debout la république !
c'est le cri que je lance à tous les patriotes :
républicains démocrates socio -démocrates ; musulmans ou communistes d'algérie.
Face au discours ambiant qui veut clochardiser la République et l'algérie pour imposer un dictateur .
je rappelle la modernité du projet socio- démocrate et républicain dans un islam modéré et moderne énoncé dans la plate forme de l'historique conférence de la Soumam par nos chouhadas (allah yarhamhoum bi rahmatih).
à LIRE pour rappel !
La République algérienne,( RA tout court et sans chichi ) est une idée d'avenir .
Face au développement de la crise économique mondiale et la perversion politique locale qui provoque nombre de remous dans la vie quotidienne de la population , notamment algérienne .
le plus « politique » d'entre elle a l'incertitude qui pèse sur l'avenir du pays .
notre République est particulièrement à genoux , brisée par les coups mortels qu'elle a recue depuis 1956 .
On la dit malade de ses choix idéologiques , de son inadaptation aux « nouvelles réalités » du monde ;
et on prétend la transformer à la sauce ambiante sans la répudier.
Mais, au fond, la République algérienne est-elle compatible :
avec la disparition progressive de ce qui la fonde et la fait vivre, sa souveraineté nationale, sa vie socio-démocratique, son idéal d'intérêt général et, partant, ses valeurs fondamentales de liberté,de fraternité et de justice sociale ?
elle est devenue un simple état voyou, une coquille vide !
oui ! privée de son principal acteur :
la nation souveraine et l'état qui l'incarne, du souffle qui l'anime la volonté exprimée par le serment de nos chouhadas et de leur projet de société énoncés ci dessus .
elle ne se résume plus quà un vague prêchi-prêcha déconnecté de toute réalité tangible ?
Car la République, au cas où on l'on aurait oublié ?
ce n'est pas simplement un certain nombre de mots, d'habitudes ;d'institutions et de valeurs, hérités de notre gloire passée et soi-disant malléables à l'infini en fonction des contraintes de la « modernité ».
Non seulement les mots ont un sens, avec lesquels il est toujours dangereux de tricher, mais aussi la République s'enracine dans une expérience vécue et sensible, dans l'histoire, qu'il serait irresponsable d'ignorer.
Or, la séquence historique actuelle dans laquelle la République algérienne
s'inscrit aujourd'hui est mortelle pour elle .
Toute la question est de savoir si nous nous situons encore dans cette ère, si nous devons ou non en changer et à quel prix.On veut faire croire aux algériens que la République est inadaptée au monde d'aujourd'hui, façon criminelle de se débarrasser de ses exigences.
Par exemple, on privatise les biens publics que sont la Sonatrach les PTT etc non content de priver la collectivité locale des outils nécessaires pour faire face aux formidables défis socio-économiques qui se posent à elle, cela revient ainsi à restaurer le pouvoir de grands féodaux et maffieux , assis sur des privilèges exorbitants et capables de s'affranchir de toute contrainte réelle d'intérêt général.
Cet exemple me parait emblématique du mouvement proprement anti républicain, pour ne pas dire contrerévolutionnaire et rétrograde, qui est en train, sous la pression du pouvoir personnel et des grands intérêts internationaux,
d'emporter morceau par morceau non seulement la République mais aussi la Nation,
c'est-à-dire la « République algérienne » comprise comme un projet de civilisation original et digne d'être défendu.
Car, en effet, notre République est et demeure profondément moderne.
En fait de modernité, de capacité à générer du Progrès pour tous et à maitriser les défis de l'avenir, on a en réalité rien inventé de mieux que l'état-nation .
La République algérienne est une idée d'avenir
d'ailleurs, elle ne doit en aucun cas transiger sur l'essentiel : sur ses principes, sur son idéal de justice partagée et de démocratie adulte, sur la défense de ses intérêts et de ses « exceptions » \(principes de l'islam moderne , services sociaux et publics accessibles, arabité et amazigité, diversité culturelle et linguistique, politique étrangère de non-alignement, art de vivre,dont elle na pas à rougir et que beaucoup d'ailleurs nous envient hors de nos frontières.
La République est un bloc de principes immuables.
mais un bloc fragile car particulièrement exposé
AU COUPS DE BUTOIR DE SES TRAITRES
que voudraient lui faire subir
les FAUX DÉVOTS .
Vive la République algérienne!
c'est le cri que je lance à tous les patriotes :
républicains démocrates socio -démocrates ; musulmans ou communistes d'algérie.
Face au discours ambiant qui veut clochardiser la République et l'algérie pour imposer un dictateur .
je rappelle la modernité du projet socio- démocrate et républicain dans un islam modéré et moderne énoncé dans la plate forme de l'historique conférence de la Soumam par nos chouhadas (allah yarhamhoum bi rahmatih).
à LIRE pour rappel !
La République algérienne,( RA tout court et sans chichi ) est une idée d'avenir .
Face au développement de la crise économique mondiale et la perversion politique locale qui provoque nombre de remous dans la vie quotidienne de la population , notamment algérienne .
le plus « politique » d'entre elle a l'incertitude qui pèse sur l'avenir du pays .
notre République est particulièrement à genoux , brisée par les coups mortels qu'elle a recue depuis 1956 .
On la dit malade de ses choix idéologiques , de son inadaptation aux « nouvelles réalités » du monde ;
et on prétend la transformer à la sauce ambiante sans la répudier.
Mais, au fond, la République algérienne est-elle compatible :
avec la disparition progressive de ce qui la fonde et la fait vivre, sa souveraineté nationale, sa vie socio-démocratique, son idéal d'intérêt général et, partant, ses valeurs fondamentales de liberté,de fraternité et de justice sociale ?
elle est devenue un simple état voyou, une coquille vide !
oui ! privée de son principal acteur :
la nation souveraine et l'état qui l'incarne, du souffle qui l'anime la volonté exprimée par le serment de nos chouhadas et de leur projet de société énoncés ci dessus .
elle ne se résume plus quà un vague prêchi-prêcha déconnecté de toute réalité tangible ?
Car la République, au cas où on l'on aurait oublié ?
ce n'est pas simplement un certain nombre de mots, d'habitudes ;d'institutions et de valeurs, hérités de notre gloire passée et soi-disant malléables à l'infini en fonction des contraintes de la « modernité ».
Non seulement les mots ont un sens, avec lesquels il est toujours dangereux de tricher, mais aussi la République s'enracine dans une expérience vécue et sensible, dans l'histoire, qu'il serait irresponsable d'ignorer.
Or, la séquence historique actuelle dans laquelle la République algérienne
s'inscrit aujourd'hui est mortelle pour elle .
Toute la question est de savoir si nous nous situons encore dans cette ère, si nous devons ou non en changer et à quel prix.On veut faire croire aux algériens que la République est inadaptée au monde d'aujourd'hui, façon criminelle de se débarrasser de ses exigences.
Par exemple, on privatise les biens publics que sont la Sonatrach les PTT etc non content de priver la collectivité locale des outils nécessaires pour faire face aux formidables défis socio-économiques qui se posent à elle, cela revient ainsi à restaurer le pouvoir de grands féodaux et maffieux , assis sur des privilèges exorbitants et capables de s'affranchir de toute contrainte réelle d'intérêt général.
Cet exemple me parait emblématique du mouvement proprement anti républicain, pour ne pas dire contrerévolutionnaire et rétrograde, qui est en train, sous la pression du pouvoir personnel et des grands intérêts internationaux,
d'emporter morceau par morceau non seulement la République mais aussi la Nation,
c'est-à-dire la « République algérienne » comprise comme un projet de civilisation original et digne d'être défendu.
Car, en effet, notre République est et demeure profondément moderne.
En fait de modernité, de capacité à générer du Progrès pour tous et à maitriser les défis de l'avenir, on a en réalité rien inventé de mieux que l'état-nation .
La République algérienne est une idée d'avenir
d'ailleurs, elle ne doit en aucun cas transiger sur l'essentiel : sur ses principes, sur son idéal de justice partagée et de démocratie adulte, sur la défense de ses intérêts et de ses « exceptions » \(principes de l'islam moderne , services sociaux et publics accessibles, arabité et amazigité, diversité culturelle et linguistique, politique étrangère de non-alignement, art de vivre,dont elle na pas à rougir et que beaucoup d'ailleurs nous envient hors de nos frontières.
La République est un bloc de principes immuables.
mais un bloc fragile car particulièrement exposé
AU COUPS DE BUTOIR DE SES TRAITRES
que voudraient lui faire subir
les FAUX DÉVOTS .
Vive la République algérienne!
Commentaire