La Ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a promis "tous les moyens pour mener à bien" l'enquête sur le massacre des sept moines de Tibehirine en 1996 en Algérie, annonçant "des investigations supplémentaires" après le récent témoignage d'un général français.
Le Président de la République a demandé la "vérité" sur le massacre et assuré qu'il lèverait le secret défense sur tous les documents demandés par la justice française.
Le Ministre des Affaires étrangères de l'époque, Hervé de Charette, actuel député du Maine et Loire, avait sans doute préféré les bonnes relations avec le gouvernement algérien en se rangeant derrière la thèse "Djiadiste", selon laquelle les moines auraient été assassinés par des membres du GIA.
Thèse contredite désormais par le Général Buchwalter, ancien attaché de défense français à Alger qui a affirmé que les moines avaient été tués peu après leur enlèvement par des tirs depuis des hélicoptères de l'armée algérienne.
Selon l'ancien juge anti-terroriste et ancien député UMP de la Haute Vienne, Alain Marsaud, "les hautes autorités concernées de l'époque étaient complétement au courant de ce qui c'était passé et n'étaient pas dupes".
Ce qui revient à dire que Hervé de Charette était au courant se dont ce dernier se défend.
Le Président de la République a demandé la "vérité" sur le massacre et assuré qu'il lèverait le secret défense sur tous les documents demandés par la justice française.
Le Ministre des Affaires étrangères de l'époque, Hervé de Charette, actuel député du Maine et Loire, avait sans doute préféré les bonnes relations avec le gouvernement algérien en se rangeant derrière la thèse "Djiadiste", selon laquelle les moines auraient été assassinés par des membres du GIA.
Thèse contredite désormais par le Général Buchwalter, ancien attaché de défense français à Alger qui a affirmé que les moines avaient été tués peu après leur enlèvement par des tirs depuis des hélicoptères de l'armée algérienne.
Selon l'ancien juge anti-terroriste et ancien député UMP de la Haute Vienne, Alain Marsaud, "les hautes autorités concernées de l'époque étaient complétement au courant de ce qui c'était passé et n'étaient pas dupes".
Ce qui revient à dire que Hervé de Charette était au courant se dont ce dernier se défend.
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