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Le trésor des barons de la drogue en Algérie

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  • Le trésor des barons de la drogue en Algérie

    L’affaire des 5,2 tonnes de résine de cannabis découvertes le 6 avril dernier, dissimulées à l’intérieur de trois containers entreposés dans la zone industrielle de Rouiba, à Alger, connaît des proportions spectaculaires, liées à une grande affaire de blanchiment d’argent.

    C’est ce qui ressort de l’enquête toujours en cours menée par la Gendarmerie nationale. Les investigations en cours font ressortir que c’est un réseau international qui est derrière cette affaire, a révélé, avant-hier, le colonel Mostepha Tayebi, commandant du groupement d’Alger de la Gendarmerie nationale.

    Ce réseau sévissait dans l’axe Maghnia-Oran et Oran-Chiffa, ajoute-t-il. « », lance-t-il. Il est à noter que d’autres quantités de résine de cannabis ont été découvertes, dans le cadre de cette affaire, après l’opération de la zone industrielle de Rouiba.

    Pour rappel, quatre quintaux ont été découverts, le 15 avril de l’année en cours, dans une villa en construction à Chiffa, appartenant à l’une des personnes accusées dans cette affaire.

    D’autres prises de résine de cannabis ont eu lieu après, dans cette affaire. C’est ainsi que jusqu’à maintenant, ce sont 5,93 tonnes de cette drogue qui ont été découvertes par la Gendarmerie nationale, dans cette affaire, révèle le colonel Tayebi.

    La Gendarmerie nationale a procédé à la saisine conservatoire de plusieurs villas, appartements, lots de terrain et une dizaine de véhicules haut de gamme, ajoute le commandant du groupement d’Alger de la Gendarmerie nationale.

    «Ces biens immobiliers sont mis à la disposition de la justice», explique-t-il. Les investigateurs de la Gendarmerie nationale soupçonnent que ces biens immobiliers ont été achetés avec de l’argent découlant de ce trafic de drogue.

    Ce qui s’agirait de blanchiment d’argent. «Ces biens se trouvent à Alger, Oran et Blida», lance le colonel Tayebi qui promet d’apporter tous les détails de cette affaire prochainement.

    Comme rapporté dans l’une de nos précédentes éditions, l’un des accusés dans cette affaire possédait six villas à travers le territoire national, dont celle de Chiffa où 4 quintaux de résine de cannabis ont été découverts.

    Près de 50 milliards de centimes auraient été retrouvés dans cette villa dont le propriétaire aurait pris la fuite pour se réfugier au Maroc.

    C’est de ce pays, d’ailleurs, que cette quantité de stupéfiants est arrivée en Algérie et dissimulée dans ces trois containers pour être transportée, par la suite, vers l’Europe. Les containers dans lesquels était dissimulée cette drogue transportaient des fruits importés du Maroc vers l’Algérie, avant leur déchargement.

    le jour d’algerie
    Dernière modification par mendz, 26 mai 2009, 17h53.

  • #2
    y a pas marocaine dans le titre de l'article
    Voila le titre:
    Saisie de villas, appartements, lots de terrain, véhicules de luxe

    Le trésor des barons de la drogue

    Commentaire


    • #3
      Envoyé par Taouz
      Le trésor des barons de la drogue
      Mais tout le monde sait qui est le principal foyer fournisseur de drogue de la région.

      D'ailleurs le trafiquant est allé se réfugier au royaume du narco trafic.

      Pas la peine de se voiler la face.

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      • #4
        Il s’agit de Ahmed Yousfi Saïd, dit « Saïd l’émigré », natif de Ouezra, Médéa

        C'est une affaire entre trafiquants algériens et marocains.

        Les autorités algériennes n'ont qu'à demander son extradition au lieu de passer par la presse avec des supputations douteuses impliquant les autorités marocaines.

        Le gars, un évadé d’une prison française en 2002, condamné par contumace à 15 années de réclusion criminelle pour banditisme, à réussi à ériger un véritable empire financier en 6 ans sans problème .

        Si ce n'était un hasard ,notre ami serait encore là à graisser la patte et à se faire son beurre.

        "La découverte du pot aux roses a été possible grâce à la vigilance d’un manutentionnaire du port sec de Rouiba qui, au moment des manœuvres, s’est rendu compte que les conteneurs pesaient très lourds alors qu’ils étaient censés être vides.

        http://www.elwatan.com/Demasque-le-b...-Mohammadia-se

        Pleurnicher en disant que le gars s'est réfugié au Maroc alors que l'Algérie l'a hébergé alors qu'il s'est évadé de France c'est se foutre de la gueule des gens.

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        • #5
          Belle prise !...
          Il faut lui mettre interpol aux fesses
          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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          • #6
            Envoyé par chifchi
            l'article parle des barons de la drogue algeriens et non pas marocains !

            pourquoi ce montage sordide ?
            Certes les barons de la drogue sont algériens mais qui font leur emplettes de ce poison chez qui ??

            C'est comme les Etats-Unis qui part en guerre contre les cartels de la drogue colombienne, et nous on a notre colombie de l'Afrique, le beau royaume enchanté, royaume du narco trafic.

            Voilà pour la triste réalité, on réalise par là tout le mal causé par la junte alaouite envers ses voisins.
            Dernière modification par mendz, 26 mai 2009, 19h31.

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            • #7
              ca commence à porter ses fruits, la lutte contre la drogue marocaine annonce chaque jour ses fruits m^eme la france s y mets et communique...... il faut s attaquer au blanchiment et a l immobilier
              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #8
                Pour la France, Sarko commence à percevoir le danger de ce pays des narcos, source de beaucoup de malheurs en France.

                Pour comprendre la complaisance et le soutien inconditionnel de la France, par rapport à ce pays voyous,il faut lire le livre de Moumen Diouri, À qui appartient le Maroc? L’auteur explique comment dans les années 80,des avions Hercule C130 venaient du Maroc remplis de Haschich, pour repartir en suite de l'aéroport Villacoublay remplis d'armes; si vous voulez connaitre les secrets et les dessous de cette famille de narcos trafiquants, qui commande ce pays depuis 1956 je vous conseille de lire ce livre A qui appartient le Maroc?
                Faute de grives , nous mangeons des Merles

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                • #9
                  suite :sur les barons de la drogue


                  Affaire des 5 tonnes de drogue saisies au Port Sec de Rouiba

                  Démasqué, le baron de Mohammadia se réfugie au Maroc


                  L’un des barons qui était sur le point d’exporter 5 t de cannabis vers Marseille, avant que la marchandise ne soit saisie au port sec de Rouiba, il y a quelques semaines, a été identifié par les services de la gendarmerie, a-t-on appris de source judiciaire.



                  Il s’agit de Ahmed Yousfi Saïd, dit « Saïd l’émigré », natif de Ouezra, Médéa, et résidant depuis six ans seulement à Mohammadia, qui est actuellement réfugié au Maroc.
                  Evadé d’une prison française en 2002, condamné par contumace à 15 années de réclusion criminelle pour banditisme, Ahmed Yousfi Saïd rentre en Algérie et devient un des barons de la drogue. En six ans, il a érigé un empire financier. A Mohammadia, où il réside, il a acheté de nombreux biens immobiliers, mis sous scellés dans le cadre de l’affaire de 5 t de drogue découvertes au port sec de Rouiba. La découverte du pot aux roses a été possible grâce à la vigilance d’un manutentionnaire du port sec de Rouiba qui, au moment des manœuvres, s’est rendu compte que les conteneurs pesaient très lourds alors qu’ils étaient censés être vides. Il en parle à un de ses amis qui est gendarme. Le lendemain, l’information arrive au groupement de la gendarmerie. Une première équipe fait sa descente, avec les chiens renifleurs, mais ne trouve rien. Le manutentionnaire persiste dans ses propos et insiste pour une fouille physique. Une autre équipe est revenue sur les lieux.
                  Les parois du conteneur sont alors cassés et c’est là que la découverte a été faite. Les premiers éléments de l’enquête vont mener les gendarmes tout droit vers Saïd l’émigré, qui réside, depuis 2004, à Mohammadia, et un certain Samir « Sori » ou Mounir Baya. Mais tous les deux avaient eu suffisamment de temps pour prendre la fuite, en emportant une bonne partie de l’argent de la drogue. Saïd et Samir ont pris le temps de vider les coffres qu’ils ont construits dans leurs différentes maisons dans de nombreux quartiers d’Alger mais aussi dans sa périphérie, comme à Boufarik ou la Chiffa. Les perquisitions que les gendarmes vont faire dans les domiciles identifiés permettent de récupérer quand même quelques quantités, qui restent tout de même minimes par rapport à celles détournées. De nombreux biens entre villas et appartements, appartenant aux deux barons, à Chéraga, Mohammadia, Tlemcen, Oran, Boufarik, ont été mis sous scellés dans le cadre de cette affaire. Saïd et Samir vivaient tous les deux à Mohammadia et pratiquaient la même activité, à savoir l’importation de véhicules de France, notamment de Marseille. De plus, ils ont un ami commun, un certain Boumail, lui aussi versé dans le commerce des véhicules et impliqué dans l’affaire des 1000 kg de cocaïne importés de l’Amérique latine, interceptés en Espagne. La marchandise était dissimulée dans des conteneurs qui devaient servir au transport de sanitaires pour le compte d’un opérateur algérien, Boumail, installé à Mohammadia.
                  Des ramifications transnationales
                  Les recherches ont permis de retrouver une partie de ces sanitaires, restées pendant longtemps dans les entrepôts. L’opération d’importation servait de couverture au trafic de drogue dure. Boumail est également un expulsé de France, du fait de son implication dans des affaires de banditisme. Saïd l’émigré et Boumail ont tout deux le même parcours. Ils ont appartenu à des gangs en France, avant d’atterrir à Mohammadia pour organiser des réseaux de trafic de drogue et transformer ce quartier en une plaque tournante des narcotrafiquants avec des ramifications transnationales. Les spécialistes se demandent si le choix de ce quartier de la banlieue est d’Alger était la décision des barons marocains, dans le but de sécuriser les convois de cannabis, à travers un nouveau redéploiement depuis que les ports de l’ouest du pays sont mieux surveillés par non seulement les Douanes algériennes, mais aussi européennes. Les inquiétudes sont d’autant plus importantes, lorsque l’on voit que durant les dernières années la quantité de drogue expédiée ne se mesure plus en termes de dizaines ou de centaines de kilogrammes, mais en termes de conteneurs. Ce qui reflète une forte activité des réseaux, qui ne lésinent pas sur les moyens pour acheter le silence de larges pans d’intervenants dans la chaîne de contrôle. Les méthodes de dissimulation dans les véhicules et camions ont évolué pour passer à des techniques de plus en plus difficiles à déceler, et des cloisonnements qui rendent presque impossible la neutralisation des vrais barons, qui fuient le pays avec une facilité déconcertante pour rejoindre (souvent) le Maroc, où ils ont acquis des biens. De ce fait, les nombreux réseaux démantelés se reconstituent avec une telle célérité, que l’on se demande souvent si, réellement, ils ont été un jour inquiétés. L’affaire de Rouiba est révélatrice. De jeunes émigrés poursuivis pour banditisme en France, recherchés dans le cadre de mandats d’arrêt internationaux lancés par Interpol, rentrent en Algérie sans aucun problème, pour mettre en place d’importants réseaux de trafic de drogue et ériger des empires financiers en leurs noms et ceux des membres de leurs familles.
                  Des signes de richesse tellement flagrants qu’il est impossible de croire que ces bandits au col blanc n’étaient pas bien protégés. Cette affaire fait craindre le pire, du fait qu’elle démontre aussi à quel point les réseaux de trafiquants ont évolué et, en parallèle, à quel point, les services de sécurité restent à la traîne. Est-ce faute de moyens ou de compétences que Saïd l’émigré et son acolyte Samir « Sori » ont réussi à prendre la fuite aussi facilement ? L’Algérie a suffisamment de moyens pour venir à bout de ce fléau qui menace sa sécurité intérieure. Ce qui porte à croire que ce sont les compétences humaines qui posent un vrai problème dans la lutte contre la criminalité organisée. La sonnette d’alarme est tirée parce que les deux barons de la drogue sont aujourd’hui pris en charge par leurs parrains.




                  Par Salima Tlemçani

                  Source : El Watan
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #10
                    La sonnette d’alarme est tirée parce que les deux barons de la drogue sont aujourd’hui pris en charge par leurs parrains.
                    aujourd'hui pris en charge par leurs parrains au Maroc . et demain c est sùr qu ils vont les lacher ( ni vu , ni connu )
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                    • #11
                      houari

                      comment tu peux expliquer qu'un trafiquant notoir, évadé d'une prison française et recherché par interpol, ait pu passer des années en algérie sans qu'il soit inquiété ????????

                      tjrs cette mentalité de la victime......:22:

                      Commentaire


                      • #12
                        comment tu peux expliquer qu'un trafiquant notoir, évadé d'une prison française et recherché par interpol, ait pu passer des années en algérie sans qu'il soit inquiété ????????
                        Aidé par le Maroc ( parrains ? ) : faux document pour circuler …
                        Housni58
                        Pour ta gouverne , ..Le Maroc va les lâcher , ils vont etre traqués par l interpole ....Affaire à suivre … rappel –toi de cette date et heure !
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                        • #13
                          houari

                          le jour ou tu seras honnête avec toi même, je te ferai signe....

                          ce que tu n'oses pas dire c qu'il était couvert par des algériens puissants qui lui ont facilité l'entrée au pays et l'ont soutenu durant toutes ces années parce qu'ils font tous parti de la même nebuleuse.

                          cesse de jouer la victime et de defendre l'indefendable, ça ne peut que t'honorer...........

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                          • #14
                            hosni ,il faut attaqué la source de probleme

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                            • #15
                              nous savons tous que le maroc est le premier producteur de hashish dans la région, mais ce n'est pas une raison pour ne pas critiquer ce qui se passe en algérie.

                              les trafiquants sont soutenus par des politiciens et des gradés qui tirent les ficelles de tous ce trafic.

                              une grande partie des securitaires algériens et marocains le long des régions frontalières laissent passer la hachich vers l'algérie et les psychotropes (9ar9oubi) vers le maroc, et le perdant c'est notre jeunesse.

                              la société civile dans les deux pays doit unifier ses efforts et agir pour denoncer et combattre ce fléau.

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