détruire l'algérie allait faire peut être l'une des plus grosses gourdes que les gens auront connus.:22:

                              Malheureusement, Attendez vous à plus qu'avant, car cela fait 10 ans que 9000 criminels se préparent!!!! Allah yastar ou khlass, inchallah dieu nous donnera un vrai gouverneur qui nous sauvera de cette maladie du terrorisme.

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                              • #60
                                slt je demande si cette video n'ai pas un montage
                                par essence même la plus grande partie des films et videos sont des montages (image et son), un film que tu voi au cinema c'est 100% montage...

                                Commentaire

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