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Bouteflika : «Il faut se libérer de l’illusion de l’aisance financière»

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  • Bouteflika : «Il faut se libérer de l’illusion de l’aisance financière»

    Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé, dimanche passé, une réunion du Conseil des ministres.

    Au cours de cette réunion, le Conseil a d'abord examiné et approuvé le projet de Plan d'actions élaboré par le Premier ministre pour la mise en œuvre du programme du président de la République.

    Conformément aux dispositions pertinentes introduites par la dernière révision constitutionnelle, ce document expose la démarche par laquelle, son gouvernement entend poursuivre l'exécution de son programme présidentiel. Il prend également en charge les directives émises par le chef de l'Etat, notamment lors des réunions restreintes qu'il a personnellement présidées en septembre dernier sur les différents dossiers. Il ressort de ce plan d'actions que le gouvernement, «veillera à faire avancer les différentes réformes et mutations destinées à renforcer l'Etat de droit et à améliorer la gouvernance», dans les secteurs de la justice, des collectivités locales, de l'administration économique, de l'aménagement du territoire et de l'environnement, ainsi que la communication.

    Le même effort sera consacré au développement économique, la réalisation des infrastructures de base et la promotion de l'emploi, de même que les chantiers et les objectifs définis dans le programme présidentiel.

    Cependant, des incertitudes pèsent encore sur les perspectives économiques, dans le monde et son incidence sur notre pays. les données de cette crise valident, plus que jamais, les directives présidentielles plusieurs fois réitérées, à l'effet de combattre tout gaspillage des ressources, rationaliser les dépenses de fonctionnement notamment et promouvoir, de manière plus soutenue, une économie diversifiée.

    L'Algérie, s'est attelée ces dernières années, à une gestion rationnelle et prudente des finances publiques, conformément aux directives et orientations du président de la République, notamment, par le paiement anticipé de la dette extérieure, un placement des réserves de change, ayant fait prévaloir le critère de sécurité sur celui du profit, ainsi que la création d'un fonds de régulation des recettes de la fiscalité pétrolière. Tout cela, permet aujourd’hui au pays d'envisager la poursuite de l'engagement de l'Etat dans le financement du développement. Intervenant, à l'issue de l'examen de ce dossier, le Président Abdelaziz Bouteflika a relevé que «la crise financière et économique mondiale a d'abord valeur d'avertissement, en ce sens, qu'elle est venue rappeler à chacun, que la situation de nos finances publiques et, partant, de notre économie ainsi que du bien-être des citoyens, demeurent encore dépendante des seules exportations des hydrocarbures.»

    La transition de notre pays vers une économie de marché, est considéré nécessaire pour une économie, diversifiée et productive, "J'espère que cette réalité difficile donnera encore plus de force à mes appels répétés à nous libérer de l'illusion de l'aisance financière, laquelle a toujours été très aléatoire à mes yeux, et à nous mettre davantage au travail pour bâtir une économie diversifiée à même de garantir sur le moyen et le long termes, la pérennité du développement du pays et du bien-être des citoyens", a souligné le président de la République.

    La mise en œuvre du programme quinquennal de développement en cours sera poursuivie avec la même intensité, le pays en possédant les moyens, a indiqué le président de la République.

    "La crise économique mondiale, quelle qu'en soit la durée, sera par nature, conjoncturelle, alors que les problèmes de développement de notre pays sont quant à eux des enjeux structurels qui doivent être pris en charge sans trêve, qu'il s'agisse de la réponse aux attentes sociales des citoyens, de la construction des infrastructures de base, de la relance de la production ou de l'appui à la croissance en général", a relevé le président de la République.

    "L'Algérie possède les moyens d'une telle politique. Il s'agit de rationaliser davantage encore les efforts, en veillant notamment à finaliser les études préparatoires des projets avant leur lancement pour éviter les révisions récurrentes des coûts.

    Il s'agit également d'accorder plus d'attention aux incitations requises pour le développement de l'économie productive de biens et de services dans le but de diversifier l'économie et de créer des emplois en nombre toujours plus important", a conclu le chef de l'Etat.

    La Dépêche de Kabylie

  • #2
    LE PRÉSIDENT BOUTEFLIKA LORS DU CONSEIL DES MINISTRES
    «Notre aisance financière est illusoire»
    10 Décembre 2008 - Page : 3
    Lu 145 fois «La crise financière et économique mondiale a d’abord valeur d’avertissement, en ce sens qu’elle est venue rappeler à chacun, que la situation de nos finances publiques demeure encore dépendante des seules exportations des hydrocarbures», a souligné le chef de l’Etat.
    Pragmatique, le président de la République remet les choses dans leur contexte. La crise financière et économique mondiale a valeur d’avertissement. L’économie nationale dépend des marchés extérieurs de par les exportations des hydrocarbures. De ce fait, la crise financière et économique mondiale, notamment ses répercussions, nous concerne en premier lieu.
    «La crise financière et économique mondiale a d’abord valeur d’avertissement, en ce sens qu’elle est venue rappeler à chacun, que la situation de nos finances publiques et, partant, de notre économie ainsi que du bien-être des citoyens, demeure encore dépendante des seules exportations des hydrocarbures», a souligné le chef de l’Etat dans son intervention, dimanche, lors du Conseil des ministres. Clair, net et précis.
    «J’espère que cette réalité difficile donnera encore de la force à mes appels répétés à nous libérer de l’illusion de l’aisance financière, laquelle a toujours été très aléatoire à mes yeux, et à nous mettre davantage au travail pour bâtir une économie diversifiée à même de garantir sur le moyen et le long termes, la pérennité du développement du pays et du bien-être des citoyens», a souligné le président de la République. Par ces mises au point, le Président Bouteflika a tenu à disqualifier certains hauts responsables qui ne cessaient d’affirmer que l’Algérie était à l’abri de la crise financière secouant le monde.
    Ces mêmes responsables justifient leur optimisme par la déconnexion de notre économie nationale du système financier international en raison des lenteurs enregistrées dans les réformes bancaires. Cependant, la réalité est tout autre. Mondialisation oblige, aucun pays ne peut se permettre de vivre en hibernation ni en autharcie.
    Intervenant à l’issue de l’exposé du ministre des Finances, le Président Bouteflika a affirmé: «Je relève avec satisfaction que tout cela confirme les choix que j’ai toujours considérés nécessaires pour accompagner la transition de notre pays vers une économie de marché diversifiée et productive. Cela devrait consolider le consensus national quant à la nécessité pour l’Etat (...) de garder le contrôle sur les secteurs stratégiques de notre économie, et pour barrer la voie à toute volonté spéculative au détriment de nos intérêts nationaux.» Connaissant fort bien le poids des revenus pétroliers dans l’économie nationale, le chef de l’Etat a vivement appelé les principaux opérateurs économiques du pays à diversifier leurs secteurs d’activités et de garantir l’économie du pays à moyen et long termes.
    C’est dans ce contexte que le Président a rappelé les premières lignes du programme quinquennal de développement prochainement mis en oeuvre, touchant tous les secteurs, et principalement l’économie.
    Il a déclaré dans ce sens que «la crise économique mondiale, quelle qu’en soit la durée, sera, par nature, certes, conjoncturelle, alors que les problèmes de développement de notre pays sont quant à eux des enjeux structurels qui doivent être pris en charge sans trêve, qu’il s’agisse de la construction des infrastructures de base, de la relance de la production ou de l’appui à la croissance en général».
    Aussi, les données de cette crise valident plus que jamais les directives présidentielles plusieurs fois réitérées, à l’effet de combattre tout gaspillage des ressources, rationaliser les dépenses de fonctionnement, notamment, et promouvoir de manière plus soutenue une économie diversifiée. Comme le disait Ahmed Ouyahia, le seul moyen pour se prémunir contre les effets de cette crise est de travailler. «Il faut qu’on travaille. Il faut qu’on cesse de penser que nous sommes devenus un pays riche et ne plus parler d’aisance financière», avait-il martelé.
    Yasmine ZOUAGHI


    l'expression

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    • #3
      J'espère que cette réalité difficile donnera encore plus de force à mes appels répétés à nous libérer de l'illusion de l'aisance financière
      je ne comprends toujours pas ce qu'il veut dire par "appel" !!!

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      • #4
        ben en gros je croit qu'il veut plus que le petit peuple parle ou pense au 140 mld de dollars qu'ils on mis dans les banque americaines !!!
        mais franchement meme cette illusion d'un certaine aisance fianciere ne nous a meme pas touche on en pas profite alors ses serment et ses phrases bateau il peut les guarder pour lui non mais ??? puis-quoi encore
        PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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        • #5
          LE PRÉSIDENT BOUTEFLIKA LORS DU CONSEIL DES MINISTRES
          «Notre aisance financière est illusoire»
          GOULEHA LI BIBIT

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          • #6
            conformément aux directives et orientations du président de la République,

            Il se prend vraiment pour le guide suprême.
            Personne d'autre que lui ne décide de quoi que ce soit.

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            • #7
              Il se prend vraiment pour le guide suprême.
              Personne d'autre que lui ne décide de quoi que ce soit.
              tous les minus sont comme ça cher laari1
              saha aidek frere
              mm les phaarons n'ont pas durer
              alors que dire d'un petit megalomane de msirdi manqué
              Dernière modification par el DjaZaiiri, 10 décembre 2008, 16h50.

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              • #8
                Liberez-nous Monsieur le President de nos reves et de nos illusions qui vont mettre le pays en banqueroute.

                oui Monsieur le resident on vous donnent les cles des reves qui ouvreent les coffres de la Banque D'Algerie:22:
                There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

                Commentaire


                • #9
                  Liberez-nous Monsieur le President de nos reves et de nos illusions qui vont mettre le pays en banqueroute.

                  oui Monsieur le resident on vous donnent les cles des reves qui ouvreent les coffres de la Banque D'Algerie:22:
                  __________________
                  Moi je ne rêve pas
                  Je suis comme écrasé par cette pierre sur ma poitrine !
                  et je n'ai pas d'illusions

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                  • #10
                    il dit simplement que la cagnotte petroliere s est volatilisee...

                    le barilde de petrole comme je l ai tant souhaite' approchera les 30 dollars... ils vont tous detaler vers la suisse pour rejoindre leur rente mal acquise...
                    Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

                    Commentaire


                    • #11
                      les paroles les paroleeee

                      il a eu 2 mandat le teftef pour faire façe a ca et c'est maintenant qu'il ouvre les yeux

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                      • #12
                        ils vont tous detaler vers la suisse pour rejoindre leur rente mal acquise...
                        Non impossible miss
                        malgré la mascarade de la charte sur la Reconciliation nationale
                        le TPI les attends toujours au tournant d'une plainte et les plaignants sont légions mais se taisent ce n'est qu'une fois abattus les voleurs qu'ils tireront leurs couteaux.

                        Dernière modification par el DjaZaiiri, 10 décembre 2008, 17h45.

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                        • #13
                          il dit simplement que la cagnotte petroliere s est volatilisee...

                          le barilde de petrole comme je l ai tant souhaite' approchera les 30 dollars... ils vont tous detaler vers la suisse pour rejoindre leur rente mal acquise..


                          Pour une fois je partage tes idées hbibna mmis_ttaq-vaylit ; quand j'ai parlé de la mafia qui importe des oranges d'Argentine et des citrons du Chilie et j'avais dis que voilà comment l'argent est blanchie pour prendre la route vers les banques en Suisse et à Monaco, j'étais étais lynché par certains,dans ce forum même, mais ça fait rien, continuez à defendre ces criminels vous serez responsables devant l'histoire.
                          Faute de grives , nous mangeons des Merles

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                          • #14
                            Moha

                            On ne devrait même plus lui faire le plaisir, de le citer, vu que tout ce qu'il dit, il ne le pense pas, et vu qu'il s'en fou de nous, alors à nous, de lui montrer qui est le maitre!! il peut peut-être prendre le pouvoir et ne plus le lacher en algérie, mais nous on a d'autres pouvoirs.

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