L'état algérien commence à penser à faire du lobbying sur la scéne internationale. On commence à prendre conscience de la redoutable force de l'inflitration dans les milieux ou se prennent les décisons. Notre voisin Le Maroc, qui pourtant est moins riche que nous dépense plus de 500 millions de dollars par an dans le lobbying. Il est temps pour nous d'étre présent dans chaque centre de gravité ou les decisions les plus cruciales se passent dans le monde. un article à lire absolument
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Source : Jeune Indépendant 10-10-2005
Entretien avec Arslan Chikhaoui, spécialiste en affaires publiques et lobbying En 2004, le Maroc a déboursé plus de 500 millions de dollars en lobbying !
Diplômé en relations internationales et économiques de l’université de Burkeley et en relations publiques de l’université de Washington (Etats-Unis), Arslan Chikhaoui a quinze ans d’expérience en matière d’aide au développement, et est expert conférencier auprès de plusieurs instituts étrangers.
Nominé en 1999 à Davos (Suisse) parmi les 100 jeunes cadres, il dirige actuellement un cabinet d’experts spécialisé en études stratégiques et en lobbying à Alger, dont il fera un essai. Dans cet entretien, il évoque avec optimisme l’avenir politique de l’Algérie après l’adoption de la charte pour la paix et la réconciliation nationale.
Le pas suivant devrait, à ses yeux, être la moralisation de la vie politique et économique. Il est aussi d’avis que le processus des réformes et de libéralisation doit être accéléré pour atteindre un flux d’investissement appréciable.
Il plaide, par ailleurs, pour que notre pays fasse du lobbying un moyen pour promouvoir son image de marque à l’extérieur et suivre ainsi l’exemple du Maroc et de la Libye
Diplômé en relations internationales et économiques de l’université de Burkeley et en relations publiques de l’université de Washington (Etats-Unis), Arslan Chikhaoui a quinze ans d’expérience en matière d’aide au développement, et est expert conférencier auprès de plusieurs instituts étrangers.
Nominé en 1999 à Davos (Suisse) parmi les 100 jeunes cadres, il dirige actuellement un cabinet d’experts spécialisé en études stratégiques et en lobbying à Alger, dont il fera un essai. Dans cet entretien, il évoque avec optimisme l’avenir politique de l’Algérie après l’adoption de la charte pour la paix et la réconciliation nationale.
Le pas suivant devrait, à ses yeux, être la moralisation de la vie politique et économique. Il est aussi d’avis que le processus des réformes et de libéralisation doit être accéléré pour atteindre un flux d’investissement appréciable.
Il plaide, par ailleurs, pour que notre pays fasse du lobbying un moyen pour promouvoir son image de marque à l’extérieur et suivre ainsi l’exemple du Maroc et de la Libye
Source : Jeune Indépendant 10-10-2005
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