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L'avion présidentiel de Bouteflika échappe à un crash

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  • #31
    il faut vraiment être ronger par la haine, pour souhaiter la mort, même à son pire ennemi!
    Mr NOUBAT

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    • #32

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      • #33
        Par contre j'aimerais bien que l'avion sur lequel il est là bas au dessus de l'Algérie, celui qui regroupe tous ses ministres et autres voleurs se crash!!!

        Maintenant, j'irais pas jusqu'à le lui souhaiter pour sa vie....

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        • #34
          aircouscous
          moi ce qui m'importe c'est ce que ce dictateur fait subir a la Kabylie
          Au fait baiseur de mains dis nous ce que ce "dictateur" fait subir à la Kabylie?

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          • #35
            il a noyé des terres kabyles pour faire des barrages.
            il a bétonné des centaines d'hectares pour faire des universités.
            ça devrait suffire pour passer a la cour de justice internationale.

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            • #36

              Extraits du livre : Bouteflika : Une imposture algérienne de Mohamed Benchicou au sujet des derniers jours de Boumediene à Moscou :

              Lors du retour de Boumediène de Moscou, quelques jours avant d’entrer dans le coma qui devait se terminer par sa mort, Bouteflika s’arrangea pour faire survoler le territoire français par l’avion qui le ramenait d’URSS en Algérie. ».
              Dans le contexte de l’époque, pareilles suspicions de forfaiture politique condamnaient au mieux au bannissement, au pire à la mort, le plus souvent à la prison. Sur Bouteflika, ils ont donné un costume d’apparat : diplomate d’exhibition.

              Boumediène était immortel ! « D’ailleurs, il n’a jamais songé à sa succession, jusqu’à ses derniers jours, se rappelle Ahmed Taleb Ibrahimi, qui eut souvent à lui tenir compagnie devant son lit de mort à Moscou. Il n’imaginait pas, en cette année 1978, qu’il allait mourir si vite. Les Soviétiques lui ont toujours caché le degré de gravité de sa maladie…

              « Il (Bouteflika) me demanda un matin de décembre 1978 à l’hôtel Vernet, à Paris, où je résidais. Je trouvai un homme accablé, profondément dépité que Boumediène, qui était en soins à Moscou, ne l’appelât pas. Il me supplia d’intercéder auprès du président pour qu’il lui passe un coup de fil. Ce qui fut fait. Boumediène lui demanda de le rejoindre à Moscou. C’est comme cela qu’il rentra avec lui à Alger, récupérant la situation à son profit en survolant notamment le territoire français et en envoyant à Giscard un message qu’il a fait passer pour celui du successeur ! »

              Dans une ambiance politique nationale encore marquée par la crispation des rapports avec l’ancienne puissance colonisatrice, Bouteflika avait, en effet, commis l’imprudence de faire survoler l’avion qui ramenait Boumediène de Moscou par le territoire français. Cette audace lui sera fatale et le fera très longtemps passer pour un « homme à la solde de la France ».
              « Boumediène avait effectué plusieurs voyages en URSS ; jamais il n’avait survolé, pour cela, le territoire français, ni prescrit d’adopter un itinéraire qui l’aurait conduit à traverser l’espace aérien de la France, rappelle Belaïd Abdesselam. Mais à l’instant où il s’apprêtait à accompagner Boumediène dans un voyage qu’il avait, sans doute, beaucoup de raisons de considérer comme le dernier que celui-ci aurait à effectuer, Bouteflika tenait probablement à susciter l’occasion d’envoyer à Giscard d’Estaing un autre message et, peut-être, un signal. Dans le contexte qui était alors celui des relations entre l’Algérie et la France, le contenu de ce message apparut étrangement insolite à beaucoup de monde, y compris à son destinataire. Cependant, au moment où les spéculations qui envahissaient son esprit lui laissaient probablement entrevoir l’espérance de connaître un destin national, Bouteflika ressentait, sans doute, le besoin de donner à l’Elysée, et sous la signature de Boumediène, des gages sur des bonnes dispositions dans le futur. »

              Trois jours après, Boumediene sombra dans un coma dont il ne relèvera pas et décèdera après un mois. Vraisemblablement, il n'était pas l'auteur de ce message mais plutôt Bouteflika...
              Dernière modification par choucha, 04 novembre 2009, 08h24.

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              • #37
                choucha:
                Extraits du livre : Bouteflika : Une imposture algérienne de Mohamed Benchicou au sujet des derniers jours de Boumediene à Moscou :

                Lors du retour de Boumediène de Moscou, quelques jours avant d’entrer dans le coma qui devait se terminer par sa mort, Bouteflika s’arrangea pour faire survoler le territoire français par l’avion qui le ramenait d’URSS en Algérie. ».
                Dans le contexte de l’époque, pareilles suspicions de forfaiture politique condamnaient au mieux au bannissement, au pire à la mort, le plus souvent à la prison. Sur Bouteflika, ils ont
                donné un costume d’apparat : diplomate d’exhibition.

                Boumediène était immortel ! « D’ailleurs, il n’a jamais songé à sa succession, jusqu’à ses derniers jours, se rappelle Ahmed Taleb Ibrahimi, qui eut souvent à lui tenir compagnie devant son lit de mort à Moscou. Il n’imaginait pas, en cette année 1978, qu’il allait mourir si vite. Les Soviétiques lui ont toujours caché le degré de gravité de sa maladie…

                « Il(Bouteflika) me demanda un matin de décembre 1978 à l’hôtel Vernet, à Paris, où je résidais. Je trouvai un homme accablé, profondément dépité que Boumediène, qui était en soins à Moscou, ne l’appelât pas. Il me supplia d’intercéder auprès du président pour qu’il lui passe un coup de fil. Ce qui fut fait. Boumediène lui demanda de le rejoindre à Moscou. C’est comme cela qu’il rentra avec lui à Alger, récupérant la situation à son profit en survolant notamment le territoire français et en envoyant à Giscard un message qu’il a fait passer pour celui du successeur ! »

                Dans une ambiance politique nationale encore marquée par la crispation des rapports avec l’ancienne puissance colonisatrice, Bouteflika avait, en effet, commis l’imprudence de faire survoler l’avion qui ramenait Boumediène de Moscou par le territoire français. Cette audace lui sera fatale et le fera très longtemps passer pour un « homme à la solde de la France ».
                « Boumediène avait effectué plusieurs voyages en URSS ; jamais il n’avait survolé, pour cela, le territoire français, ni prescrit d’adopter un itinéraire qui l’aurait conduit à traverser l’espace aérien de la France, rappelle Belaïd Abdesselam.Mais à l’instant où il s’apprêtait à accompagner Boumediène dans un voyage qu’il avait, sans doute, beaucoup de raisons de considérer comme le dernier que celui-ci aurait à effectuer, Bouteflika tenait probablement à susciter l’occasion d’envoyer à Giscard d’Estaing un autre message et, peut-être, un signal. Dans le contexte qui était alors celui des relations entre l’Algérie et la France, le contenu de ce message apparut étrangement insolite à beaucoup de monde, y compris à son destinataire. Cependant, au moment où les spéculations qui envahissaient son esprit lui laissaient probablement entrevoir l’espérance de connaître un destin national, Bouteflika ressentait, sans doute, le besoin de donner à l’Elysée, et sous la signature de Boumediène, des gages sur des bonnes dispositions dans le futur. »


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