Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Algeria: Viva La Revolution !

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Algeria: Viva La Revolution !

    Contre tous les clans bourgeois – forger un parti ouvrier révolutionnaire !


    Policiers anti-émeutes à Tizi Ouzou, chef-lieu de la Kabylie, le 31 mars.

    I. forger un parti ouvrier révolutionnaire !
    http://www.internationalist.org/alge...elles0404.html


    La police d’Alger réprime aux profs en grève, le 4 octobre 2003.

    II. Les nouvelles luttes ouvrières
    http://www.internationalist.org/alge...lles0404b.html



    III. L’obstacle de l’UGTA
    http://www.internationalist.org/alge...lles0404b.html


    Les flics algérois répriment un rassemblement d’opposition la nuit des élections, le 8 avril.

    IV. Il faut forger un parti trotskyste authentique
    http://www.internationalist.org/alge...lles0404c.html


  • #2



    Arabe :ben: et amazigh :shock: , même combat :P

    :green:

    Commentaire


    • #3
      Ni dieu ni maître, ni foie ni loi. Au poteau les pourris les corrompus aussi.

      Apres toi camarade Ben

      Commentaire


      • #4
        :o

        Comme au Portugal, commençons par la révolution des yeuxllets

        :
        Une petite bonne en train de faire la lessive. Plus jamais ça!

        Commentaire


        • #5


          Petites bonnes, bonnes à tout faire. Entre vaisselle, ménage et garde d’enfants, les corvées pour ces fillettes sont longues et pénibles.
          Placées dès la petite enfance par leurs parents dans des familles, elles font office de domestiques. Souvent battues ou maltraitées, elles vivent dans des conditions précaires, ne voyant leur parent que le jour où celui-ci vient chercher la paie, souvent ridicule, et dont la petite fille ne jouit nullement.


          Ces filles sont non seulement mal payées, mais font également l’objet, dans l’exercice de leurs tâches, de punitions, de sanctions et d’abus. La majorité font l’objet de réprimandes. 55% ont été battues, et 5% ont déclaré avoir subi des abus sexuels de la part de leurs employeurs.


          L’histoire de certaines filles domestiques est calquée sur celle des filles des rues. Mais par contre, elles n’y sont présentes que très peu. Elles saisissent les opportunités lorsqu’elles se retrouvent à l’abri du regard de ses maîtres, pour se livrer à la prostitution en cachette.

          Quand la révolte gagne les plus excédées, elles descendent dans la rue où d’autres les ont déjà précédées. Puis la descente aux enfers commence. Elles continuent à travailler dans les ménages et sont initiées, entre temps, aux joies nocturnes : alcool, cigarettes, maquillage, nouveau look vestimentaire, le rêve ! Kaltoum, 17ans, une domestique chez une famille aisée affirme qu’elle se prostitue à chaque fois que l’occasion se présente, afin de répondre à certains de ses besoins. Elle travaille depuis plus de dix ans, et c’est le père qui empoche son salaire chaque fin de mois, sans même chercher à avoir de ses nouvelles. Les jeunes filles domestiques qui balancent vers la prostitution, mentent en ce qui concerne leur âge : les habits et le maquillage outrancier et même l’alcool, contribuent largement à vieillir leur look. L’argent gagné contribue pour beaucoup d’entre elles à soigner leur apparence, et à aider leur famille. Le premier client est souvent une personne de l’entourage. La jeune fille subit, et souvent déclare qu’elle ne se souvient pas de ce premier contact : elle décide d’effacer ce mauvais incident de sa mémoire. Une méconnaissance des maladies sexuellement transmissibles est largement retrouvée dans ce milieu de filles analphabètes et issues du milieu rural. Les relations sont souvent tendues entre les employeurs et la domestique. Il en résulte quelquefois même des situations dramatiques. Certaines petites filles se sont vengées de la cruauté de leurs patrons en allant même jusqu’à commettre des vols ou crimes. Les dossiers opposant des employeurs à leurs domestiques s'empilent dans les tribunaux. Qui doit être condamné ? Le Code du travail interdit l'emploi des enfants de moins de 15 ans, pourtant cela n’est guère respecté. Le rêve de ces filles est tout simplement d’accéder à la respectabilité, par le biais du mariage et d’enterrer définitivement leur ancienne vie misérable.

          Commentaire


          • #6
            VIAVA LAS REVOLUTION

            LA REVOLUTION NE SE FAIT PAS DES OEILLETS ! MAIS AVEC DES ARMES DONC ! ASSEZ DE BAVARDAGES ! PASSEZ A L'ACTION

            Commentaire


            • #7
              aAAAA Z'ai peur !! :?

              Commentaire


              • #8
                Jilla a dit:
                LA REVOLUTION NE SE FAIT PAS DES OEILLETS ! MAIS AVEC DES ARMES DONC ! ASSEZ DE BAVARDAGES ! PASSEZ A L'ACTION


                Je partage entièrement ta précision mais tu devrais, à mon sens, nous expliquer de quelles armes il s'agit et nous donner ton avis sur l'utilisation de la violence. D'autant que cette dernière est comme on dit l'accoucheuse de l'histoire.

                Commentaire


                • #9
                  l'annonce

                  Maintenant, il est temps que tout le monde sache que l'armée fait partie de l'équation à résoudre. Cette équation est simple : c'est l'armée qui doit mériter le respect du peuple et non l'inverse. Si elle se confine à ses prérogatives constitutionnelles, alors nous serons là pour la protéger, après tout ce sont nos enfants qui constituent le gros de la troupe. Mais si elle persiste à dessiner pour nous un avenir couleur de sang, alors nous avons le devoir moral de la combattre avec toute la rigueur du droit. Il est temps que la peur change de camp !

                  voiçi la reponse pour les indécis

                  Commentaire


                  • #10
                    Excuse moi jilla, la réponse que tu as donné tu aurais du la mettre entre guillemets car elle est tiré d'une contribution de Larbi Chalabi paru dans le Matin la semaine dernière en page 24. Je n'insiste pas sur cet oubli, néanmoins je tiens à dire que les "armes" ne sont pas forcément celles auxquelles on peut penser de prime abord. La lutte pacifique sur le terrain politique est une arme redoutable quand elle est portée à son paroxysme et d'une violence inouïe quand elle a conscience de ses buts et fait montre d'une radicalité inébranlable. Maintenant en ce qui concerne l'Armée et tous les appareils de répression, c'est un élément important de l'équation effectivement parce qu'elle sont instrumentés par une poignée de généraux larbins, sanguinaires, sans scrupules et manipulateurs comme Tewfik alias quasimodo et Lamari alias "ketef rebou". Donc pour abattre cette dictature sanguinaire et assassine et leur catin "Bouteftoufa", il faudra mettre hors d'état de nuire ces tristes sire les généraux et leurs complices dans certains échelons intermédiaires ou inférieurs. Donc il faudra une épuration méthodique des rangs de l'armée des personnes qui ont souillé son prestige, participé à la répression et versé dans la corruption, etc. La révolution démocratique et sociale est à ce prix et pas seulement. J'y reviendrai une prochaine fois avec votre permission. J'espère qu'un vrai débat aura sur ce thème.

                    Commentaire


                    • #11
                      reponse a muhend

                      bravo! muhend ! de ta contribution ; As tu lus mes articlies qui parlent de la centrale.
                      Jesuis un ex militaire et les histoires de pelotons :j'en connais un bout!

                      je te dédie ces quelques lignes
                      L'opération Boudiaf après le d?etat de coup, les généraux de putschists a voulu trouver quelques moyens de calmer la population fâchée en raison de la suspension du de processus électoral et du même coup de feindre pour pousser l'armée loin du façade de la commande d'état. Ils ont eu mais pour agir derrière le gouvernement de pseudo-civil, pour ne pas attirer la colère des états occidentaux, qui bien que soulagé pour ne pas voir l'avant islamique de salut dans la puissance, ne pourraient pas directement soutenir une dictature militaire. Les généraux: Khaled Nezzar, AbdelMalek Guenaizia, Mohamed Lamari, Mohamed Mediene, Mohamed Touati, a dû trouver aussi rapidement que possible un chef d'Etat fait pour mesurer, un homme qui remplirait quelques conditions très précises. Comme point de départ, les critères étaient déjà là: le?happy? choisi doit être un vétéran de la guerre de la libération (mujahid), d'un révolutionnaire untouchable après, une victime de l'ère de Chadli et même celle de Boumediene si possible, et finalement doit être parti aussi lointain comme possible de n'importe quel fendage politique. Avec de tels critères définis, seulement un nombre restreint de candidats peuvent répondre aux exigences d'un chef d'Etat. C'est presque avec une chance pure que Nezzar avait mentionné le nom de Mohamed Boudiaf: un homme qui adaptent toutes les conditions et a un énorme poids: Cependant, un problème énorme a surgi: M. Boudiaf a-t-il été intéressé à cette position empoisonnée, quand on le sait qu'il a la politique gauche pendant longtemps maintenant et est consacré à ses affaires et à sa famille? À cet effet, les généraux décidés pour envoyer pour lui un de ses amis plus étroits afin de l'informer de la proposition, Ali Haroun cette mission sensible. Chaque impliqué (au secrétariat général du ministère de la défense) jugé leur souffle; ils étaient tous espérant une réponse positive de Boudiaf. Au Maroc, les deux amis se sont réunis au silicium Mohamed, et Ali Haroun a indiqué le but de sa visite avec beaucoup d'émotion. Boudiaf, déplacé mais non étonnant, promis de réfléchir et de donner une réponse dans le temps le plus court possible. Après consultation avec sa famille et un vieux docteur marocain d'ami, il a par la suite accepté, pas en raison du prestige du travail mais pour le sérieux de la situation dans laquelle le pays est, présenté par Ali Haroun comme catastrophique. Boudiaf a fait à ses premiers contacts à partir du Maroc avec quelques vieux membres du PRS(sa propre partie), et a informé le Roi Hassan 11 qui a pris ces nouvelles comme un cadeau de ciel, ainsi, la question des Sahara occidental va être résolu. Les putschists d'Alger étaient au courant des nouvelles par Ali Haroun, et cru qu'une solution était actuelle pour la crise constitutionnelle qui a menacé même leur futur. Les nouvelles ont été faites à public et des préparations ont été faites avec la vue de recevoir le sauveur du garçon du pays. Il va de soi que la France a été mise au courant de ce choix la même nuit on l'a décidé que de joindre Boudiaf, qui est bien connu au Français, puisqu'il était un ancien officier de garantie dans l'armée française, avec une médaille militaire et la croix de guerre. Que pourrions-nous avoir fait mieux aux amis satisfaisants de l'autre côté de la mer? Le cercle a été alors accompli et la légalisation de la nouvelle conduite politique du pays a été avec succès réalisée. Nezzar a contribué personnellement à l'acceptation de Boudiaf pour diriger l'établissement militaire, tandis que certains hauts officiers qui ont désapprové le choix prenaient ce nouveau développement comme insulte. Ils n'ont pas oublié que cette figure de la révolution avait dégrossi avec Hassan 11 pendant la marche verte, qui a mené à une guerre de fratricide où des centaines d'Algériens militaires ont été tuées, beaucoup ont disparu et des points ont été faits à des prisonniers. À 73 Boudiaf était dans aucun doute qu'il entrerait dans l'Algérie avec le titre du plus haut magistrat, pour hors de qui un tapis rouge serait roulé. Le fait de lui restant loin d'Algérie est un handicap important pour lui, cependant, pour le vautour du ministère de la défense que c'est certainement un avantage. Une fois au palais présidentiel, Boudiaf a pris relativement rapidement à sa nouvelle vie, et a commencé à découvrir les secrets d'un état dans un shamble complet et sur tous les avants. Le plus mauvais de tous, il était au début d'une guerre civile truquée par des rapports faux de sécurité (il a approuvé toutes les mesures de sécurité décidées contre les sympathisants de FIS, qui ont couru le risque de mettre le futur de l'Algérie dans le péril selon ces mêmes rapports). Il a été totalement guidé par des fabricants de décision au ministère de la défense ses observations sur dont les décisions il était d'accord sur sans présenter égal, dans le commencement. Peu par peu de Boudiaf commencé prendre quelques libertés en nommant le sien henchmen et ses amis fidèles à tous les niveaux. Le plus grand des obstacles est resté l'armée, dans laquelle il ne pourrait pas trouver mais une réaction faible. Boudiaf a vu que plusieurs de ses décrets et nominations annulled, qui étaient en faveur de quelques officiers qu'il a voulus autour de lui. Cependant, les rangées avec de hauts officiers du mod sont devenues fréquentes, et le ministère a souvent publié des contrordres: et la marge de la manoeuvre pour le président est devenue plus petite et plus petite. Sous un système de désinsectisation permanent et sous la surveillance étroite: Les contacts de Boudiaf immédiatement ont été identifiés et lancés vers le bas? au besoin? par des tireurs de Toufik Général. Il est seulement après la prise du bureau que Boudiaf a compris que seulement une base populaire, un légal et solide pourraient lui fournir assez de force et particulièrement le pouvoir légal à entreprendre tous les changements requis dans ses vues pour mener l'Algérie hors de la crise. Naturellement, ces changements n'étaient pas à aimer des forces foncées dans la structure de puissance. Ces mêmes forces qui ont écrit les divers scénarios de la politique algérienne dans le passé, ont eu d'autres projets à l'esprit. Boudiaf a été alerté par certains fidèles en cercles de puissance, et son chef de personnel a été assiégé avec le téléphone invite l'une main, et par des envoys du mod d'autre part, qui lui demanderait de calmer en bas de Silicium-Mohamed (Boudiaf), comme anciennes décisions souvent prises sans se rapporter à des chefs du mod (MDN). Pendant qu'un grand dirigé car il est, Boudiaf étonnait chaque re-en jugeant Belloucif (un ancien chef de personnel mis dans l'épreuve dans 90?s tôt) encore; ainsi, il a courageusement défié les barons et ceci d'Alger après des consultations secrètes avec Kasdi Merbah (l'ancien chef des services de secret, tué en août 1993). On doit indiquer que les deux se sont connus et étaient du même côté du politique se divisent, et c'est pourquoi Kasdi Merbah a promis son soutien de cet homme qu'il a respecté autant qu'il a fait pour Silicium-AbdelHafid Boussouf (le fondateur du service secret algérien pendant la guerre de la libération). Le support de Kasdi Merbah était énorme particulièrement que (aucun doute) il ait été un de peu de gens pour savoir la réalité algérienne: par conséquent il se rendait compte des vrais ennemis dans la puissance, et pour les combattre il a eu besoin d'un homme comme Boudiaf pour l'aider. Merbah est allé à loin dans ses contacts, même avec Toufik, (un ancien deuxième-lieutenant qui a travaillé pour le service secret de l'armée quand Merbah était le chef); il est parvenu à fixer une promesse de l'aide (une impartialité des services secrets vis-à-vis des changements que le président a voulu entreprendre) afin d'apporter le pays hors de la crise. Le jeu du double agent par Toufik était nécessaire: donné cela son travail à ce moment-là a été fortement cherché ensuite par quelques personnes jalouses extrêmement dangereuses, et prévoir les faits et les mouvements de Boudiaf lui donnerait une certaine longueur en avant de d'autres. Au moment où l'histoire de Belloucif était sur le point d're-être jugé, Toufik Général a jeté à la pression nationale la caisse de Hadj Betou (déjà connu du service secret pour ses rapport d'affaires obscures avec les pays subdésertiques) afin de détourner les attentions, mais Hadj Betou était en fait seulement un lien dans la chaîne que cela mène à Larbi Belkheir. La ré-ouverture du cas de Belloucif avec ses ramifications apporterait à la cour: Chadli Bendjedid, Larbi Belkheir et d'autres âmes qui étaient plus coupables que Belloucif. Si mettant à l'épreuve pour le détournement d'une somme d'argent qui était mineur (comparé à d'autres détournements), ceci aurait vu Chadli mis à l'épreuve et particulièrement au Larbi Belkheir pour le treason élevé donné la nature des frais liés à ce cas. La réalité, doit que tout ceci a commencé par un projet à acheter un système de radar, couvrir le territoire algérien entier, qui a présenté par Larbi Belkheir au nom du gouvernement français. Le projet a été refusé par Mustapha Belloucif qui était le secrétaire général du mod aussi bien que par un certain nombre de hauts officiers pour son coût élevé (plus de 4 milliards de francs français), ce contrat était en effet, chargé des conséquences négatives pour le développement du pays car il aurait mis la totalité du système de défense aérien sous la dominance française; c'est pourquoi Belloucif avait refusé de l'adopter en dépit de la pression forte de Larbi Belkheir et Chadli d'apporter ce projet à une conclusion réussie (le général de lieutenant, chef de personnel Mohamed Lamari a signé un contrat semblable en 1995 avec le gouvernement français naturellement excepté que cette fois la facture était plus haute). Après son refus, Belloucif a été officiellement déchargé par Chadli pour la corruption et la gestion mauvaise. Quant à l'évidence pour son incrimination, elles ont été fournies à Larbi Belkheir par ses amis français (détails d'un compte bancaire à Paris, quelques bandes vidéo le montrant avec les agents femelles (d'origine libanaise) des services français et de quelques autres détails d'une clinique dans Neuilly duquel des bénéfices énormes ont été tirés). Confronté à une telle politique de sleaze et de déshonneur, Belloucif n'a pu faire rien se défendre et a eu mais prendre sans pouvoir répondre. En réalité, Belloucif a été réduit par les services français. Paris n'a pas voulu de cette épreuve pendant qu'il allait déterrer les rapports entre Larbi Belkheir et les autorités françaises tandis qu'il était chef de personnel à la présidence sous Chadli (Jacques Attali: un confiant du Président français Mitterrand, était le contact direct de Belkheir et de son conseiller quand il vient à la politique française en Algérie). Être naïf dans ce cas, Boudiaf ne se rendait pas compte de tous les coins et recoins de cette matière, qu'il ainsi a exigés dessus à la lumière de perte dessus et a exposés les au public dans ses plus petits détails. Les erreurs, là étaient abondance d'eux ont fait par Boudiaf, cependant, parfois il n'a eu aucun choix à tout?Algeria avant toute autre chose? étaient son principe et son symbole, qui était certainement la caisse pour les décideurs en Algérie. L'homme de la rue demandé la responsabilité et pursed toujours la justice pour les victimes octobre de 88; Boudiaf a su le ce, et il était ces justice, luxe, et si difficile d'atteindre. Cependant, Boudiaf n'a pas donné vers le haut; il a confié à ses personnes avec qui il partage les idées avec? impossible? mission: installant un arrangement pour nettoyer la totalité de la structure de puissance des personnes corrompues et juger le coupable publiquement. C'était de nouveau avec l'aide de Kasdi Merbah pour qui il a recueilli des dossiers de plus de trois cents pages sur les activités de certains éléments dans la puissance. Merbah avait même suggéré des noms des officiers qui pourraient être associés en entreprenant cette opération sensible. Ainsi, Boudiaf a choisi un haut officier du jeu rouleau-tambour pour diriger la mission, un ami étroit de Saidi Général Fodil et un révolutionnaire de la première heure), il était colonel Mourad, célèbre dans le jeu rouleau-tambour entoure pour traiter les cas les plus sensibles des services. Colonel Mourad a présenté au président un rapport préliminaire donnant un tableau d'ensemble de l'ampleur des dommages par la corruption et l'influence du? politico-financier? Mafia en Algérie aussi bien qu'une annexe au dossier par Merbah. Il a également inclus un plan d'action détaillé avec l'évidence recueillie par Merbah (recueilli pendant ses dix-huit années dans le service). Ainsi, Boudiaf a eu une liste de noms et a su pour un fait que le salut de l'Algérie pourrait seulement être réalisé en appelant les vrais coupables du malaise algérien de sorte que la confiance perdue entre le peuple et leurs gouverneurs puisse être reconstituée. En outre, il a pensé que ceci peut être fait selon les limites de la constitution, il certainement n'a pas voulu recourir aux méthodes vile. Elle vaut la peine de mentionner que ceux impliquées très bien avaient rayé des comptes à l'étranger particulièrement en Suisse et en France en particulier où de l'argent est blanchi par l'intermédiaire des réseaux spéciaux et de l'extrémité vers le haut investis dans la propriété. Cet argent s'est élevé à environ (65 milliards de dollars) qui a disparu en 12 ans, plus les crédits bancaires). Colonel Mourad a été invité par Boudiaf à étudier ces détournements et s'il est possible de revenir partie au moins de ces sommes. Le Président Boudiaf même a contacté directement le ministre puis français de premier ministre? Pierre Beregovoy?, et cherché sa aide personnelle dans la lumière de perte sur les actes de certains fonctionnaires algériens en France. Peu de jours plus tard, ensuite ce Khaled Nezzar avait à contre-coeur accepté de signer leurs papiers de tâche, colonel Mourad et trois de ses aides sont allés à Paris. Ils ont été reçus par leurs contre-parties chez Matignon, et le but du voyage était d'obtenir des détails sur des comptes bancaires de certains cadres algériens comme: Larbi Belkheir, Noureddine Benkourtebi, Mohamed Atailia, Cherif Ouadni, Khaled Nezzar, Mustapha Belloucif et beaucoup plus. Il va de soi cela des deux côtés des personnes aînées de mer méditerranéenne, puits placé, avait déclenché l'alarme sur voir ce mouvement. À Alger, Larbi Belkheir et d'autres affectés par des actions de Boudiaf?s ont opté pour la solution radicale quand ils ont su du lancement de cette opération de purification. Inutile de dire que le voyage du colonel Mourad et ses aides était un échec, puisque la justice française ne soulèverait pas l'acte de confidentialité sur les supports de comptes bancaires. Une semaine pendant son retour vers Alger, colonel Mourad était projectile trouvé mort avec trois balles à son cou dans Bachdjarah (à l'est d'Alger). Naturellement, c'était les terroristes qui l'ont tué (version officielle); des trois aides qui l'ont accompagné à Paris (2 capitaines et un lieutenant) non d'eux a survécu: des terroristes en deux semaines ont éliminé les tous lesoù les a suivis a eu des cérémonies militaires cependant Boudiaf était fou sur entendre parler de la mort de colonel Mourad, il alors, compris qui il s'occupait; cet événement l'a incité à se sauver ce travail maudit et est allé de nouveau au Maroc sans dire n'importe qui. C'était la première fois qu'un président algérien abandonne son poteau au milieu de la nuit. Peu de semaines avant le meurtre du Président Boudiaf, le secrétariat du mod était dans l'ebullition; les contacts entre différents chefs ont intensifié. Nezzar et Toufik ne sont pas partis un un autre à tout moment et la signature des papiers de tâche par Nezzar de colonel Mourad, sur son chemin vers Paris, avait jeté son poids sur le tout ceci. Boudiaf avait dérangé la structure du Mafia algérien et beaucoup de têtes allaient rouler au-dessus de, si les mesures prises par le président devaient être mises en application. Dans le début juin de 92, pendant se réunir de nuit entre les Généraux Khaled Nezzar, Toufik et Larbi Belkheir chez Sidi Fredj (un centre militaire de famille), l'option de l'élimination physique du président s'est imposée comme seule solution au problème de Boudiaf, en particulier que le dernier avait juste renvoyé du Maroc suivant son abandonner du palais présidentiel, un retour qui était dû aux efforts intensifs par beaucoup de fonctionnaires (parmi eux Touati Général) qui l'ont convaincu de la nécessité de continuer de servir le pays). Une semaine avant le meurtre du Président Boudiaf, tous les dossiers qu'il a assemblés, ont été volés par nuit du bureau présidentiel. Il se rendait compte puis que toutes les personnes qu'il a voulues enlevé feraient tout pour échapper à la justice une fois de plus. Le jour même lorsque Boudiaf était sur son?final? la visite à Annaba, Larbi Belkheir avec son plus jeune frère AbdelKader a forcé sa manière dans le bureau du président, emportant avec lui une autre pile des documents. Car le temps serrait et la situation était sérieuse, tout a dû être fait afin d'arrêter Boudiaf, qui essaye d'attraper ignorant l'autre camp. Il est avec la collaboration de Smain Général Lamari (un colonel alors): député-directeur du jeu rouleau-tambour et de la tête de la sécurité intérieure que Toufik a placée au sujet des premiers croquis de l'élimination du président. Le scénario d'Islamist n'a pas été choisi pour des raisons de confidentialité; en fait l'utilisation des agents d'Islamist n'aurait pas garanti que une discrétion absolue à l'opération et au résultat aurait été moins sûre donnée l'efficacité du service de sécurité présidentiel d'elements(de SSP) et ceux du GIS (groupe spécial d'interposition). La seule manière dont pourrait donner des résultats fiables était celle d'une opération montée d'en dedans: un tireur d'isolement qui agirait de son propre esprit (pour une raison ou des autres); ils pourraient dire par exemple que le tireur a été mentalement dérangé et a ainsi mis un terme à l'histoire avec un minimum des risques pris et de la chance maximum pour le succès. C'était le scénario de Smain Lamari?s qui a graduellement pris la forme après l'approbation par Toufik, Nezzar et Belkheir. Le peloton de la mort sous la surveillance de Smain (une cellule fantôme créée par Belkheir et Toufik, course par Smain et composée d'éléments du service opérationnel choisi avec grand soin) a eu la tâche facile d'éliminer tous les témoins et ceux dans la manière dans le réseau de Boudiaf. Même si la liste était long Smain prenait le plaisir de bandit d'enlever ses ennemis et ceux dans le savoir, sans n'importe qui ont épargné. Le plan détaillé de l'assassinat de Boudiaf n'a pas été connu jusqu'à son exécution et seulement par peu de membres des services secrets, qui befriended Boumaraafi pendant le premier qui ont suivi le drame. Ce qui est plus, Boumaraafi était très impatient alors et particulièrement inquiété de transmettre son secret horrible pour qui le mérite. Le choix par Smain Lamari du deuxième-lieutenant Boumaraafi n'était pas par hasard, il avait déjà noté le coolness de cet élément et de sa discrétion pendant des opérations précédentes. Colonel Smain, alors: le chef de l'opérationnel pouvait juger qui est plus approprié. C'était chez Antar (centre opérationnel du fetish de Smain) ce colonel que Smain a donné les premières instructions de l'opération sans appeler la cible, l'incitant pour joindre le peloton de la mort afin d'épurer le pays des traîtres qui ont voulu détruire et vendre le pays entier. Il va de soi que les promesses de la promotion et du soin ont eu un impact sur Boumaraafi. Dans le contrat, il est très important d'avoir quelqu'un dans l'armée pour vous protéger, si on veut s'élever haut dans la hiérarchie, qu'était de ce que Boumaraafi a eu besoin. Après une série de réunions, Boumaraafi était finalement prêt pour le?D? jour. Il a admis après son acte que sur être raconté l'identité de l'homme pour tuer, il plus pourrait ne laisser au bureau de Smain vivant s'il devaient refuser la mission. La veille de l'opération un dernier problème minutieux a presque abîmé tout; Hamou principal (chef du GIS) n'avait pas nommé le deuxième lieutenant Boumaraafi pour la mission à Annaba. Le chef du GIS ne peut pas tenir le BI qu'il a en partie blâmé de la mort de son ami et de l'ancien chef du GIS, à savoir, Abderahmane principal (pendant anti une opération de terroriste chez Telemley (Alger): Abderahmane principal et deuxième lieutenant Tarek, tous les deux du GIS avaient été tués sur place tandis qu'ils essayaient d'entrer dans une maison. Boumaraafi a été censé les couvrir, qui ont été étonnés par un barrage des balles que même les gilets de balle-preuve qu'ils portaient ne pourraient pas les sauver. Informé de ceux allant à Annaba, colonel Smain a appelé Hamou pour le commander publier différents papiers de tâche pour inclure Boumaraafi dans la mission. Hamou a fait certaine réserve concernant l'efficacité de cet élément, mais il a fini vers le haut du foudroyage dedans à la pression de son patron. L'équipe de GIS qui devait aider le SSP est allée par la route en excursion de reconnaissance un jour avant la visite du président lisser et mener des mesures de sécurité à bonne fin. Le jour de l'arrivée de président à Annaba, les éléments du GIS étaient en harmonie complète avec ceux du SSP; n'a eu aucune restriction quelconques dans le périmètre de la sécurité. La raison était très simple d'un point de vue professionnel: les membres des deux corps ont été très bien formés et en particulier ceux du GIS, ils se sont connus parfaitement bon et l'avaient l'habitude d'être déplacé d'un corps à l'autre en tant que leurs chefs satisfont. En conséquence, aucun élément d'aucun de ces deux corps ne douterait de l'intégrité d'un autre élément chez l'équipe de protection. Quand le président a-t-il atteint la maison de la jeunesse de?the de rendez-vous? ce qui devait être inauguré, certains membres du GIS étaient derrière quelques autres du hall les rideaux et extérieur: couvrant la sécurité externe du derrière de hall?s qui mène à un domaine de logement voisin non cet éloigné à partir de la maison de la jeunesse de?the?. Boumaraafi a été vêtu dans un uniforme nouvellement reçu d'interposition (un marine-bleu impressionnant coloré; témoins plus tard Boumaraafi confus avec les éléments de l'équipe d'interposition de police en raison de cet uniforme). Avant l'arrivée du président, il s'est signalé sur la arrière-cour mais est allé dans et hors du hall où l'atmosphère était plus clémente en ce matin de fin juin. Tout était lisse et aller selon le plan et le P était-il à son discours avec l'espoir de rassembler la population de l'Algérie orientale à son projet et de favoriser son mouvement dont le symbole est? L'Algérie avant toute autre chose?, la scène entière était émission de phase à la totalité du pays. Derrière le rideau, les membres de la protection étroite présidentielle et les éléments du GIS ont causé à une basse voix, tandis que, le chef du SSP: Hadjeres principal parlait, tout en fumant un cigarette avec Hamou principal, directeur adjoint du SSP, capitaine Zaidi, capatin Sadek, responsable de la formation au SSP et au lieutenant en chef Torki de la mission de l'équipe de GIS. À l'entrée du dos la porte était lieutenant Yacine, le sous-chef de la mission de GIS tandis que dans la arrière-cour Boumaraafi doit être signalé maximisant la sécurité. Lorsqu'où l'attention de toutes les personnes était sur le discours du vieux révolutionnaire, une première petite explosion a été entendue dans le hall, précédé par un bruit d'un grondement. Boumaraafi avait tiré la goupille hors d'une grenade et l'avait roulée sous les rideaux; il soudainement a émergé en même temps mettant le feu à un premier éclat des balles, qui ont causé la déviation parmi le système de protection. Les éléments du SSP et du GIS ont cru qu'une attaque externe avait lieu, ils ont vu la pousse de Boumaraafi, mais le dernier a dirigé sa mitrailleuse secondaire (un calibre Berretta, parabellum de 9 millimètres: une arme effrayante) vers le chef du Président Boudiaf, mettant le feu à un long éclat. Chaque a été pris par surprise et les éléments du SSP ont commencé à tirer dans la direction de rideau causant quelques dommages parmi l'équipe lui-même. La seule image chacun maintenu était celle de Boumaraafi fonctionnant vers le secret où lieutenant Yacine était, sans comprendre ce qui continuait. Les algériens ont juste été témoin de l'élimination de phase du président; il était à peine imaginable qu'elle se soit produite en Algérie. Une fois dans la arrière-cour, Boumaraafi s'est élevé rapidement au-dessus d'un mur de presque deux mètres de haut; seulement une poignée de policier à une distance et à peu de passants pourrait avoir vu cette scène. Il a couru au bâtiment le plus proche et a frappé au premier à plat il a trouvé sur le rez-de-chaussée; une jeune femme a ouvert la porte pour lui, assurément appliquée par son uniforme et son arme pensant qu'une incursion de police avait lieu. La seule chose Boumaraafi a demandé était d'appeler la police et de leur dire que le tueur du président a voulu se rendre. En étant entré en contact, la police est allée assez rapidement à l'adresse indiquée. Les chefs du GIS et du SSP ont été informés du chef de la sécurité du comté (Wilaya), de l'arrestation de Boumaraafi qui s'est donnée vers le haut sans résistance. En même temps et dans une confusion totale, le président a été porté dans une ambulance mal équipée, sans même un docteur, à un hôpital, il était même difficile trouver que. Le président a été sérieusement blessé et la mort était presque immédiatement: un decerebration aigu a été provoqué par les multiples balles qui ont frappé son cerveau. Dans le colonel d'Alger Smain a suivi naturellement l'opération de phase à la télévision et des moments tôt de l'attaque il a appelé le GLAM (grouper ministériel de la liaison d'air) afin de préparer un avion pour lui instamment, puis il a contacté Mohamed Ouadeh (chef de la police nationale) qu'il a demandé à joindre avec une équipe d'Antar (un centre opérationnel). L'équipe présidentielle de protection (le SSP et le GIS) a été enfoncée et inquiétée. Dès que la mort du président a été confirmée, le choc s'est développé plus grand et plus grand et personne a su pourquoi et il s'est produit. Réuni car ils étaient dans le même hall, la totalité de la scie d'équipe arrivent, peu d'heures plus tard, colonel Smain, Mohamed Oudeh et quelques autres visages de familier; Smain a rencontré les chefs du GIS et du SSP pendant quelques moments, puis il est allé de nouveau aux membres d'équipe demander après leurs nouvelles. Il a essayé de les soulager avec ces mots: ne vous inquiétez pas à son sujet; c'était un acte d'isolement; ce n'était pas votre défaut, quoi qu'il en soit vous ne pourriez avoir fait rien contre cet homme fol, quant à la perte d'un président elle est arrivée même à l'Americains?. Ils les ont alors commandés aller de nouveau à Alger. Puis, Smain accompagné avec Hadjeres, Hamou et Hamou et Oudeh est allé au département de police du comté (Wilaya) où Boumaraafi a été détenu; le dernier, l'a à peine eu colonel vu Smain Lamari qu'il a sauté de sa chaise et crié: vous venez vous (un mauvais mot); êtes vous heureux ce ya de way?(djit ouahed l'ashemata, le hakda ferhan de rak), l'atmosphère était très lourde et Smain a commandé ses compagnons le transférer à l'avion. Le président a été en attendant transféré à l'hôpital d'Ain Na'adja (HCA) à Alger où le docteur Brixi principal: le chef du service médical légal, a donné la version officielle d'origine de la mort. Presque au même colonel de temps Smain a pris Boumaraafi au département de secours dans le HCA où colonel Koutchoukali de docteur: le chef de l'unité psychiatrique a examiné Boumaraafi et lui a donné une injection tranquillising. Boumaraafi a objecté violemment à l'injection et crié aussi fort qu'il pourrait: le?you a voulu me tuer, vous a voulu me tuer? et Smain offensant avec tous les mauvais mots possibles. Une fois que presque endormi, Boumaraafi a été transféré à la prison de quarts de tête pour sa première nuit en prison. La commission nationale de recherche a été installée rapidement par le HCE (haut conseil d'état) le 4ème juillet 1992. Il s'est composé de personnalités soigneusement choisies par les généraux en question. Il a inclus M. Belhocine Mabrouk, Ahmed Bouchaib, M'hamed Ferhat, Youcef FathAllah, Kamal Rezzag Bara et Allel Tha'aliby. Après la première réunion de cette commission, Ahmed Bouchaib (un ami étroit de Boudiaf et d'un ancien membre des 22 du 1954 (les 22 qui a lancé la guerre de la libération) a été nommé président de la commission et du Kamal Rezzag Bara comme rapporteur. La commission elle-même a eu peu de puissance cependant, pour le?fictional? des buts de transparent et impartialité, il était parvenu (après plusieurs réunions avec les différents protagonistes de l'assassinat) à présenter son rapport au HCE. Le rapport lui-même n'était très pauvre et n'a pas inclus ni une recherche juridique ni il a inclus n'importe quelle opinion experte (donnée l'insuffisance de ses membres) sur le meurtre du président. Le seul objectif de cette commission était d'appeler officiellement les boucs émissaires sur qui la vraie recherche coupable pour placer le crime. Le facteur de temps était très important en tant que lui a joué contre les vraies tables traçantes de l'assassinat; et la nomination de cette commission aiderait à soulager les âmes choquées par cette élimination de phase. Des heures tôt de son installation, les pressions montaient sur la commission par Larbi Belkheir et Smain Lamari afin de choisir Rezzag Bara comme rapporteur. Le dernier a été pendant longtemps parmi les agents les plus fidèles servant le?drs?. Ainsi, le travail de?s de commission était à distance commandé dès le début, le poussant pour insister pour quelques points au lieu de d'autres, tel que la lettre fausse trouvée avec Boumaraafi, son lien avec le mouvement d'Islamist; on doit se rappeler la responsabilité des éléments de GIS qui avaient été juste ajoutés au SSP pour un support (il qu'alors, les éléments d'élite de la protection présidentielle avaient été assignés pour la protection exclusive des généraux de putchists). Cependant, le C avait délibérément oublié d'accuser Toufik, Smain Lamari et Larbi Belkheir, qui étaient responsable théoriquement principal de ce qui était arrivé au président. Au sein de la commission de recherche il y avait des déformations et quelques arguments profonds pour appeler le vrai coupable. Tous les membres avaient donné dedans en raison des pressions et des intimidations par les généraux, excepté Youcef FathAllah qui a refusé jusqu'à la dernière minute de signer le rapport final, dans lequel il a voulu inclure la responsabilité des chefs des corps de sécurité et préconisés leur démission comme conséquence logique au drame. Kamal Rezzag Bara, naturellement n'a pas manqué de rapporter le plus petit des détails à ses chefs au jeu rouleau-tambour: Il également, joué un rôle principal dans le meurtre de Youcef FathAllah (dans son bureau à l'endroit d'Emir AbdelKader) une année et une moitié plus tard, quand le dernier commencé écrire son rapport sur l'affaire de Boudiaf. Un problème a surgi par rapport à la recherche de cas, et au juge d'investigation d'Annaba décidé sur l'incompétence de la juridiction civile donnée la nature du cas où normalement il tombe sous la juridiction militaire. Mais le directeur central de la justice militaire lorsque Mohamed Elallem (après mandat d'action de Nezzar Général) annoncé à la pression que le cas relève de la juridiction civile. Presque un mois sur le meurtre du président, le jury grand du tribunal d'Annaba a décidé qu'il était compétent des lieux d'un ratione de cour d'essayer le cas (dans son secteur), une décision basée sur l'article 40 du code pénal. En fait, les généraux qui avaient surfacé cet assassinat s'étaient rapidement rendus compte qu'ils ont eu, à tout prix, pour pousser la caisse dans la juridiction civile pour le transparent vis-à-vis du peuple qui a cru en théorie de parcelle de terrain, et vis-à-vis des établissements internationaux sur un autre avant; mais d'une manière primordiale: quelques voix au niveau de rue accusaient déjà Larbi Général Belkheir qui a été appelé en tant que suspect principal du crime, une accusation qui l'a causé à l'état à la pression nationale, alors qu'il était ministre intérieur cela: le?neither le ministre intérieur ni son ministère pourrait être accusé dans les événements tragiques d'Annaba qui ont coûté la vie du président?. Une vraie course contre le temps a commencé en tant qu'Algériens qui ont dénoncé la parcelle de terrain comme étant orchestré par la sphère politico-financière contre un des symboles de la révolution et simplement contre l'espoir d'une population à une perte avec le futur. Le général de mandataire de zone d'Annaba: Mohamed Tighramy, responsable officiellement de ce cas a commandé la suite de la recherche par des officiers de la police judiciaire et les unités armées nationales et la reconstruction ont été programmées pour la première semaine août de 92. Le SSP et les équipes de GIS (avec leurs armes) sont allés samedi matin de la première semaine d'août à Annaba. Boumaraafi était airlifted peu de jours plus tôt. La reconstruction a eu lieu en présence des officiers à partir des unités armées nationales avec un grand nombre de personnalités comme le juge d'investigation. Cependant, le grand étonnant est venu à la fin de la reconstruction ce qui a duré pendant plus de cinq heures, quand le juge a annoncé l'arrestation de SSP et des membres de GIS. Étonnant était énorme et les membres des services de sécurité ont refusé de rendre leurs armes aux officiers des unités armées. À un certain moment un membre du GIS a dirigé son pistolet Berretta de secondaire-machine aux officiers qui ont essayé de désarmer Hamou principal: le chef de GIS, irrité par ce qu'il est venu pour recevoir des nouvelles le juge. Hadjeres principal a demandé à faire un appel téléphonique au jeu rouleau-tambour; de la conversation avec Toufik Général il a obtenu mais des insultes et un ordre d'obéir la loi; une nouvelle langue que le chef du SSP n'avait jamais entendue dans son vie entière. En raison de l'insistance de commandants Hadjeres et Hamou, les éléments d'officier et les officiers aucun-commissionnés ont renoncé à leurs armes et se sont tournés des prisonniers. Ils ont été conduits handcuffed à une station armée d'unité où ils ont dépensé plus qu'une semaine là. Les officiers ont été mis dans une même grande cellule avec rien mais des sous-vêtements. Après que le squabble entre les membres du jeu rouleau-tambour et des unités armées, le dernier ait pris la vengeance particulièrement après que l'appui qu'elles ont obtenu du chef des unités armées nationales (Benabbes Général Gheziel) qui a été enlevé du sommet de la décision-fabrication. Au-dessus de tous, deux officiers aînés (Hadjeres principal: chef du SSP et du Hamou principal: chef du GIS) trois officiers de subalterne (capitaine Zaidi: sous-chef au SSP, lieutenant Torki: chef de groupe et lieutenant Yacine: député-chef au groupe) et à dix-huit autres officiers aucun-commissionnés, en outre, le suspect principal: Boumaraafi serait chargé de l'assassinat et de beaucoup d'autres frais sanctionnés par punition capitale. Au ministère de la défense nationale et après des menaces par Larbi Belkheir, Khaled Général Nezzar, Toufik (Mohamed Mediene), et colonel Smain Lamari, avait pris une décision avec des conséquences dévastatrices et préoccuperait l'entier de l'établissement militaire et particulièrement des services de secret: des membres des services qui étaient sur la mission à Annaba allaient être sacrifiés. Quand la famille des officiers a rencontré Toufik Général, le dernier ne pourrait pas trouver mais les réponses évasives aux nombreuses questions ont mis à lui; ce fait partie du travail, mais elles continueront à recevoir leurs paiements normalement?. Le rapport le plus incroyable est venu de colonel Smain qui a dit cynique à quelques officiers inquiétés du destin de leurs collègues? c'est eux ou vos chefs; qui vous ont choisi?? La recherche sur l'affaire a pris un certain temps tandis que dans Annaba et?sink? la recherche sur le dossier, les généraux a décidé de le transférer à Alger. Le juge de recherche d'Annaba a pris la décision très mal et a démissionné de son poteau, il a été alors forcé de revenir sur sa la décision ou conséquences de visage. Mohamed Tighramt n'a pas eu le choix, craignant pendant sa vie, il n'a pas hésité du tout à publier un rapport réfutant sa démission qui a été déjà annoncée par la pression et la télévision. À Alger, c'était le général de mandataire du tribunal d'Alger: AbdelMalek Sayah un vieil agent des services (exclusivement sous Smain Lamari qui l'a recruté quelques années avant tandis que Sayah était à l'école des juges) et d'un ancien juge de cour de sécurité d'état chez Medea. Mohamed Saada: un deuxième juge de classe mais connu pour son honnêteté, a été nommé à l'aide Sayah pour tous les malheurs. Sayah AbdelMalek et Kamal Rezzag Bara avait pratiquement sauvé le futur de leurs officiers manoeuvrants (Toufik et Smain), et a été largement récompensé de celui. Les suspects (des officiers et des officiers aucun-commissionnés arrêtés dans Annaba) ont été transférés avec leur dossier en avion à Alger. Une fois à l'aéroport militaire de Boufarik (sous une escorte lourde des membres armés d'unités), ils ont été menés hors de Hercule à bord duquel ils sont arrivés, avec des mains et les pieds enchaînés, les employés à l'aéroport ne pourraient pas croire que l'état les prisonniers étaient dans. Avec Boumaraafi, détenus ont été transférés à la prison civile notoire du?Barberousse de Serkadji?. Excepté que Boumaraafi était dans l'emprisonnement solitaire et a été mis sous la surveillance visuelle permanente. Le destin a voulu que Hamou principal ait trouvé Abdelkader Hachani dans la prison de Serkadji, un des chefs de FIS qu'il a eu l'arrestation il y a une certaine heure. Au total, dont cinq officiers deux ont eu les rangs aînés et dix-huit aucun-ont commissionné des officiers, certains avec sur vingt ans d'expérience ont été sacrifiés aux besoins du scénario de transparent que les vraies tables traçantes avaient écrit. Les parents des officiers ont employé des avocats pour défendre les défendeurs suivant le silence des chefs qui n'ont plus voulu les recevoir et en raison du climat du treason au-dessus du lequel accrochait. Quand Kasdi Merbah a appris que les officiers aucun-commissionnés ne pourraient pas se permettre d'engager des avocats, il a instruit son propre avocat (et que de son?Majd de partie?) pour les défendre, qui n'était pas de bonnes nouvelles pour Toufik. Indépendamment des éléments sidelining responsables de la sécurité du président, Toufik a décidé sealling la cassette vidéo enregistrée avec Boumaraafi. Les états d'enregistrement étaient très tendus et Boumaraafi pas a voulu coopérer du tout et n'a pas cessé de faire des remarques au sujet des conditions de sa détention et de ses craintes pour l'assassiner pour l'amortir. Il n'était pas jusqu'à ce qu'il a été injecté de force avec un tranquilliser qu'il est allé à la salle d'enregistrement. La session était catastrophique, les réponses par Boumaraafi aux questions de l'officier derrière l'appareil-photo étaient sans sens, et la plupart de ses mots étaient des insultes vers les tables traçantes et les commentaires sur l'état du pays. À la question: vous avez des liens avec l'Islamists du FIS? il a répondu: ce n'est pas les gens avec des barbes et des djellabas que le défi font ce que j'ai fait?. La recherche a été mal conduite et l'agent Sayah AbdelMalek (maintenant récompensé de sa fidélité en tant que consul en Tunisie) a fait tout pour descendre tous les indices qui attacheraient les tables traçantes de généraux au meurtre. Un agent des services n'a jamais eu une telle puissance et beaucoup d'avantages; en outre, les gardes de corps ont fourni par le service opérationnel d'Antar et un chalet aux goupilles de DES de club (une zone résidentielle de gouvernement fortement gardée), il avait une ans très les peu de civils avoir eu un véhicule blindé coûter une fortune au contribuable. Quand les parents d'un des officiers accusés ont essayé d'intervenir et s'est plaint des excès de Sayah (à son ami le ministre de justice du temps: Mahi Bahi), il a reçu des assurances personnelles que le dossier serait transféré à un autre juge. Le ministre Mahi Bahi a gardé sa promesse et a rassemblé Sayah, mais pendant la rencontre c'était Mahi Bahi qui a entendu plus d'insultes de Sayah quand le ministre de la justice lui a dit de son intention de retirer le cas, qui devait pour être entre les mains de beaucoup de juges au lieu d'un juge. Sayah n'a pas perdu le temps et n'est pas allé immédiatement à Ghermol (bureau du contre- espionnage: DCI) au bureau de colonel Smain Lamari. Un appel téléphonique de Smain a résolu le problème. Très le même jour sur les huit heures de nouvelles, la démission du ministre de justice a été annoncée, à la surprise du ministre lui-même. Une question a posé par le comité de recherche est restée sans réponse: pas vous séjour sur la scène de crime après l'acte, et pourquoi vous êtes-vous donnés jusqu'à la police dix minutes plus tard?? Il n'était pas Boumaraafi qui a fourni la réponse à cette question, mais un de ses collègues du personnel-staff-sergeant Kamal Aidoun de?the de GIS?. Ce personnel-staff-sergeant était un des premiers éléments de GIS avoir fait partie de l'équipe assurant la sécurité du président dans Annaba. Il s'est sauvé sa caserne de GIS à la fin de 1993, et ses raisons ont été très justifiées pendant que Smain Lamari voulait sa tête à tout prix, car il a eu cela d'un officier aucun-commissionné peu de mois plus tôt, pour la raison simple pour laquelle Kamal Aidoun ait échoué dans sa mission dans Annaba. Sa mission était claire de même que les ordres directs de Smain Lamari par semaine avant le drame: quelques soupçons autour de la fidélité de Boumaraafi, vous avez le feu vert pour l'éliminer à la plus légère erreur?. Sans savoir beaucoup pourquoi Kamal Aidoun s'est trouvé mal à l'aise sur recevoir ces instructions et lui était seulement après l'assassinat de Boudiaf qu'il a compris; mais la grande difficulté pour lui était qu'il n'a pas obéi Smain. Pour plus de sécurité un autre officier aucun-commissionné la même mission mais ce?from Alger d'élément à l'origine? avait mis son frère dans le savoir peu de jours sur le meurtre du président et lui avait dit: le?I savent maintenant pourquoi le vieux loup (le nom de Smain dans le service) m'avait demandé de tuer Boumaraafi dans Annaba?. Cet officier non-commissioned a été arrêté par la tête centre de s Antar principal '(du temps de Farid) et torturé pour un lien fictif à un groupe de terroriste, et son frère a rencontré le même destin une certaine heure plus tard, cependant, le secret avait été déjà révélé. C'est pourquoi Kamal Aidoun avait abandonné après confirmation au sien des amis de fin qu'il a obtenu les mêmes ordres, mais ne pourrait pas tuer un collègue. L'évasion de Kamal avait lieu de la période courte pendant que S mobilisait toutes les forces opérationnelles pour trouver ce spécialiste en explosifs qui a tourné la chemise. Kamal a été éliminé par des éléments de l'interposition nationale de police et son arme (Berretta 92F) a été retournée au GIS avec son plein magasin. Boumaraafi était juste de ne pas faire confiance à Smain, et c'est pourquoi il s'est rendu à la police plutôt qu'à ses collègues. L'évaluation de l'opération de Boudiaf avait été haute en termes de vies humaines coûtées: on a éliminé plus de vingt personnes après les ordres de Smain et de Toufik pour protéger le grand secret, Kasdi Merbah qui avait décidé d'éditer les motifs pour l'assassinat de Boudiaf. Même Zeroual (puis ministre de la défense) ne pourrait pas le calmer et le convaincre de renvoyer les dossiers qu'il a eus en sa possession, deux semaines avant son élimination. Le chef du bureau de sécurité à l'ambassade algérienne en Suisse (Samir principal) a rassemblé les dossiers en question, donné de nouveau au jeu rouleau-tambour par un parent du défunt Merbah. Il va de soi que le massacre de Sarkadji (ce coût les vies de deux cents prisonniers) en février 1995 a été directement lié à la politique d'amortir un des dernières preuves de l'implication claire de Nezzar, de Belkheir, de Toufik et de Smain dans le meurtre d'un des symboles des symboles de la révolution. Condamné en juin 1995 à la punition capitale Lembarek Boumaraafi à l'heure actuelle est emprisonné dans la prison militaire de Blida. L'exécution de la phrase est suspendue pour l'instant. Nous présentons nos condoléances aux familles de toutes les victimes de cette affaire qui demeure une des plus foncée que le service avait jamais sus. Dans le temps moyen les vraies tables traçantes de meurtre de Boudiaf (suite suivante de Khaled Nezzar, de Larbi Belkheir, de Mohamed Mediene, de Smain Lamari et de Mohamed Lamari) continuent d'assassiner un peuple entier

                      je ve inserer un image de BOUDIAF ! mais je n'arrive pas.

                      Commentaire


                      • #12
                        Fin de cavale pour l'émir du désert

                        :P

                        Très lié à el-Qaïda, Abderrezak el-Para, le numéro deux du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), s'est tué dans les montagnes du Tibesti, au Tchad.

                        (Il a glissé sur une peau de banane) :P


                        Numéro deux du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), Amara Saïfi, alias « Abderrezak el-Para » (pour parachutiste), alias « Abou Haïdara », ou encore « el-Ourassi » (l'Aurassien), est mort le 15 mars dans le Tibesti, au Tchad, pas très loin de Faya-Largeau. Son corps a été retrouvé au fond d'un ravin. Grand artisan du rapprochement entre les groupes armés algériens et la nébuleuse el-Qaïda, il était visé par deux mandats d'arrêt internationaux lancés par les justices allemande et algérienne. Toute sa carrière a été jalonnée de meurtres et de destructions.




                        Lire la suite:

                        http://www.jeuneafrique.com/gabarits...54findetresdu0

                        Commentaire

                        Chargement...
                        X