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La moitié des Algériens est tentée par la harga

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  • La moitié des Algériens est tentée par la harga

    Après les articles, les reportages, les analyses, il était temps de toucher au sujet des harragas à travers un sondage d’opinion. Liberté l’a réalisé et publie aujourd’hui les résultats qui éclairent encore plus sur ce phénomène omniprésent dans l’actualité algérienne depuis presque deux ans. Réalisé avec la collaboration de MM. Okba Khiar et Mustapha Aïnouche, tous deux experts dans la réalisation et le traitement des enquêtes statistiques, ce sondage d’opinion vient avant toute chose tirer la sonnette d’alarme quant à la gravité du phénomène de la harga. Le premier résultat significatif est le fait que près de la moitié des Algériens, si l’occasion se présente, ne rateraient pas de tenter la harga.

    Aussi pour mesurer un peu la dimension que ça prend, 81% affirment qu’il y a dans leur entourage des personnes en stand-by, prêtes à faire le grand saut et se disent disposées à payer très cher pour cela. Il y a aussi le côté répressif de la question qui devient de plus en plus perceptible. Après le vide juridique que tout le monde avait constaté, ne sachant plus sur quelle base on pouvait juger ces jeunes qui finalement ne transgressaient que les lois des pays “ciblés”, voilà qu’une accélération des procédures s’est produite ces derniers mois avec, à la clé, la seule solution que semblent donner les responsables du pays : la répression. À tel point que même les familles des harragas sont pointées du doigt et se disent passibles de poursuites judiciaires. C’est qu’il y a pour cela un précédent. Il y a quelques semaines, quelques parents de harragas de l’est du pays s’étaient réunis à Annaba pour s’enquérir auprès du consul tunisien de la situation de leurs enfants qui seraient, selon eux, incarcérés dans les prisons tunisiennes.

    Pour faire face à leur attroupement, les services de sécurité n’ont pas trouvé d’autre solution que de les… arrêter. “Ces familles ont été tout simplement flouées”, nous affirma Kamel Belabed, représentant du collectif des familles des harragas disparus. Il ajoutera : “Les policiers leur avait dit que le wali allait les recevoir pour après se voir mettre les menottes. Certes, il n’y a pas eu de condamnations, et aucune loi répressive ne peut être appliquée contre les familles de harragas. Mais l’histoire retiendra que pas moins de quatre parents ont passé une semaine en prison avant d’être relâchés juste parce qu’ils revendiquaient leur droit : connaître le sort de leur enfant.”

    Quant au sondage en question, il a été effectué entre le 3 et 14 novembre dernier à travers 5 wilayas du centre, 5 de l’est et 4 de l’ouest du pays. 14 questions ont été posées par 15 enquêtrices et enquêteurs à 1 364 sondés de sexe masculin, âgés entre 15 et 34 ans. Le questionnaire a été rédigé en arabe et en français et a été structuré en deux parties : identification socio-démographique du jeune enquêté et les questions en elles-mêmes. Les départs sont là, les écrits sont là, les images surtout sur le net sont partout, reste les solutions à trouver et elles ne sont sûrement pas celles appliquées jusqu’à maintenant. Cette enquête tente surtout de mettre un peu plus de lumière sur ce phénomène. À la lecture des résultats, nos jeunes semblent répondre à Haraucourt et sa phrase “partir, c’est mourir un peu” par un “rester, c’est mourir beaucoup”. Pourrait-on les contredire ?

    source : Liberté

  • #2
    Il y a certainement une idéalisation, mais c'est quand même étonnant un tel chiffre. Il faut le considérer comme autre chose qu'une simple lubie.

    Oui la vie en communauté est plus chaleureuse, mais elle a été au bout de ce qu'elle pouvait compenser des manquements divers de la société politique et de la gestion du pays.

    Un amortisseur familial, aussi souple soit-il, ne règle pas ces manquements là, il permet juste de mieux les supporter. Si on se fie à ce désir de fuir, il semble que les limites sont atteintes.

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    • #3
      La moitié des Algériens est tentée par la harga
      soit 17 millions d'algériens

      C'est quoi ces journalistes ?
      .


      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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      • #4
        l'algerie ne veut pas installer et ouvrire les université les ecoles les theatre devant des seminariste ou par le billet des seminaires des intelectuel libre et lié aux etats et aux adminsitrations peuvent donner une conference debat pour faire comprendre aux gens les ampleurs des phenomenes sociaux.

        l'immigration clandestine est un phenomene de socité. le seminaire purra faire savoir au gens les dangers de ce mouvement. le harrague croit trouver le paradis mais il finit par tomber en enfer entre les mains de reseaux criminels qui vont faire de lui un criminel pour lancer contre les riches de producteurs de la planete. toujours Satan en mouvement

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        • #5
          les harragas V.I.P , et de première classe qui essaient de moraliser les harragas traversant la mer dans le radeau méduse .
          l'harrga c'est un résultat , il faut chercher la cause pour trouver le remède.
          "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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          • #6
            soit 17 millions d'algériens

            C'est quoi ces journalistes ?
            ca depasse de loin la moyenne des 4 harragas par jour

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            • #7
              Quant au sondage en question, il a été effectué entre le 3 et 14 novembre dernier à travers 5 wilayas du centre, 5 de l’est et 4 de l’ouest du pays. 14 questions ont été posées par 15 enquêtrices et enquêteurs à 1 364 sondés de sexe masculin, âgés entre 15 et 34 ans.
              Qui a réalisé ce sondage ?
              Les vérités que l'on aime le moins à entendre sont celles que l'on a le plus intérêt à connaître.

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              • #8
                il a été effectué entre le 3 et 14 novembre dernier à travers 5 wilayas du centre, 5 de l’est et 4 de l’ouest du pays. 14 questions ont été posées par 15 enquêtrices et enquêteurs à 1 364 sondés de sexe masculin, âgés entre 15 et 34 ans.

                C’est ça l'échantillon qui a permis d’en conclure la grossièreté érigée en titre !!!
                .


                Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                • #9
                  Certaiins Marocains de FA vont adorer...
                  héhéhé

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                  • #10
                    Salut Bachi

                    regarde bien, l'éclaireur est déjà sur les lieux
                    .


                    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                    • #11
                      Ils vont en parler pendant des mois et en user comme argument à toutes les sauces...
                      héhéhé

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                      • #12
                        oui une moitié est tentée de le faire et l'autre moitié la déja fait
                        عَلى قَدْرِ أهْلِ العَزْم تأتي العَزائِمُ

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                        • #13
                          oui une moitié est tentée de le faire et l'autre moitié la déja fait
                          c'est vrai , que nous sommes un peuple à part, nous sommes trois moitiés .





                          la sortie SVP ----------------------> merci.
                          .


                          Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                          • #14
                            Latino

                            Les marocains et les Tunisiens fuient vers l'Algérie ??????? Ca doit être une erreur dans leur parcours
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #15
                              Harragua : vous allez ou ?? les europeens ne veulent pas de vous, la bas vous serez traiter comme des esclaves.
                              nos grands peres et nos ancetres,meme aux moments les plus delicats au temps du colonialisme,avec toute la misere qu'ils subissaient n'ont pas quittes leur patrie,ils se sont accroches,jusqu'au bout.
                              Jean marie le pen vous a bien dit:vos ancetres se sont bien battus pour liberer votre patrie,revenez en algerie et faite qu'elle soit un eldorado comme la france.
                              عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

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