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“L’ouverture du champ audiovisuel en Algérie est inévitable’’
Tewfik Khelladi, directeur général de la Radio algérienne“L’ouverture du champ audiovisuel en Algérie est inévitable’’ 
C’est une première du genre dans un pays de la rive sud de la Méditerranée. En effet, la Radio algérienne a accueilli durant deux jours, jeudi et vendredi, la quinzième assemblée radio de l’Union européenne de Radio-Télévision (UER), à l’hôtel El-Djazaïr. Un rendez-vous qui a connu la participation de 106 représentants de 33 pays.
C’est la première fois qu’une telle rencontre s’est tenue en dehors de l’Union européenne. La crise financière n’épargnant aucun secteur, les médiats surtout publics sont affectés, c’est du moins ce qu’a laissé entendre Jean-Paul Philippot, administrateur de la RTBF et président en exercice de l’UER : “Il y a des effets de la crise, mais il faut savoir s’adapter, pour cela, nous souhaitons des gouvernants qu’ils maintiennent surtout leur service public pour sauver des milliers de postes d’emplois, la crise financière pourrait entraîner même la disparition de centaines chaînes publiques.’’ Il est à rappeler, que l’Union européenne de Radio-télévision est la plus importante association professionnelle de radiodiffuseurs nationaux au monde, d’autant que l’audience hebdomadaire cumulée de ses membres atteint 650 millions de téléspectateurs et d’auditeurs. L'UER est une organisation professionnelle transnationale fondée le 12 février 1950 en Europe (Angleterre). Elle se compose de 75 membres actifs représentant 56 pays d'Europe et pays voisins et de 45 membres partenaires dans le monde entier. Pour sa part, Tewfik Khelladi, directeur général de la Radio algérienne, dira en substance lors de sa communication, que l’ouverture de champ audiovisuel en Algérie, est inévitable, c’est une question de temps. “Il faudrait développer, moderniser, être plus présent mais il faudrait d'abord organiser le cadre général pour permettre une telle ouverture, et ce, par la création, à titre d'exemple, d'organes de sondages et de publicité et autres", a-t-il estimé. D’autre part, l'ordre du jour de cette rencontre annuelle des radios publiques européennes et des pays de la rive sud de la Méditerranée, a été la couverture médiatique, par les Radios publiques, de la crise financière internationale, les droits sportifs de la Radio, la politique européenne de la Radio et de la Télévision en matière de gestion, et de diffusion des événements sportifs importants ainsi que le renouvellement du comité de la Radio composé de 13 membres. A ce titre, le directeur général de l'UER, Jean Réveillon, a précisé que le renforcement de la coopération entre les pays membres de l'UER, spécialement du sud, était plus qu'essentiel, dans le but d'améliorer la qualité et le contenu des services de radios publiques. Il a indiqué, en outre à cet effet, qu'il fallait développer un service audiovisuel de qualité et profiter de l'opportunité des nouvelles technologies afin de rattraper le retard accusé de certains pays en matière de numérisation.
Pour l'occasion, M. Réveillon a annoncé la mise en place d'un projet soutenu par l'Union européenne (UE), appelé Méditerranée -mémoires (Med-Mem) axé essentiellement sur la numérisation de toutes les archives audiovisuelles (images-vidéos-sonores) des pays membres de l'EUR, estimant que ces archives sont, selon lui, en voie de disparition.
C’est une première du genre dans un pays de la rive sud de la Méditerranée. En effet, la Radio algérienne a accueilli durant deux jours, jeudi et vendredi, la quinzième assemblée radio de l’Union européenne de Radio-Télévision (UER), à l’hôtel El-Djazaïr. Un rendez-vous qui a connu la participation de 106 représentants de 33 pays.C’est la première fois qu’une telle rencontre s’est tenue en dehors de l’Union européenne. La crise financière n’épargnant aucun secteur, les médiats surtout publics sont affectés, c’est du moins ce qu’a laissé entendre Jean-Paul Philippot, administrateur de la RTBF et président en exercice de l’UER : “Il y a des effets de la crise, mais il faut savoir s’adapter, pour cela, nous souhaitons des gouvernants qu’ils maintiennent surtout leur service public pour sauver des milliers de postes d’emplois, la crise financière pourrait entraîner même la disparition de centaines chaînes publiques.’’ Il est à rappeler, que l’Union européenne de Radio-télévision est la plus importante association professionnelle de radiodiffuseurs nationaux au monde, d’autant que l’audience hebdomadaire cumulée de ses membres atteint 650 millions de téléspectateurs et d’auditeurs. L'UER est une organisation professionnelle transnationale fondée le 12 février 1950 en Europe (Angleterre). Elle se compose de 75 membres actifs représentant 56 pays d'Europe et pays voisins et de 45 membres partenaires dans le monde entier. Pour sa part, Tewfik Khelladi, directeur général de la Radio algérienne, dira en substance lors de sa communication, que l’ouverture de champ audiovisuel en Algérie, est inévitable, c’est une question de temps. “Il faudrait développer, moderniser, être plus présent mais il faudrait d'abord organiser le cadre général pour permettre une telle ouverture, et ce, par la création, à titre d'exemple, d'organes de sondages et de publicité et autres", a-t-il estimé. D’autre part, l'ordre du jour de cette rencontre annuelle des radios publiques européennes et des pays de la rive sud de la Méditerranée, a été la couverture médiatique, par les Radios publiques, de la crise financière internationale, les droits sportifs de la Radio, la politique européenne de la Radio et de la Télévision en matière de gestion, et de diffusion des événements sportifs importants ainsi que le renouvellement du comité de la Radio composé de 13 membres. A ce titre, le directeur général de l'UER, Jean Réveillon, a précisé que le renforcement de la coopération entre les pays membres de l'UER, spécialement du sud, était plus qu'essentiel, dans le but d'améliorer la qualité et le contenu des services de radios publiques. Il a indiqué, en outre à cet effet, qu'il fallait développer un service audiovisuel de qualité et profiter de l'opportunité des nouvelles technologies afin de rattraper le retard accusé de certains pays en matière de numérisation.
Pour l'occasion, M. Réveillon a annoncé la mise en place d'un projet soutenu par l'Union européenne (UE), appelé Méditerranée -mémoires (Med-Mem) axé essentiellement sur la numérisation de toutes les archives audiovisuelles (images-vidéos-sonores) des pays membres de l'EUR, estimant que ces archives sont, selon lui, en voie de disparition.
Y. Maouchi