mêler le vrai au faux est une technique bien éprrouvée exploitée à travers le fameux comcept du "qui tue qui?" élaboré par les services d'action psychologique du drs. Certe, il y a bien eu des terroristes en Kabylie et ce depuis le début de l'insurrection islamiste et personne je dis personne ne nie cela seulement il n'y a pas lieu de touter une seule seconde de l'infiltration de certains groupes par les services spéciaux de Smail. Et oui, ces mêmes groupes ce sont bel et bien rendus coupables de graves exactions n'en déplaise aux tenants de l'option selon laquelle une armée républicaine s'est levée corps et âme pour préserver la nation du péril vert. Par la même, et avant que la stratégie militaire ne prévilégie les massacres de masse afin de discréditer les islamistes aux yeux de la population ainsi que sur la scène internationnal (dimension primordiale pour la junte ce qui explique les attentats de paris de 1995), de nombreux intellectuels ont dû payé de leurs vies cette politique criminelle et le premier fut le regretté Mohamed Boudiaf. Pour en revenir à l'assassinat de Matoub, il est clair que celui-ci intervient dans un contextte de fort tension entre les différents clans au sein du pouvoir. En effet, depuis environ une année les éradicateurs cherchent, à tout prix, à remettre en cause le duo Zéroual-Bétchine et tous les moyens des plus ignobles sont employés (voire les massacres qui commencèrent à l'été 1997). Maintenant, il est clair que ces propos n'engagent que ma personne et il est inutile de s'engager dans une analyse qui sera battue en brèche par les défendeurs du temple qui sévissent sur ce forum, l'essentiel étant que la vérité soit sue et dite et bientôt prouvée et les instigateurs arrêtés.
à bas ce régime mortifère !!!
vive l'algérie !!!
fraternellement
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