Les conducteurs, notamment ceux relevant de la catégorie poids lourds et dont la tranche d’âge varie entre 30 et 39 ans, sont à l’origine de 30 % des accidents de la circulation routière, a indiqué, hier le ministre, des Transports, M. Amar Tou. Cette déclaration a été faite en marge de l’inauguration du Centre national des permis de conduire (CENAPEC), sis à l’Institut national de la formation ferroviaire de Rouiba.
Citant des statistiques, le ministre des Transports a indiqué que cette catégorie de conducteurs (poids lourd) est responsable en grande partie des accidents de la circulations, contrairement aux jeunes dont la moyenne d’âge varie entre 19 et 22 ans et qui ne sont responsables «que» de 16 % des accidents de la circulation.
Ces informations rendues publiques hier par le premier responsable du département des transports ont été soutenues par des arguments sur l’importance que «les pouvoirs publics accordent à l’organisation, la sécurité et la police de la circulation routière ».
D’ailleurs, selon lui, le CENAPEC a pour principales missions «d’encadrer des activités d’enseignement de la conduite automobile par la mise en place d’une politique nationale de l’enseignement de la conduite automobile, de l’organisation des examens des permis de conduire par l’instauration d’un programme national et une carte nationale des examens des permis de conduire ainsi que le traitement des dossiers des candidats, leur validation et leur transmission aux autorités concernées ».Créé par la loi n°01- 14 du 19 août 2001 relative à l’organisation, la sécurité et la police de la circulation routière, notamment son article 61, et institué par le décret exécutif n°03-262 du 23 juillet 2003 fixant son organisation et son fonctionnement, le CENAPEC emploie 402 travailleurs dont 352 examinateurs et fonctionne avec un budget d’équipement total de 405 MDA.
Ainsi, selon Amar Tou, «l’installation officielle hier des responsables du CENAPEC est un signe fort pour l’entrée en vigueur de ses missions», rappelant que le «rôle de l’examinateur est celui de former et d’instruire parfaitement le candidat.» «Certains examinateurs ont développé des attitudes contraires à la loi et certains d’entre eux croupissent dans les prisons pour ne pas avoir respecté la réglementation régissant la profession», a-t-il expliqué.
Sur un autre plan, le représentant du gouvernement a porté à la connaissance des journalistes «l’introduction du permis à points, qui sera bientôt instauré et qui s’inspire du permis à points français». Selon le conférencier, «ce projet sera débattu soit au niveau de l’APN, soit il sera promulgué par décret». «La formation accrue du candidat au permis de conduire» avec «la révision de la loi régissant les autoécoles et la création d’une école nationale pour la formation des inspecteurs du permis de conduire et de leurs formateurs», constituera un apport important pour la sécurité routière.
Par le soir
Citant des statistiques, le ministre des Transports a indiqué que cette catégorie de conducteurs (poids lourd) est responsable en grande partie des accidents de la circulations, contrairement aux jeunes dont la moyenne d’âge varie entre 19 et 22 ans et qui ne sont responsables «que» de 16 % des accidents de la circulation.
Ces informations rendues publiques hier par le premier responsable du département des transports ont été soutenues par des arguments sur l’importance que «les pouvoirs publics accordent à l’organisation, la sécurité et la police de la circulation routière ».
D’ailleurs, selon lui, le CENAPEC a pour principales missions «d’encadrer des activités d’enseignement de la conduite automobile par la mise en place d’une politique nationale de l’enseignement de la conduite automobile, de l’organisation des examens des permis de conduire par l’instauration d’un programme national et une carte nationale des examens des permis de conduire ainsi que le traitement des dossiers des candidats, leur validation et leur transmission aux autorités concernées ».Créé par la loi n°01- 14 du 19 août 2001 relative à l’organisation, la sécurité et la police de la circulation routière, notamment son article 61, et institué par le décret exécutif n°03-262 du 23 juillet 2003 fixant son organisation et son fonctionnement, le CENAPEC emploie 402 travailleurs dont 352 examinateurs et fonctionne avec un budget d’équipement total de 405 MDA.
Ainsi, selon Amar Tou, «l’installation officielle hier des responsables du CENAPEC est un signe fort pour l’entrée en vigueur de ses missions», rappelant que le «rôle de l’examinateur est celui de former et d’instruire parfaitement le candidat.» «Certains examinateurs ont développé des attitudes contraires à la loi et certains d’entre eux croupissent dans les prisons pour ne pas avoir respecté la réglementation régissant la profession», a-t-il expliqué.
Sur un autre plan, le représentant du gouvernement a porté à la connaissance des journalistes «l’introduction du permis à points, qui sera bientôt instauré et qui s’inspire du permis à points français». Selon le conférencier, «ce projet sera débattu soit au niveau de l’APN, soit il sera promulgué par décret». «La formation accrue du candidat au permis de conduire» avec «la révision de la loi régissant les autoécoles et la création d’une école nationale pour la formation des inspecteurs du permis de conduire et de leurs formateurs», constituera un apport important pour la sécurité routière.
Par le soir
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