Bonjour;
À chacun ses sondages, voilà l’absence d’un institut de sondage algérien crédible laisse la place à la speculation, qui croire ?? je pense que le 8 Avril va nous reserver de grandes surprises.
il parait qu'à force de tapper sur Boutef donne l'effet inverse.
En insultant Boutef matin et soir, les journaux sont en train d'en faire une victime. Boutef les a traité de mercenaire de la plume à la solde des embassades etrangéres et son discours recoit des echos...
SELON UNE SÉRIE DE SONDAGES COMMANDÉS PAR DES CHANCELLERIES EUROPÉENNES
Bouteflika élu dès le premier tour
L’expression du 04-04-2004 -
Ce sérieux, jamais constaté dans le passé par les pays occidentaux en direction de l’Algérie, est dû au caractère ouvert de l’élection présidentielle de 2004.
La prochaine élection présidentielle intéresse au plus haut point les représentations diplomatiques des pays de l’Union européenne. Aussi, les ambassadeurs en poste à Alger, ont-ils tenté de connaître l’évolution des tendances électorales lourdes au sein de la société.
C’est ainsi que des sondages et autres enquêtes ciblées, ont été réalisées par ces représentations diplomatiques. Il en ressort, selon des sources concordantes, que le président sortant est donné vainqueur de la consultation électorale dès le premier tour. Nos sources insistent sur la fiabilité du travail de professionnels accompli par une armada de statisticiens occidentaux qui ont été instruits dans le sens de réaliser l’étude la plus complète et la plus exhaustive possible sur les chances réelles de chaque candidat au prochain scrutin.
Il est également précisé que les ambassades européennes établies à Alger ne se sont pas contentées d’un seul sondage, mais de plusieurs. Ils ont tenu compte des innombrables paramètres pour corroborer les résultats de leurs travaux.
Ce sérieux, jamais constaté dans le passé par les pays occidentaux en direction de l’Algérie, est dû au fait, avancent les mêmes sources, au caractère ouvert de l’élection présidentielle de 2004. Le retrait de l’armée du champ politique constitue, à ce propos, un indicateur majeur de la nouvelle démarche des Européens qui misent sur le succès du processus démocratique algérien pour mieux affronter le phénomène du terrorisme islamiste international, en passe de devenir la principale préoccupation des grandes capitales du monde.
Très attentives aux soubresauts de la scène politique nationale, les représentations diplomatiques de l’UE semblent vouloir s’assurer de la régularité du scrutin par anticipation, pourrait-on dire. En effet, les menaces à peine voilées, proférées ici et là, et qui évoquent la probable réédition du scénario géorgien est pris au sérieux par les puissances occidentales, d’où leur volonté de tout mettre en oeuvre pour avoir une photographie électorale qui soit la plus fidèle possible, affirment nos sources, qui révèlent la mise à contribution de nombreux services installés dans les pays d’origine. Lesquels ont dépêché des équipes, chargées spécialement de crédibiliser au maximum les opérations de sondages, aux fins de permettre une lecture rationnelle du phénomène électoral algérien.
Cette démarche, commandée, faut-il le préciser, par les plus hautes autorités des pays de l’UE est destinée essentiellement à permettre à ces pays d’adopter une position vis-à-vis des résultats qui sortiront des urnes, le 8 avril prochain.
Les résultats de ces nombreux sondages, ne seront, affirme-t-on, jamais rendus publics pour cause de la confidentialité de la démarche. Nos sources mettent cela sur le souci qu’ont les Européens de ne pas interférer dans le cours de la campagne électorale en Algérie.
Aussi, il ne nous a pas été possible de nous procurer les détails de ces travaux, dont on dit, qu’ils sont consignés dans un volumineux ouvrage.
On sait seulement que l’opinion nationale est majoritairement favorable à Bouteflika qui serait bien parti pour succéder à lui-même, dans le cas d’un scrutin transparent. En d’autres termes, il ne serait pas question d’un second tour.
Par ailleurs, nos sources tiennent à préciser que l’imposant travail n’est pas encore entièrement finalisé et que d’autres sondages de moindre importance sont actuellement en chantier, mais ils insistent sur le fait que la tendance lourde va à la réélection du chef de l’Etat pour un second mandat.
Par ailleurs, des indiscrétions émanant de certains cercles diplomatiques, annoncent une très prochaine offensive des hommes d’affaires en Algérie, ces derniers ayant été mis au parfum. On indique à cet effet, des contacts très poussés pour la réalisation d’importants investissements directs étrangers au lendemain de la présidentielle. Cet engouement des opérateurs économiques occidentaux, tiendrait du fait, relèvent nos sources, des fuites qui ont concerné les sondages auprès de certains milieux bien informés de l’évolution de la situation politico-économique du pays.
En fait, les multiples études sur l’élection présidentielle en Algérie, ont amené de nombreux pays européens à se disputer l’Algérie.
On en est pas encore à une situation d’investissement massive, mais cela ne saurait tarder, apprend-on de mêmes sources.
Mourad SID-ALI
À chacun ses sondages, voilà l’absence d’un institut de sondage algérien crédible laisse la place à la speculation, qui croire ?? je pense que le 8 Avril va nous reserver de grandes surprises.
il parait qu'à force de tapper sur Boutef donne l'effet inverse.
En insultant Boutef matin et soir, les journaux sont en train d'en faire une victime. Boutef les a traité de mercenaire de la plume à la solde des embassades etrangéres et son discours recoit des echos...
SELON UNE SÉRIE DE SONDAGES COMMANDÉS PAR DES CHANCELLERIES EUROPÉENNES
Bouteflika élu dès le premier tour
L’expression du 04-04-2004 -
Ce sérieux, jamais constaté dans le passé par les pays occidentaux en direction de l’Algérie, est dû au caractère ouvert de l’élection présidentielle de 2004.
La prochaine élection présidentielle intéresse au plus haut point les représentations diplomatiques des pays de l’Union européenne. Aussi, les ambassadeurs en poste à Alger, ont-ils tenté de connaître l’évolution des tendances électorales lourdes au sein de la société.
C’est ainsi que des sondages et autres enquêtes ciblées, ont été réalisées par ces représentations diplomatiques. Il en ressort, selon des sources concordantes, que le président sortant est donné vainqueur de la consultation électorale dès le premier tour. Nos sources insistent sur la fiabilité du travail de professionnels accompli par une armada de statisticiens occidentaux qui ont été instruits dans le sens de réaliser l’étude la plus complète et la plus exhaustive possible sur les chances réelles de chaque candidat au prochain scrutin.
Il est également précisé que les ambassades européennes établies à Alger ne se sont pas contentées d’un seul sondage, mais de plusieurs. Ils ont tenu compte des innombrables paramètres pour corroborer les résultats de leurs travaux.
Ce sérieux, jamais constaté dans le passé par les pays occidentaux en direction de l’Algérie, est dû au fait, avancent les mêmes sources, au caractère ouvert de l’élection présidentielle de 2004. Le retrait de l’armée du champ politique constitue, à ce propos, un indicateur majeur de la nouvelle démarche des Européens qui misent sur le succès du processus démocratique algérien pour mieux affronter le phénomène du terrorisme islamiste international, en passe de devenir la principale préoccupation des grandes capitales du monde.
Très attentives aux soubresauts de la scène politique nationale, les représentations diplomatiques de l’UE semblent vouloir s’assurer de la régularité du scrutin par anticipation, pourrait-on dire. En effet, les menaces à peine voilées, proférées ici et là, et qui évoquent la probable réédition du scénario géorgien est pris au sérieux par les puissances occidentales, d’où leur volonté de tout mettre en oeuvre pour avoir une photographie électorale qui soit la plus fidèle possible, affirment nos sources, qui révèlent la mise à contribution de nombreux services installés dans les pays d’origine. Lesquels ont dépêché des équipes, chargées spécialement de crédibiliser au maximum les opérations de sondages, aux fins de permettre une lecture rationnelle du phénomène électoral algérien.
Cette démarche, commandée, faut-il le préciser, par les plus hautes autorités des pays de l’UE est destinée essentiellement à permettre à ces pays d’adopter une position vis-à-vis des résultats qui sortiront des urnes, le 8 avril prochain.
Les résultats de ces nombreux sondages, ne seront, affirme-t-on, jamais rendus publics pour cause de la confidentialité de la démarche. Nos sources mettent cela sur le souci qu’ont les Européens de ne pas interférer dans le cours de la campagne électorale en Algérie.
Aussi, il ne nous a pas été possible de nous procurer les détails de ces travaux, dont on dit, qu’ils sont consignés dans un volumineux ouvrage.
On sait seulement que l’opinion nationale est majoritairement favorable à Bouteflika qui serait bien parti pour succéder à lui-même, dans le cas d’un scrutin transparent. En d’autres termes, il ne serait pas question d’un second tour.
Par ailleurs, nos sources tiennent à préciser que l’imposant travail n’est pas encore entièrement finalisé et que d’autres sondages de moindre importance sont actuellement en chantier, mais ils insistent sur le fait que la tendance lourde va à la réélection du chef de l’Etat pour un second mandat.
Par ailleurs, des indiscrétions émanant de certains cercles diplomatiques, annoncent une très prochaine offensive des hommes d’affaires en Algérie, ces derniers ayant été mis au parfum. On indique à cet effet, des contacts très poussés pour la réalisation d’importants investissements directs étrangers au lendemain de la présidentielle. Cet engouement des opérateurs économiques occidentaux, tiendrait du fait, relèvent nos sources, des fuites qui ont concerné les sondages auprès de certains milieux bien informés de l’évolution de la situation politico-économique du pays.
En fait, les multiples études sur l’élection présidentielle en Algérie, ont amené de nombreux pays européens à se disputer l’Algérie.
On en est pas encore à une situation d’investissement massive, mais cela ne saurait tarder, apprend-on de mêmes sources.
Mourad SID-ALI
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