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que penser de l'éducation en Algérie!

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  • que penser de l'éducation en Algérie!

    comme on dit: l'éducation se sème chez un enfant mais doit se cultivée toute la vie...
    maintenant, comment peut on semer cette éducation chez nos enfants s'ils apprennent dans des classes de 40 à 50 enfants !! ...et si une graine n'est pas semée, elle ne peut être cultivée...
    Passi passi werrana dipassi!

  • #2
    L'éducation elle commence á la maison...chez soi avec son entourage. L'école va apporter un plus mais les bases ce sont les parents qui les fournissent.

    Tout ce que je souhaite c'est qu'en Algérie ils ne fassent pas la meme erreur qu'en Europe se délaisser sur l'école. L'éducation c'est le rôle des parents pas celui des profs !

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    • #3
      vous avez raison...
      mais je vous fait remarquer qu'un enfant passe prés de 8 h par jour et 6 jours sur 7 à l'école...
      l'école aussi a un impact considérable sur l'éducation de l'enfant...
      " l'éducation est au centre de toutes les stratégies de construction de l'avenir. C'est un enjeux mondial, un des grands défis du troisième millinaire"
      Joël de Rosney
      Passi passi werrana dipassi!

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      • #4
        je pense que nous sommes d'accord, mais les élements fondamentaux de l'éductaion comme le respect, la tolerance...c'est á la maison que cela s'apprend. L'école est une micro société ou les enfants apprennent á vivre entre eux mais les bases pour vivre en société sont inculquées á la maison.
        Il faut arreter de penser que c'est aux autres d'éduquer et de former, chaque parent devrait être un modéle pour ses enfants, arretez de dire " faites ce que je dis pas ce que je fais !"

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        • #5
          Bien sur que la base de l’éducation (les bonnes manières, la rigueur, l’obéissance, ...) se font plus au sien de la famille. Mais l’école a aussi un rôle à jouer dans ce domaine. Par contre elle est fondamentale pour ne pas dire unique pour l’apprentissage des connaissances. Les parents peuvent amener un complément, mais c’est l’école la base.

          La question concerne donc l’école.

          Constats :

          - un nombre important d’élèves (40 à 50 c’est trop beaucoup) par classe n’est certainement pas la meilleure solution.

          - la dégradation du statut de l’enseignant est plus que préoccupante. Depuis « l’ouverture de l’économie », les fonctionnaires et en particulier les enseignants, se sont appauvris. Les artisans, les commerçants, les entrepreneurs vivent mieux que les fonctionnaires depuis ces changements en Algérie. Résultat des courses : les maîtres d’écoles sont moins motivés et en vivant misérablement leurs travail passe en seconde position après les préoccupations de survie. Comment voulez vous qu’on se motive à préparer des cours et à bien les dispenser quand on a froid, qu’on ne mange pas à sa faim, qu’on s’éclaire à la bougie, et qu’on n’a pas assez d’eau pour se laver…

          Certes ce sont des problèmes généraux de l’Algérie, mais il y va de la qualité de son enseignement et de ses services publics, en général.

          Savez vous que les maîtres d’écoles passent plus d’énergie, en donnant des cours « particuliers », au noir payant, pour arrondir leur mois, que pour l’école publique ? Il y en a même qui se forcent a rendre médiocres les cours de l’école publique pour convaincre les parents de la nécessité des cours de rattrapages payants. Autrement dit, le même maître donne un « mauvais » enseignement en classe de la république et un meilleur cours dans son garage pour les mêmes élèves puisque les parents le payent. Ceci expliquant cela.
          Dernière modification par Adhrhar, 15 décembre 2005, 12h37.
          Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
          L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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          • #6
            ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
            Dernière modification par absente, 20 juillet 2007, 23h15.

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            • #7
              Le grand malheur des algeriens, c est que l education des enfants n est pas accompagner par les parents, et de plus un manque enorme de bibliothemes pour parer a certaines oisivites des enfants.
              Nous constatons que l enfants des qu ils sortent de l ecole, il est mis a la porte de chez lui, pour liberer les lieux ou ces parents vaguent a autres choses, absence total des parents.
              Les parents attendent que la fin de l annee, ou l expulsion a l age reglementaire de l enfant pour reagir et blamer lenseignement, ils ont absent pendant des annees, mais l excusion de leurs fils met fin a certaines realite de la vie.

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