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Des gangs font régner la terreur à Bab El Oued

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  • #16
    Myra

    Va donc faire un tour à Bab el Oued ainsi tu constateras que ces loups là sont enragés...
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #17
      jamaloup
      .. les services de seucurité ont laché prise , il faut fermer ttes les prisons au nord du pays et ouvrir des camps de travaux forcés dans les hauts plateaux , 20 jours de travaux forcés a jelfa ou el bayadh valent 6 moiis de prison a blida , tnes ou tipaza ..les camps couteront 1000 fois moin cher que les prisons actuelles , il suffis des tentes , du fil barbelé que les prisonniers eux memes installent , et puis des postes de garde a lentour en plein hmada , et un bol de soupe d'orge ou d'avoine ..
      poser le rail exploiter des carrieres ,mise en valeur des terres , boisement , correction et protection des berges , installation des digues contre les crus des oueds .. mais avant il faut remonter le morale a la police et non pas l'humilier en en faisant une police de madamettes avec des vespa ..il faut un vrais corps d'elite.. et une justice faite d'hommes qui sont conscient que l'avenir du pays est en danger , qui envois les ptits delinquans dans les camps et les grands banduis au col blanc au poteau
      Deja avec cela Ait Ahmed et ses sbires appellent cela un Etat policier alors si tu t'amuses à installer des camps de concentration ils vont appeler à une intervention étrangére.

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      • #18
        Allane

        Tu devrais accompagner Myra à Bab El Oued
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #19
          ,devant le juge il fait l'etonné j'avoue tout monsieur le juge , mais y'avait pas un kg mais deux ..et hop un officier qui genait disparait .. pkoi l'incompetence criarde de la justice algerienne , l'inconscience du politique qui ne voit pas la bombe post terrorisme ..
          lol j'avoue c'est la première fois que je l'entends celle là. Je la sortirai au diner de ce soir
          La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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          • #20
            « Depuis, à chaque nouvel épisode ou règlement de comptes, "s’hab" la Carrière les préviennent en jetant un caillou sur leur fourgonnette. Celle-ci démarre en trombe et une horde de vandales déboule par les escaliers. »
            Les policiers sont impuissants. Ca m'est arrivé d'assister à une bagarre devant même des policiers. Quand ces derniers ont essayé d'intervenir pour les séparer, ils ont eu leur part de coups.

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            • #21
              Bonjour

              Rien n''a changé c'était la jungle !
              J'ai habité à Alger centre de 1965 à 1982 avant de quitter le pays.
              J'a étudié sur les hauteurs de Bab El Oued à "madame l'afrique"de 1971 à 1975.
              Dernière modification par mohoo, 17 octobre 2009, 11h51.

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              • #22
                zwina:
                Va donc faire un tour à Bab el Oued ainsi tu constateras que ces loups là sont enragés...?????????

                ya zwina wach raki tahki bab l'oued : je connais de long et en large et a chaque fois l'occasion s'y prète je fais un tour entre El-Kettani( ex:Padovani) et Oued-Koreïche (ex: climat de France) bab-el-oued se trouve entre les deux.
                Il m'arrive méme d'allez faire ma prière dans une mosquée tres sympas (Djamaa Enour).
                Dernière modification par myra21, 17 octobre 2009, 16h07.

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                • #23
                  Face à l’abandon de ces cités par les autorités, des gangs se sont imposés par la terreur et la violence pour faire régner leur loi. Agressant à tout-va, ils ont fait de la localité la plaque tournante notoire de tout genre de trafics, stupéfiants en tête. « Cette baraque s’appelle le kiosque. C’est là que se donnent rendez-vous dealers et acheteurs, au su et au vu de tous. Bien sûr que les policiers le savent, la plupart des personnes arrêtées pour possession de drogue affirment l’avoir achetée ici, mais ils ne font rien ! », raconte un jeune homme habitant les environs. Le vandalisme de ces bandes ne se limite pas à ce seul ghetto, il s’étend aussi à d’autres « territoires », affrontant, pour ce faire, les habitants des quartiers voisins, transformant les rues en un véritable champ de bataille et plongeant Bab El Oued dans la peur et la psychose. Pour mettre le feu aux poudres, un rien suffit. Dans la nuit du 13 octobre dernier, des jeunes voyous se sont affrontés dans les rues de la ville, la mettant à sac.
                  Bienvenue à ce qui rapelle les favelas de Rio de Janeiro.
                  Comment en est on rendu là?
                  -Crise de logement
                  -Manque d'emplois flagrant
                  -Une société sans coeur (tout le monde veut être riche, on ignore les démunis)

                  Et surtout comme comme le laisse entendre l'article, la démission de l'état.
                  La solution ne résidera surement pas dans la répression policière.
                  L'État doit chercher à aider ces gens en
                  -fournissant une meilleure éducation
                  -des emplois, des logements... et surtout une atmosphère vivable dans ces quartiers que tout le monde semble éviter.

                  Je suis passé à Bab-el-oued l'année passée, une sorte de pélerinage: Toute la région fait pitié en avoir envie de pleurer.

                  Si rien n'est fait... on finira de voir dans ce quatier... une guerre de gangs qui fera d'Alger en peu de temps une ville que tout le monde voudra fuir!
                  L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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                  • #24
                    Myra

                    Il m'arrive méme d'allez faire ma prière dans une mosquée tres sympas (Djamaa Enour).
                    Ceci explique cela. Je comprend mieux tes interventions et ton obstination à vouloir nous faire avaler des couleuvres. Madani va toujours là bas ?
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #25
                      et pourquoi ne pas s'inspirer des fréres marocains.


                      http://www.aujourdhui.ma/graphics/alm_log.gif


                      Où est le délit ?
                      L’affaire des criminels arrêtés puis «exhibés» à Fès continue d’alimenter quelques articles de presse et des réactions de la part de certains défenseurs des droits de l’Homme. Une réaction tout à fait légitime puisque son objectif est noble.


                      En fait, nul ne peut rester insensible à la photo publiée dans la presse où l’on voit lesdits prévenus torses nus, menottés et entourés d’agents de police devant une foule de passants. Si l’on ajoute à cela un commentaire relayé par l’un des confrères où un responsable de la Sûreté régionale de Fès affirme que les détenus ont été «exhibés pour l’exemple», cela fait immédiatement penser à une scène tirée d’un western. Or, ce qu’il faut faire dans ce genre de cas, c’est éviter, surtout, de se laisser impressionner par le premier impact de l’image et de revoir les choses autrement. Pour ce qui est de la photo, il faut d’abord préciser qu’elle a été prise au moment de l’arrestation, comme il a été indiqué dans un communiqué de la DGSN. Ce qui signifie que la volonté «d’exhiber» les détenus telle qu’elle a été décrite dans certains reportages n’existe pas. Pour ce qui est du commentaire qu’aurait fait un responsable de la police locale, il peut être expliqué par une volonté de mettre en valeur le succès de l’opération d’arrestation et le fait qu’il se soit laissé emporter par l’enthousiasme suscité par une telle prise et la satisfaction affichée collectivement par une foule ravie de s’être enfin débarrassée d’une bande d’agresseurs dangereux.
                      D’autre part, il est nécessaire, pour comprendre ce qui s’est passé, de se pencher de près sur l’usage policier en la matière. Généralement, l’arrestation des agresseurs notoires organisés en bande criminelle fait souvent face à un problème de fond : le manque de témoins et de plaintes directes qui s’explique tout simplement par le fait que les gens ont peur de représailles. Montrer le criminel arrêté, menotté, entre les mains de la police rétablit la confiance chez le citoyen ayant été victime du prévenu. Cela l’encourage à porter plainte officiellement. En plus, une victime n’ayant pas reconnu l’identité de son agresseur au moment de l’incident, peut le reconnaître au moment où la police l’affiche publiquement après son arrestation. Cela arrive souvent dans le cas des agresseurs en série.
                      Y a-t-il eu une violation des droits desdits criminels ? Aucune loi n’oblige la police à couvrir le visage d’un agresseur arrêté en flagrant délit au moment de son interpellation pour le protéger des regards des gens ou des caméras des journalistes. Où est donc le délit?


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