Vidéo d'un camp d'entraînement d'Al-Qaida en Algérie

[Iska]

Ghandi

Toujours le discours de la politique de non violence .

Si tu tombes entre les mains de ces barbares, ils commenceront à te torturer des jours durant, te faire mourrir à petit feu, pour finalement t'égorger( mais avant ils t'auront emasculer) .

[Iska]

Répliques

Répliques
Par :Djilali Benyoub
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Si l’offre du Président a eu déjà des effets sur des terroristes, il est clair que les radicaux ne céderont pas. Ces derniers ne comprennent que le langage des armes, celui de leur élimination. Avec eux, “il faut tirer d’abord, et discuter ensuite”.
Le dernier quart d’heure des groupes islamistes semble jouer les prolongations et répliquer comme un écho à chaque fois qu’on leur tend la main pour revenir à la raison.
Par intermittence, des attentats sont commis dans différentes régions du pays ciblant indifféremment, civils, hommes, femmes, gendarmes, militaires et policiers dans une logique de barbarie aveugle dont le but est de satisfaire, par sous-traitance, la soif destructrice de leur nouveau parrain d’Al-Qaïda.
Six militaires sont tués dans une attaque de leur convoi à Biskra, non loin du jour de l’attaque d’une patrouille de gendarmerie à Médéa… Entre autres attentats qui sonnent comme une réponse “explosive” à l’offre de “la dernière chance” préconisée par les autorités.
Acculés et sensiblement réduits par les opérations des services de sécurité et les redditions, les groupes terroristes ont intensifié les attaques soutenues par une propagande sur la toile pour apporter la démonstration de leur intacte capacité de nuisance. Aussi tenteraient-ils probablement par ce truchement de poser leurs conditions, par cette supposée preuve de force, et de les mettre face à la proposition “d’une reddition sans condition” du Président pour une éventuelle amnistie. D’où cette série d’attentats dont celui qui a ciblé des militaires à Biskra qui semble une réponse aux propos d’Ouyahia.
Si l’offre du Président a eu déjà des effets sur des terroristes, il est clair que les radicaux ne céderont pas. Ces derniers ne comprennent que le langage des armes, celui de leur élimination. Avec eux, “il faut tirer d’abord, et discuter ensuite”.
Encore faut-il pour réussir le défi de ramener la sécurité, accompagner la mobilisation des citoyens et des forces de sécurité d’un discours clair, cohérent et déterminé loin des tergiversations ou des déclarations triomphalistes qui ont souvent produit des effets inverses et des doutes.
À ce moment-là, on pourra effectivement parler du “dernier quart d’heure”.

Liberté