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Quatre lycéens interdits de bac pour avoir déchiré le drapeau algérien

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  • #31
    On ne joue pas avec les fondamentaux d'une nation.
    Nahnou ma’a Falastine dhalima aoue madhelouma» Houari Boumediène

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    • #32
      arretez de ramener tout au terorisme et a la concorde civile elle est vremment bete cette comparaison.

      ne pas passer le bac c'est pas vremment une catastrophe c'est une sentence un peut exagerée mais pas au point que vous dites... pour quoi vous etes tout le temps indignés vous avez honte de votre pays ou quoi??? arretez de nous la jouer européens ça devien lourd, ça me rappelle quand on nous disez : labas chez nous ...

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      • #33
        ne pas passer le bac c'est pas vremment une catastrophe c'est une sentence un peut exagerée
        sinan ,je n'ai pas lu toutes les interventions précédentes mais s'il s'avère qu' ils ont profané l'emblème ou l'hymne nationaux et qu'ils ont mis à la place un emblème etranger et surtout le drapeau français sous lequel les Algériens etaient considérés comme de sous-citoyens , la sanction n'est pas si exagérée que ça , je la trouve meme trés indulgente.
        Attendons de connaitre tous les détails de cette affaire pour pouvoir se prononcer car les quotidiens qui ont rapporté cette affaire , font souvent dans le sensationnel ...

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        • #34
          Benbouzid décide de les poursuivre en justice

          Des lycéens hissent le drapeau français à Bab El-Oued


          Les quatre élèves des classes terminale du lycée Okba-Ben Nafaâ à Bab El-Oued viennent d’être exclus de l’établissement et seront poursuivis en justice. Ils ont porté atteinte à l’emblème national, nous expliquera le ministre de l’Education nationale.

          Rappelons que les faits remontent à cinq jours de cela. Ces quatre lycéens, ayant bénéficié des cours de soutien institués par le ministère de l’Education nationale pour les classes d’examen, ont arraché l’emblème national, pour le remplacer par le drapeau français, tout en écrivant " Vive la France ".

          “Nous ne tolérons pas ce genre de comportement, car à leur âge, les enfants ont quitté les bancs de l’école pour la défense de notre pays ", dira à cet effet, le ministre, toute en informant que " de manière pédagogique, ces enfants seront bannis ".

          Devant cet état de fait, les parents de ces quatre lycéens ont tenu un rassemblement devant le lycée Okba-Ben Nafaâ, pour demander au ministre la " clémence", mais ce dernier maintient toujours son engagement de les poursuivre en justice.

          La Dépêche de Kabylie

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          • #35
            Certes, le dérapage des 4 jeunes idiots doit être puni, mais je ne pense pas que les exclure définitivement du bac soit la bonne punition. Il faut les punir pour les responsabiliser tout en leur donnant une chance de se rattraper dans le respect des symboles de la république. Une exclusion de 6 à 12 mois me semble suffisante pour les "rééduquer".

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            • #36
              sans rapport

              mais l'article il parle de quoi au juste?

              C'est vraiment couscous aux légumes...les lycéens, ghaza, les salaires non payés...:22:
              « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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              • #37
                Le ministre de l’éducation doit démissionner !

                “Nous ne tolérons pas ce genre de comportement, car à leur âge, les enfants ont quitté les bancs de l’école pour la défense de notre pays ",
                Si le ministre à bien dit ces phrases (parce qu’y a tellement de désinformation) je dis qu’il faut rejoindre les parents de ces lycéens dans leurs rassemblement pour demander l’arrêt de ces poursuites bidon…

                Ce genre de comportement monsieur le ministre à cet âge démontre votre échec pédagogique, vous devriez démissionner de l’école et laisser ces lycéens mineurs reprendre leurs études, et surtout faire une longue réflexion sur cette jeunesse malade, à cet âge on vous met un drapeau étranger pour vous dire que les Harraga sont des victimes de votre système ! bonde de watano-koubzistes
                Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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                • #38
                  Bien dit , Postra.
                  Surtout lui demander quel âge il avait lui a cette époque, et est ce qu'il aurait quitté son douillet lit pour rejoindre le maquis.
                  Il est ministre depuis plusieurs années, c'est rare la longétivité chez nous, à moins qu'il ai un gros trés gros piston .
                  De toute façon il hurle avec les loups, et plus fort que les loups pour avoir une bonne note .
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #39
                    Si le ministre à bien dit ces phrases (parce qu’y a tellement de désinformation) je dis qu’il faut rejoindre les parents de ces lycéens dans leurs rassemblement pour demander l’arrêt de ces poursuites bidon…
                    Poursuites bidons??

                    Petit rappel : les symboles de la nation sont définis dans l'article 5 de la constitution. Il vient d'ailleurs d'être amendé et reformulé afin de préciser mieux ces symboles.
                    L'emblème national et l'hymne national sont des conquêtes de la Révolution du 1er novembre 1954. Ils sont immuables.
                    Ces deux symboles de la Révolution, devenus ceux de la République, se caractérisent comme suit :

                    1- L'emblème national est vert et blanc frappé en son milieu d'une étoile et d'un croissant rouges.
                    2- L'hymne national est « Qassaman » dans l'intégralité de ses couplets.
                    Le sceau de l'État est fixé par la loi. »
                    L'atteinte aux dits symboles est prévue dans le code pénal et est considéré comme acte terroriste. Il ne s'agit pas d'un "simple" délit mais bien d'un crime.

                    Art. 87. bis. - (Ordonnance n° 95-11 du 25 février 1995) Est considéré comme acte terroriste ou subversif, tout acte visant la sûreté de l’État, l’intégrité du territoire, la stabilité et le fonctionnement normal des institutions par toute action ayant pour objet de :

                    - semer l’effroi au sein de la population et créer un climat d’insécurité, en portant atteinte moralement ou physiquement aux personnes ou en mettant en danger leur vie, leur liberté ou leur sécurité, ou en portant atteinte à leurs biens;

                    - entraver la circulation ou la liberté de mouvement sur les voies et occuper les places publiques par attroupements;

                    - attenter aux symboles de la Nation et de la République et profaner les sépultures;

                    -porter atteinte aux moyens de communication et de transport, aux propriétés publiques et privées, d’en prendre possession ou de les occuper indûment;

                    - porter atteinte à l’environnement ou introduire dans l’atmosphère, sur le sol, dans le sous-sol ou dans les eaux y compris celles de la mer territoriale, une substance de nature à mettre en péril la santé de l’homme ou des animaux ou le milieu naturel;

                    - faire obstacle à l’action des autorités publiques ou au libre exercice de culte et des libertés publiques ainsi qu’au fonctionnement des établissements concourant au service public;

                    - faire obstacle au fonctionnement des institutions publiques ou porter atteinte à la vie ou aux biens de leurs agents, ou faire obstacle à l’application des lois et règlements.
                    Les peines prévues :

                    Art. 87 bis 1. - (Ordonnance n° 95-11 du 25 février 1995) Pour les actes visés à l’article 87 bis ci-dessus, la peine encourue est :

                    - la peine de mort, lorsque la peine prévue par la loi est la réclusion perpétuelle;

                    - la réclusion perpétuelle, lorsque la peine prévue par la loi est la réclusion à temps de dix (10) à vingt (20) ans;

                    - la réclusion à temps de dix (10) à vingt (20) ans, lorsque la peine prévue par la loi est la réclusion à temps de cinq (5) à dix (10) ans;

                    - portée au double, pour les peines autres que celles précitées.


                    On est loin d'un acte anodin...

                    Maintenant, il est fort probable que ces gamins n'aient pas mesuré la portée de leur acte. Reste à espérer que les juges en tiendront compte et se montreront cléments.

                    Mais malheureusement, que ce soit d'un point de vue strictement juridique ou d'un point de vue symbolique, il est impossible de ne pas sévir.
                    Dernière modification par Zakia, 04 janvier 2009, 13h49.
                    « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                    • #40
                      Epargnez la vindicte populaire aux lycéens!


                      04 Janvier 2009

                      Le ministre de l’Education, Boubekeur Benbouzid, est furieux. A des lycéens qui auraient déchiré l’emblème national et écrit et en gras, «vive la France» sur un écriteau portant l’hymne national dans une classe au lycée Okba Ibnou Nafaâ d’Alger, le ministre se déchaîne et promet les pires châtiments. D’abord, ces adolescents seront exclus définitivement du lycée, ils seront bannis du système éducatif et l’examen du baccalauréat leur sera interdit à vie. Ensuite, ils seront traduits devant la justice. Pour montrer la gravité de la chose, le ministre a fait un parallèle avec ces lycéens qui, en 1956, avaient quitté les bancs de l’école pour monter au maquis. «On ne tolère jamais ce genre de comportement, ces élèves seront bannis et nous allons les poursuivre en justice même leurs noms seront rendus publics.»
                      Et voilà le ministre de l’Education qui présente un remède pire que le mal. Allez savoir pourquoi l’esprit de prédation se réveille chez un ministre connu pour son sens de l’écoute et de la compréhension. Ainsi, M.Benbouzid l’affirme textuellement: il va rendre public leurs noms! Oui publier les noms de ces lycéens! Cela s’appelle jeter des adolescents à la vindicte populaire. Voilà le châtiment que réserve le ministre de l’Education national à quatre adolescents (alors qu’ils sont cinq) avant même que la justice ne se prononce sur leur cas. Des adolescents dont l’âge correspond exactement à la période passée par M.Benbouzid dans le secteur de l’éducation en tant ministre, c’est-à-dire 16 ans. Il n’y a vraiment pas de quoi être fier avec un résultat pareil. Car les lycéens de 1956 auxquels il se réfère, étaient issus à ce que l’on sache du système éducatif français. Mais les lycéens qui auraient déchiré l’hymne national sont issus de son système éducatif à lui. Quelle est alors la responsabilité de M.Benbouzid dans cet acte «grave» commis par ces lycéens? En fait, ce n’est pas le premier dérapage dans le secteur de l’éducation. Rappelons, alors juste un: dans sept cent mille manuels scolaires distribués dans les écoles aux élèves, on lit cette phrase: «En 1830, la France a libéré l’Algérie.» Qui est responsable? on ne le saura jamais. Le même scénario s’est répété l’année passée, lorsqu’une strophe de l’hymne national a été tout simplement oubliée dans les livres d’histoire. Qui en est responsable? On ne le saura jamais. Mais puisqu’il s’agit de publier des noms, allons jusqu’au bout de cette logique. Publiez tous les noms de ceux qui ont faussé les livres d’histoire, amputé Kassamen, organisé des fuites des épreuves du Bac, volé des diplômes et détourné des milliards. Faites mais sans jeter à la vindicte des adolescents formés par votre école.


                      Brahim TAKHEROUBT( L'Expression)

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                      • #41
                        Hé bien

                        «On ne tolère jamais ce genre de comportement, ces élèves seront bannis et nous allons les poursuivre en justice même leurs noms seront rendus publics.»

                        Allez-y lire les lois de la république Mister le sinitre de l'éducation, tout ça est l'œuvre de vos politiques ratées, votre œuvre, c'est vous qui devriez répondre de vos crimes contre la jeunesse algérienne, et de l'assassinat du secteur de l'éducation (sic) devant le justice.

                        Mais voilà, il se trouve que quatre sans cervelles vont devoir apprendre à leur dépend ce que l'école algérienne n'a pas été capable de leur inculquer à la BASE, que l'on ne touche pas aux fondamentaux du pays, même s'ils ont souillés par ceux d'en haut, même s'ils ne sont pas respectés par ceux qui "gouvernent" le pays.


                        Mais ça c'est une autre discussion !

                        Un quadrupède sans cervelle....



                        ..../...
                        “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                        • #42
                          Un état toujours policier, toujours brutal, et toujours con...
                          On amnistie les vrais terroristes et on inquiète des enfants pour s'être défoulé sur un morceau de tissu.
                          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                          Commentaire


                          • #43
                            Pauvres ados!
                            Ils seront broyés par les incompétents.

                            Faut organiser une manif peut-être pour les protéger non ?

                            Commentaire


                            • #44
                              Il est vraiment temps que les journalistes se professionnalisent un peu...

                              Cette histoire est lamentable et regrettable particulièrement pour ces gamins qui n'ont certainement pas réfléchi plus loin que le bout de leur nez.

                              Mais ce n'est pas en écrivant n'importe quoi que ça les aidera....

                              Sans entrer dans les détails, les noms peuvent être révélés le plus légalement du monde dans ce cas...

                              Je reprends une phrase qui souligne le "professionnalisme" et la haute "compétence" du journaliste en matière de droit :

                              Quelle est alors la responsabilité de M.Benbouzid dans cet acte «grave» commis par ces lycéens?
                              Le fait de mettre entre guillements et en italique laisse entendre qu'à ses yeux, cet acte relève plutôt de la farce...sauf que c'est juste un acte d'une gravité telle qu'il est passible de la peine capitale.

                              Quand on prétend informer les masses, il serait de commencer par soi-même. Eventuellement en acquérant un minimum de notions dans les domaines que l'on souhaite couvrir.

                              Je passe sur le reste de l'article...

                              Finalement, je commence à mieux comprendre pourquoi on peut dire tout ce qu'on veut et n'importe quoi...n'importe quoi ça risque pas de gêner plus que ça...
                              Dernière modification par Zakia, 04 janvier 2009, 16h00.
                              « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

                              Commentaire


                              • #45
                                Et voilà le ministre de l’Education qui présente un remède pire que le mal. Allez savoir pourquoi l’esprit de prédation se réveille chez un ministre connu pour son sens de l’écoute et de la compréhension. Ainsi, M.Benbouzid l’affirme textuellement: il va rendre public leurs noms! Oui publier les noms de ces lycéens
                                c est un appel au lynchage populaire! je l aurais compris si c etait des laches adultes, mais des gamins qui ne savent pas ce qu ils font, puisqu encore élève, je ne comprends cette mesure trop dure contre des lyceenes!

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