Une marche à laquelle a pris part, mardi 26 mai, une cinquantaine de manifestants se réclamant de la coordination de l’ex mouvement citoyen de Kabylie, CADC, a été violemment réprimée par les forces antiémeutes à son approche du siège de la wilaya de Tizi Ouzou. Plusieurs des manifestants, dont Khaled Guermah, le père de Massinissa, la première victime des événements de Kabylie en 2001, ont été passés à tabac par les CRS mobilisés en nombre impressionnant.
La veille de cette marche, le mouvement citoyen, dans une déclaration, a dénoncé « le bâillonnement des libertés, le verrouillage des espaces d’expression politique et médiatique, l’absence de démocratie, le déni identitaire et l’exclusion sociale du peuple algérien ». Dans le même document, les membres de la coordination de Tizi Ouzou ont également dénoncé la non tenue des engagements pris dans l’accord négocié puis signé entre le gouvernement et le mouvement des archs en 2005.
TSA
La veille de cette marche, le mouvement citoyen, dans une déclaration, a dénoncé « le bâillonnement des libertés, le verrouillage des espaces d’expression politique et médiatique, l’absence de démocratie, le déni identitaire et l’exclusion sociale du peuple algérien ». Dans le même document, les membres de la coordination de Tizi Ouzou ont également dénoncé la non tenue des engagements pris dans l’accord négocié puis signé entre le gouvernement et le mouvement des archs en 2005.
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