L'Algérie investit beaucoup dans ce domaine et il est plus que normal qu'il y ait des mécanismes de contrôle.
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Libertés académiques : Les chercheurs scandalisés.
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Hugochavez59
Je suis assez bien placée pour savoir de quoi je parle, donc les commentaires pour commentaires je n'en suis pas encore là !
Je connais TRES bien l'état des sciences sociales en Algérie et dans toute l'Afrique du Nord, malgré la paupérisation certains maintiennent le travail.
les vacances a paris, ce nest pas au contrubuable de les payer....lui qui a deja financé les doctorats de certains de ces vacanciers-chercheurs
Là tu es à un niveau trop léger du commentaire, un peu café du coin à dire vrai !
Aya à la revoyure!
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Je ne connais presque rien au monde universitaire algérien...
L'article n'est pas clair. Les chercheurs en sciences sociales sont scandalisés mais la raison qu'ils donnent n'est pas du tout claire...
On ne peut faire du n'importe quoi avec les fonds de recherche. L'Algérie investit beaucoup dans ce domaine et il est plus que normal qu'il y ait des mécanismes de contrôle.
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Invité a réponduIl me semble que cette mesure s'adresse essentiellement aux sciences sociales qui elles ont la mission d'analyser tous les aspects d'une société, gouvernance y compris !
si leurs travaux, et leurs publications etaient si valables, les invitations devraient pleuvoir...tout frais payés
on en est encore tres loin....
les vacances a paris, ce nest pas au contrubuable de les payer....lui qui a deja financé les doctorats de certains de ces vacanciers-chercheurs
la gabegie ca suffit
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Bachi
Le système n'est pas comparable, en Algérie les financements des recherches proviennent de l'État d'où le biais (l'allégeance exigée)
Il me semble que cette mesure s'adresse essentiellement aux sciences sociales qui elles ont la mission d'analyser tous les aspects d'une société, gouvernance y compris !
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Ici, on refuser de payer pour du n'importe quoi.
On laisse cela à la discrétion du rectorat comme il se fait partout, il me semble.
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Oui, d'accord...
Mais on les aurait muselé si on leur avait refusé de participer à leurs frais...
Ici, on refuse de payer pour du n'importe quoi. On laisse cela à la discrétion du rectorat comme il se fait partout, il me semble.Dernière modification par Bachi, 26 juin 2010, 18h52.
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Envoyé par BachiOû se situe, selon toi, le musèlement ?
conclusion aussi hative que mensongere.......... et raciste au finalDernière modification par Blofeld, 26 juin 2010, 18h49.
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Azul
Envoyé par BachiLes libertés sont toujours limitées.
Jamais aucun texte n'a formalisé textuellement la main mise sur la recherche, là ça vient d'être fait !
@Tam
Il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac, et puis un tel langage ne sied pas à un docteur en médecine.
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Après la suppression de la moitié des bourses et l'organisation sciemment foireuse de celles qui restent (en France par exemple, tout le monde plaint les fameux BAF, boursiers algéro-français), on passe aux chercheurs qui seront condamnés à une formation intramuros (et donc médiocre). Après, la politique du musellement évoluera vers d'autres cibles: les écrivains, les journalistes (ah, ça c'est déjà fait), .....
Oû se situe, selon toi, le musèlement ?
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Invité a réponduseront condamnés à une formation intramuros (et donc médiocre).
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Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, qui s’est saisi d’un cas d’enseignants « accusés » d’avoir pris des positions « allant à l’encontre de celles de l’Etat algérien au sujet du Sahara occidental » lors d’un colloque organisé au Maroc, a décidé de « priver » des chercheurs algériens de prendre part aux manifestations scientifiques à l’étranger.
Après la suppression de la moitié des bourses et l'organisation sciemment foireuse de celles qui restent (en France par exemple, tout le monde plaint les fameux BAF, boursiers algéro-français), on passe aux chercheurs qui seront condamnés à une formation intramuros (et donc médiocre). Après, la politique du musellement évoluera vers d'autres cibles: les écrivains, les journalistes (ah, ça c'est déjà fait), .....
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J'ai pas compris grand chose à cet article...
Les libertés sont toujours limitées. Nulle part au monde, les chercheurs ont des chèques en blanc pour aller oû ils veulent quand ils veulent. Sauf quand ils paient de leur poche.
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Invité a réponduEn fait, ceux qui bénéficiaient de ces bourses c'étaient des lycéens normaux, parfois d'origine modeste. Alors que maintenant, pour avoir une bourse (à l'université, évidemment) il faut être enfant de la tchi tchi comme tu dis.
se cacher derriere le peuple........tactique bien connue des degenerés de la tchi tchi et leurs marmaille...
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dieu merci on nenvoie plus des enfants de la tchi tchi aller etudier a letranger avec des fonds publics..
Quant aux missions à l'étranger, ça devrait faire partie de la vie d'un chercheur. C'est la communication directe et la recherche de liens avec d'autres équipes de recherche qui fait l'expérience, car un chercheur ça n'évolue pas en lisant des publications dans son bureau. C'est vrai qu'il y a des dépassements, il y a des touristes et des voleurs, mais on ne soigne pas la migraine en coupant la tête.
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