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L'Algérie se dirige vers l'abolition de la peine de mort.

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  • L'Algérie se dirige vers l'abolition de la peine de mort.

    Aprés un gel de 15 ans , l'Algérie se dirige vers l'abolition de la peine de mort.
    مجمد أصلاً منذ أكثر من 15 عاما
    الجزائر تتجه لإلغاء عقوبة الإعدام وتعويضها بالسجن المؤبد

    الجزائر- رمضان بلعمري
    تتجه الجزائر إلى إلغاء عقوبة الإعدام وتعويضها بعقوبة السجن المؤبد، وهي المرة الأولى، برأي المراقبين، التي تتفق
    فيها السلطة والمعارضة على "السعي معا" لاصدار تشريع موحد، في الوقت الذي تواصل فيه محاكم الجنايات إصدار أحكام بالإعدام في حق أمراء الإرهاب، أبرزهم الأمير الحالي للجماعة السلفية للدعوة والقتال أبو مصعب عبد الودود.

    وفي هذا السياق، تقدم النائب علي براهيمي عن حزب التجمع من أجل الثقافة والديمقراطية (حزب معارض) في االأسبوع الماضي بمقترح قانون عن كتلة الحزب يرمي لإلغاء عقوبة الإعدام، في الوقت الذي يوجد رئيس أعلى هيئة استشارية لحقوق الإنسان في الجزائر(تابعة لرئاسة الجمهورية) على نفس الموجة، بحيث لم يتوقف فاروق قسنطيني عن المطالبة بإلغاء عقوبة الإعدام وتعويضها بالسجن المؤبد.
    الدولة لا تقتل"
    وقال قسنطيني في تصريح خاص بـ"العربية.نت" أنه "لمس إشارات من الرئيس بوتفليقة باتجاه إلغاء هذه العقوبة رغم عدم إعلانه ذلك بشكل رسمي"، واستدل رئيس أعلى هيئة حقوقية في الجزائر على كلامه بالقول "لا يخفى على أحد أن الرئيس بوتفليقة قام في أكتوبر 2001 بإصدار مرسوم رئاسي يقضي بالعفو لصالح مائة محكوم عليهم بالإعدام، كما أنه طيلة فترة حكمه لم يسمح بتطبيق حكم إعدام واحد في حق من وجبت عليهم هذا العقوبة".

    وبالنسبة لقسنطيني، فإن "الدولة والعدالة لا تقتل، وتجريب عقوبة الإعدام عالميا أثبتت عدم فعاليتها ولهذا تخلصت الدول المتقدمة منها"، وعندما سئل قسنطيني عن دوافع استماتته لإلغاء عقوبة الإعدام من التشريع الجزائري رغم كونه حدا من الحدود الشرعية في الإسلام، رد المتحدث بالقول "أعتقد جازما أن الدولة الجزائرية لا تطبق الشريعة الإسلامية وإنما تحتكم إلى القانون الوضعي، وقانون الأحوال الشخصية المستمد من الشريعة الإسلامية مجرد استثناء".
    عقوبة لتصفية الخصوم
    ومن جهته، أكد بوجمعة غشير رئيس الرابطة الوطنية لحقوق الإنسانية، وهي منظمة حقوقية محسوبة على المعارضة في الجزائر، أنه كان من أوائل الداعين لإلغاء عقوبة الإعدام حيث عمل منذ عام 1985 للوصول إلى تحقيق هذا الهدف.

    وأعرب غشير في حديثه لـ"العربية.نت" عن استغرابه من موافقة البرلمان الجزائري على برمجة يوم دراسي الاثنين المقبل لمناقشة مطلب إلغاء عقوبة الإعدام من التشريع الجزائري.

    وعبر بوجمعة غشير عن قناعته بأن "الإعدام كان ولا يزال في أماكن مختلفة من العالم ومنها الجزائر، عقوبة تستعمل لتصفية الخصوم السياسيين وتستخدم في أغلب الأحوال بانتقائية ضد أشخاص معينين".

    ويذكر أن الجزائر توقفت عن تطبيق عقوبة الإعدام منذ 1993 حيث جرى تنفيذها ضد مفجري مطار هواري بومدين الدولي، ومنذ ذلك التاريخ صدرت مئات الأحكام بالإعدام خصوصا أمراء الإرهاب وعناصر الجماعات الإرهابية لكن لم ينفذ أي حكم منها، نظرا لانخراط قياديين محكوم عليهم بالإعدام في حملة المصالحة الوطنية.


    alarabiya.net

  • #2
    La mort en silence se substituera à la peine de mort.

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    • #3
      CA DEPEND POUR QUi!! pour les terroriste peine de mort sans pitié


      mais c que Boutef il aime les terroriste ou quoi

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      • #4
        La mort en silence se substituera à la peine de mort.
        Alors tais-toi
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #5
          CA DEPEND POUR QUi!! pour les terroriste peine de mort sans pitié

          mais c que Boutef il aime les terroriste ou quoi
          Non. pour les terroristes, il a prévu des récompenses

          Y a qu'à voir le train de vie des repentis.

          Abolir la peine de mort dans le contexte du terrorisme, comme si tout allait bien dans notre pays ... En réalité, ce genre de manoeuvres, c'est juste pour paraître bien aux yeux de la communauté internationale... de la poudre aux yeux... histoire de redorer (avec les moyens du bord) le blason de l'Algérie.

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          • #6
            bledard

            Si tu as le pouvoir, je me tais et je fais ce que bon me semble.

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            • #7
              Moha

              Terroriste ou non, elle doit être abolis.
              On n'est pas des animaux sans sentiments comme eux, tuer quelqu'un, c'est tuer qui que ce soit cette personne.
              Moi je pense que dans le cas de terros, les tuer c'est leur éviter de souffrir sur terre, or il ne mérite pas qu'on le leur évite, ils doivent passer tout le reste de leur vies entre 4 murs, pour qu'ils sachent ce que c'est que de se sentir oppressé, enfermé, pour qu'il ait mal à la tête à force de ne voir que les murs gris de leur cellules à longueurs de journées, d'ailleurs je paris qu'ils essayeront de se suicider.

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              • #8
                L'Algérie se dirige vers l'abolition de la peine de mort.

                C'est une question à poser à une famille qui a perdu un des ses enfants par un assassin.
                “En politique, rien n’arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon.” (Franklin Delano Roosevelt)

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                • #9
                  Beelo je pense que tu as tout résumé

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                  • #10
                    Les terroristes méritent la mort. Si on veut etre clément on pourrait leur couper le bras droit et la jambe gauche. L'Algérie ne doit pas abolir la peine de mort. Au contraire, les terroristes, trafiquants de drogue, kidnapeurs et violeurs d'enfants --> il faut les executer ilico presto. Et il faut etre franc: c'est pas pour apprendre une leçon aux autres mais bien pour punir, faire payer et se débarasser de la vermine.

                    ∑ (1/i²) = π²/6
                    i=1

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                    • #11
                      la grande majorite des detenus longue peine souhaite la mort, en france et en europe il n y a que a voir le nombre de suicide.
                      donc supprimer la peine de mort c est condamner un detenu a mourrir a petit feu ou se suicider.
                      si les dirigeants d amnesty faisait une anne de prison ils changeront vite d avis pour dire que la peine de mort est moins penible que la prison.

                      -----------------------------------------------------------------------


                      a voir tant de misere dans ce monde je soupconne dieu de ne pas etre riche.

                      Commentaire


                      • #12
                        Moha

                        a voir tant de misere dans ce monde je soupconne dieu de ne pas etre riche.
                        Et à voir tant de misère en algérie, tu soupçonnes aussi le gars dont tu affiches la photo de ne pas être riche???
                        Ce cas montre bien, que cette expression est non réfléchie.

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                        • #13
                          La peine de mort ferait disparaitre quelques secrets. Par exemple, un terroriste pourrait être plus utile vivant, en coopérant avec les serives de sécurités, il fournirait des éléments intéressants pour combattre ceux qui sont encore retranchés, que mort.

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                          • #14
                            Il faut l'abolir. J'éspère que cete fois ci c'est la bonne

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                            • #15
                              Abderrahmane Chibane, président de l’Association des oulémas, s’exprime sur la peine de mort «Les adeptes de l’abolition sont contre le peuple algérien, sa révolution et sa Constitution»
                              Par Djamel Zerrouk jeune-independant

                              L’Association nationale des oulémas condamne avec vigueur la position prise par le président de la Commission nationale consultative pour la protection et la promotion des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini, au sujet de l’abolition de la peine de mort.

                              Le président de la CNCPPDH, une institution rattachée à la présidence de la République, a déclaré, hier au forum d’El Moudjahid, que la peine de mort est un «supplice et une torture». «La peine capitale est un châtiment corporel, un supplice et, moi, je suis contre la torture et le châtiment corporel», a déclaré Me Ksentini tout en s’abstenant d’appeler clairement à son abolition. Présent lui aussi au forum, Me Miloud Brahimi, ex-président de la Ligue des droits de l’homme, a abondé dans le même sens. «Si l’Algérie veut être de son temps, elle doit abolir la peine capitale et introduire dans sa législation le crime contre l’humanité et son prolongement naturel qui est l’adhésion à la Cour pénale internationale», a-t-il dit. Le professeur Abderrahmane Chibane considère ces déclarations comme étant contraires aux valeurs du peuple algérien musulman. «Farouk Ksentini ignore-t-il que la Constitution consacre l’islam, dans son article 2, comme religion de la République algérienne ? Ignore-t-il que la déclaration du 1er Novembre 1954 a prévu que l’Etat algérien sera démocratique et social selon les principes islamiques ?», s’est interrogé le cheikh qui est reconnu unanimement comme une autorité morale incontestable en Algérie. Joint par téléphone, le cheikh paraissait un peu fatigué, sa voix était presque inaudible. «Je suis malade par rapport à ces agressions contre notre religion, l’islam. Si ce n’est pas un parti politique qui crie haut et fort sa détermination à supprimer un verset du Coran, ce sont des personnalités, qui sont pourtant des Algériens et des musulmans comme nous, d’appeler à l’abolition de la peine de mort», a-t-martelé en allusion au RCD dont le groupe parlementaire a organisé, lundi à l’APN, une journée sur l’abolition de la peine de mort. Cheikh Abderrahmane Chibane n’omet pas de mettre en garde contre toute «velléité de toucher à notre saint Coran». «On veut supprimer le verset 179 de la sourate Al-Baqara. Dans ce verset Dieu dit : ô croyants, vous avez dans les quissas une organisation saine de votre quotidien et cela si vous craignez Dieu». Le président de l’Association des oulémas rappelle le fait que supprimer le verset 179 équivaudrait à supprimer aussi le verset 183 de la sourate Al-Baqara concernant le jeûne obligatoire. «Développer une idée pareille c’est rejeter le Coran. C’est un fait sans précédent. C’est une attaque en règle contre notre cher pays, notre religion et notre révolution al moubaraka. Je me dois de le dénoncer devant Dieu et devant l’histoire. Que ceux qui ont peur des Etats-Unis qu’ils le disent», a conclu cheikh Abderrahmane Chibane. D. Z.

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