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Le Président Bouteflika procède à un remaniement du Gouvernement

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  • #31
    Je ne crois pas que c’est Bouteflika qui décide dans le choix du gouvernement.

    L’annonce du remaniement se fait comme par hasard le jour du match de l’EN. Demain tous les algériens parleront football.
    Dernière modification par shadok, 29 mai 2010, 00h42.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #32
      Rien de sérieux ne se fera dans ce pays tant qu'un benbouze sera aux commandes de la mal-éducation nationale! RIEN!!!
      dieu merci, dans ce ministere des plus sensibles, le ministre reste en fonction depuisplus de 10 ans deja

      au contraire de la france, ou leducation nationale produit des jeunes sans dipomes quelle ejecte de son systeme passés leur 14 ans revolus...et je ne parle meme pas des probelemes dilletrismes

      pourquoi cette sitation francaise si calamiteuse...le ministre d eleducation est remplacé a chaque printemps...

      12 mai 19882 avril 1992 Lionel Jospin Ministre d'État de l'Éducation nationale, de la Recherche et des Sports

      2 avril 1992 29 mars 1993 Jack Lang Ministre de l'Éducation nationale et de la Culture

      29 mars 1993 4 juin 1997 François Bayrou Ministre de l'Éducation nationale

      4 juin 1997 28 mars 2000 Claude Allègre Ministre de l'Éducation nationale, de la Recherche et de la Technologie

      28 mars 2000 7 mai 2002 Jack Lang Ministre de l'Éducation nationale

      7 mai 2002 31 mars 2004 Luc Ferry Ministre de la Jeunesse, de l'Éducation nationale et de la Recherche

      31 mars 2004 31 mai 2005 François Fillon Ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche

      2 juin 2005 18 mai 2007 Gilles de Robien Ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche

      18 mai 2007 23 juin 2009Xavier Darcos Ministre de l'Éducation nationale

      23 juin 2009 En fonction Luc Chatel Ministre de l'Éducation nationale
      en algerie, le ministre de leducation reste en fonction, ceci est essentiel pour ce ministere strategique

      benbouzid a fait evoluer tres favorablement lecole algerienne, depuis 1999 les resultats sont la

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      • #33
        Chakib Khelil remisé au placard pour préserver le clan présidentiel... A part ceci, un non événement.


        _
        "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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        • #34
          temmar (le hmar) va bientot le suivre

          fin de la legende du clan de louest...pas trop tot !!

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          • #35
            Ici, on dit: Plus ca change, plus c'est pareil

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            • #36
              C'est ça un remaniement algérien ils sont où les pro Rais ?
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #37
                a la plaine saint denis...derriere la cathedrale, juste avant le stad...

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                • #38
                  A part l’américain qui a été mis à l’écart je ne vois pas grand chose dans ce remaniement gouvernemental ! Abdelhamid LE H’MAR ne va pas tarder lui aussi à être appelé pour d’autres fonctions.
                  ..:: l'Algérie c'est comme la tour de Pise, tout le monde croit qu'elle va tomber mais elle ne tombera jamais! ::..

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                  • #39
                    oui, malheuresement...


                    il ya en a qui meriterait le chomage...et qui sevissent impunement et en toute incompetance

                    en algerie ils sont encore legion...dans le privé comme dans le public

                    la prime au plus nul, au plus faineant, a la plus grande gueule...

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                    • #40
                      Remaniement du gouvernement : Zerhouni remplacé, Khelil sacrifié.

                      Abdelaziz Bouteflika a procédé, hier vendredi, à un substantiel réaménagement du gouvernement Ouyahia que quitte définitivement Chakib Khelil.


                      Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Comme nous l’annoncions donc dans notre dernière édition, Bouteflika «touche» aux deux des ministères-clés de l’exécutif dont les titulaires demeuraient immuables depuis son premier gouvernement, le 25 décembre 1999 : l’Énergie et l’Intérieur. Chakib Khelil et Noureddine-Yazid Zerhouni, deux des plus fidèles hommes de Abdelaziz Bouteflika, constituaient, à eux deux, le véritable exécutif. Ces deux hommes ont survécu à tous les chefs du gouvernement, à tous les gouvernements et à tous les remaniements. Mais ce vendredi, ils viennent de connaître deux destins diamétralement distincts. Violemment secoué par une succession sans précédent de scandales liés à la corruption, celui de la BRC d’abord, la Sonatrach ensuite, Chakib Khelil finit donc par être lâché par son ami d’enfance. Bouteflika ne pouvait plus associer son image à celle d’un homme complètement discrédité. Il est donc limogé du gouvernement et «appelé à d’autres fonctions», selon le communiqué de la présidence de la République. Le départ, tout comme le nom du remplaçant de Chakib Khelil constituent une grosse surprise. Le nouveau ministre de l’Énergie et des Mines n’est autre, en effet, que Youcef Yousfi. Ce dernier a eu à occuper le même poste sous Zeroual dont il avait été également directeur de cabinet. L’un des fondateurs du RND, ce proche de Ouyahia, a toutefois été mis «sur la touche» dès l’arrivée de Bouteflika au pouvoir. Il entamait d’ailleurs, dès lors, une «carrière forcée» de diplomate exerçant comme ambassadeur, notamment au Canada et en Tunisie. L’autre grand changement notable de ce remaniement reste sans conteste «le cas Zerhouni». Le tout-puissant ministre d’État, ministre de l’Intérieur quitte donc son superministère après dix années de règne sans partage faisant de lui le numéro deux du gouvernement et, parfois même, le numéro deux du pouvoir tout court ! Mais son cas reste vraiment énigmatique car, s’il est «dépossédé» du ministère de l’Intérieur au profit de son «éternel second» Dahou Ould Kablia, il hérite du tout nouveau poste de vice-Premier ministre. Cette fonction avait été introduite, pour rappel, avec la dernière révision constitutionnelle. «Son domaine de compétence et ses nouvelles missions seront précisés ultérieurement par le président», nous a confié une source bien informée. Autre changement significatif, le limogeage de Hachemi Djaâboub. Ministre du Commerce du MSP, l’homme n’a jamais été «particulièrement apprécié» par Bouteflika qui le remplace par un autre ministre du MSP, Mustapha Benbada. Autre grand perdant de ce remaniement, un autre homme du président : Abdelhamid Temmar. Son superministère a été fortement réduit en lui défalquant l’industrie. Son département est désormais limité au simple «ministère de la Prospective et des Statistiques». L’industrie étant regroupée désormais avec les PME-PMI sous le même ministère dénommé «ministère de l’Industrie, de la Petite et Moyenne entreprise, et de la Promotion de l’investissement» détenu par l’ex-SG au même ministère, M. Mohamed Benmeradi. Même sort pratiquement que Chérif Rahmani dont le ministère est considérablement réduit désormais, lui qui perd le tourisme qui échoit à l’ancien ministre de la Pêche, Smaïl Mimoune, lui même cédant son ministère de la Pêche à son «collègue» du MSP, un député de Tlemcen, en l’occurrence Abdellah Khanafou. Le FLN, quant à lui, voit deux de ses ministres «permuter». Il s’agit de Djamel Ould Abbès qui quitte la solidarité pour la santé en remplacement de Saïd Barkat, qui hérite toutefois d’un département de la solidarité «défalqué» du secteur de «la communauté algérienne à l’étranger» à la tête de laquelle est nommé un diplomate de carrière (ancien ambassadeur de l’Algérie auprès de la Commission européenne) Hali Benatallah, avec le titre de secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères. A constater enfin le limogeage de Hamid Bessalah, ex-ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication remplacé par le DG d’Algérie Télécom, Moussa Benhamadi, et de Azzedine Mihoubi, jusque-là «secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargé de la communication» qui est rappelé à d’autres fonctions, selon le communiqué de la présidence. Il est remplacé par l’ex- DG de l’APS, Nacer Mehal, nommé «ministre de la Communication» plein.

                      K. A.
                      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                      • #41
                        dieu merci, dans ce ministere des plus sensibles, le ministre reste en fonction depuisplus de 10 ans deja

                        au contraire de la france, ou leducation nationale produit des jeunes sans dipomes quelle ejecte de son systeme passés leur 14 ans revolus...et je ne parle meme pas des probelemes dilletrismes
                        J'espère que tu fais de l'ironie là!
                        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                        • #42
                          modifier les posts....faut mieux assumer...


                          le systeme educatif francais est catastrophique, le taux de chomage des jeunes francais est un des pires deurope...
                          Dernière modification par hugochavez59, 29 mai 2010, 11h15.

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                          • #43
                            Toujours la même bataille autour du pouvoir pour le contrôle de la rente pétrolière. Ce n’est pas la compétence qui est recherchée.

                            Où est le gouvernement de technocrates annoncé dans la presse ?
                            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                            • #44
                              Le systeme educatif francais est catastrophique, le taux de chomage des jeunes francais est un des pires deurope...
                              C'est vrai que les étudiants français se bousculent pour venir recueillir un peu de la connaissance dans laquelle tu as baigné! Toi le pur produit de l'école benbouzienne!...
                              "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                              • #45
                                Dr.Djamel O.Abbès surnommé Père Noel , à la Santé ?(pas la prison) il a oublié qu'il est toujours le président en titre de l'UMA (union des médecins algeriens) depuis le début des années 80 (sans renouvellement des éléctions s v p). Est-il en droit de cumuler le poste avec le mandat à vie à la t^te de l'UMA ?:22:
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