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Un avenir piégé Contribution de A Benbitour

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  • #31
    Ettargui, mais il est connu lui, pourquoi s'entêter à le convaincre? tu es soit juif, soit marocain, et lui l'Algérien qui connait l'Algérie et qui l'aime, khatih ydir rouhou 3alem

    omar, oui il est orgueilleux le type, mais ça se retourne contre lui.

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    • #32
      "Je suis assez d'accord pour dire que Zeroual était le moins mauvais (Boudiaf Allah yrrahmou, non inclus dans le classement)" (ETTARGUI).

      C'est sûr que Zéroual à tenter d'amener des idées nouvelles, sans pour autant réussir dans une Algérie figée sur son passé et peu ambitieuse.

      Il semble que le pays connaisse un grand drame de blocage sur son épopée qui n'a plus rien à voir avec la réalité. Et puis, il faut savoir tourner une page si conséquente soit-elle. Le pays peut se prévaloir d'une nouvelle génération capable de mener à bien une doctrinaire en respect du testament de ses aïeux.

      Or, lorsque l'on voit que même une figure de proue comme Zora Driff se rapporte à un passé révolu par la mention de Ben M'hidi ou de Didouche Mourad, cela laisse pathétique. D'autant que Didouche Mourad, mort aux premières heures, n'a jamais cogiter sur un avenir algérien. Quant à Ben M'hidi, il est dit que son assassinat est la pire catastrophe que pouvait arriver au nouvel Etat algérien à venir.
      _________________

      Zohra Drif est une amie de la vérité pas toujours bonne à dire. Elle est celle qui fustige un Chef de gouvernement dans un Sénat béat de servitude. Elle veut qu’on ne trahisse pas l’héritage des Ben M’hidi et des Didouche Mourad et que cette jeunesse algérienne trouve des raisons d’être fière de son passé.

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      • #33
        Zéroual a fait des choses pour l'Algérie, heureusement que certains s'en souviennent!

        Le drame de l'Algérie, c'est qu'après lui qui a été correct, elle a certainement eu l'un de ses plus mauvais, voir le plus mauvais président.

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        • #34
          Qui se sent les c****** de faire mieux que Boutef depuis 1999?????????????????

          C'est beau de toujours critiquer mais dans les faits rappelez-vous que Boutef doit composer avec pas mal de ces corrompus que vous dénoncez.

          Et il ne suffit pas de se pointer en blanche armure et dire qu'on va nettoyer pour y arriver.

          Le Benbitour, pourquoi il n'a rien fait quand il avait le pouvoir de le faire hein?

          Pourquoi il passe sous silence que la population scolaire a triplé (au minimum !) depuis l"indépendance?

          Les 85% d'alphabétisés en 2010 c'est grâce à qui au fait? Dont pas mal ici font partie et viennent beugler sans trop se souvenir que c'est grâce à ceux qui ont mouillé leur chemise qu'ils peuvent le faire?

          Il faut peut-être aussi apprendre à faire la part entre corruption (elle existe comme partout) et erreurs (nombreuses mais peut-on jeter la pierre?) de la part de ceux qui ont tenté de faire de leur mieux alors même qu'ils n'avaient aucune expérience.

          Et si on veut être un peu objectif, il suffit de comparer avec certains pays aussi riches, sinon plus, que le nôtre, qui ont acquis leur indépendance à peu près au même moment que nous et qui sont actuellement dans une panade affreuse !

          Alors faire dans le populisme racoleur en racontant aux foules que ce qu'elles veulent entendre (souvent tronqué) en mettant en avant ses titres universitaires, Mr Benbitour, j'appelle cela de la malhonnêté intellectuelle.

          Et au fait, s'il suffisait d'avoir usé ses fonds de culottes sur un banc d'univ pour fabriquer un intellectuel, ça se saurait...
          « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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          • #35
            Zakia,

            Les résultats obtenus en 2010, sont malgré tout insuffisants au regard du potentiel de l'Algérie.

            La bonne foi n'appelle pas à constater des bons résaultats, mais à mettre en exergue les échecs ou les manquements d'un gouvernement. C'est là le dépositaire de quiconque; c'est-à-dire défendre la situation de gens lésés et afin qu'il ne consacre aucune affinité avec un gouvernement en exercice, dont libre à lui de partir!

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            • #36
              vas y mouha raconte nous qu'a fais zerwal ?


              de zakia,
              Alors faire dans le populisme racoleur en racontant aux foules que ce qu'elles veulent entendre (souvent tronqué) en mettant en avant ses titres universitaires, Mr Benbitour, j'appelle cela de la malhonnêté intellectuelle.
              ce n'est pas du populisme, M. benbitour se fiche completement de la population, il la méprise, la preuve, ses pseudos analyses et propositions à deux balles.
              il sait très bien que personne ne le suivra dans son délire, son objectif premier est de s'acheter une conscience tout en évitant les ennuis avec les tenants du pouvoir, c'est vraiment lache ce qui nous fait là ....

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              • #37
                Envoyé par Zakia
                Le Benbitour, pourquoi il n'a rien fait quand il avait le pouvoir de le faire hein?
                C’est un problème de système qui privilégie le clientélisme à la compétence. Benbitour ou toute autre personne compétente ne peut rien faire tout seul. Benbitour a d’ailleurs fini par être éjecté par Bouteflika.

                Envoyé par Zakia
                Il faut peut-être aussi apprendre à faire la part entre corruption (elle existe comme partout) et erreurs (nombreuses mais peut-on jeter la pierre?) de la part de ceux qui ont tenté de faire de leur mieux alors même qu'ils n'avaient aucune expérience.
                Après 50 ans d’indépendance nous avons le même système qui continu à faire les mêmes erreurs. En 2010, on parle encore du retour au patriotisme économique et à la création de grands groupes publics !! Comme si les leçons de l’économie socialiste ne nous ont pas servis. La dépendance des hydrocarbures n’a jamais été plus grande, la corruption, le gaspillage des ressources financières que Benbitour dénonce.

                Il a raison de dire : "Développer exige un système de gouvernance performant. Construire se contente de l'accumulation de moyens matériels et financiers, d'autant plus que la réalisation est confiée à des entreprises étrangères".

                Envoyé par Zakia
                Et si on veut être un peu objectif, il suffit de comparer avec certains pays aussi riches, sinon plus, que le nôtre, qui ont acquis leur indépendance à peu près au même moment que nous et qui sont actuellement dans une panade affreuse !
                Prenons l’exemple de la Malaisie qui a récupérée son indépendance dans la même période que nous. Elle est passée en 25 ans du stade de pays en voie de développement à celui de pays développé. La Malaisie a pour but d'arriver en 2020 à une nation pleinement moderne et développée.

                Envoyé par Zakia
                Alors faire dans le populisme racoleur en racontant aux foules que ce qu'elles veulent entendre (souvent tronqué) en mettant en avant ses titres universitaires, Mr Benbitour, j'appelle cela de la malhonnêté intellectuelle.
                Mr Benbitour dit des vérités qui dérangent pendant que d’autres continuent à mentir ou faire la politique de l’autruche. Il dénonce les dérives de la politique économique actuelle qui se base sur les dépenses publiques à outrance. Le gaspillage des ressources pétrolières qui confisque l’avenir des générations futures.

                Son action citoyenne vise à faire des propositions pour une Algérie meilleure. C’est un vrai patriotique. J’ai beaucoup de respect pour lui.

                www.cicc-dz.net

                J'ai lu hier dans un article que l'Algérie veut développer les "Think Tank". Commençons par respecter déjà l’initiative de Mr Benbitour.
                Dernière modification par shadok, 04 juillet 2010, 14h34.
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                • #38
                  Aux dernières nouvelles, boutef n'est pas président depuis l'indépendance, alors arrêtez de nous parler de progression depuis l'indépendance!

                  - Vous avez exclu votre participation à l’élection présidentielle d’avril 2009 et vous avez parlé récemment d’un changement pacifique du système. L’on se demande comment cela est-il possible alors que tout est verrouillé...

                  - Justement parce que tout est verrouillé, vous n’avez aucune chance d’accéder au pouvoir pour réaliser le changement avec les instruments que ce pouvoir a mis en place. Ces instruments sont les partis politiques et les organisations de la société civile en leur état actuel, ce sont des élections organisées par le système, ainsi que toutes les institutions de l’Etat sans exception aucune. Donc lorsque j’appelle au changement de régime, je n’attends rien du pouvoir ni de ceux qui gravitent autour de lui. Je m’adresse à ceux qui n’ont d’autre avenir que celui qu’ils construiront dans leur pays, l’Algérie. Les Algériens et Algériennes auxquels je m’adresse vivent la décennie la plus difficile de leur vie. Ils font face à la gestion de la colère dans toutes ses manifestations (émeutes, grèves, déviations sociales, harraga…). Ils doivent affronter, en tant que pays très fortement dépendant de l’extérieur, une crise mondiale d’une ampleur jamais égalée depuis la Grande dépression. Beaucoup disent que la classe politique est trop divisée, que la jeunesse est trop désillusionnée pour être capables de se tenir ensemble et travailler vers un objectif commun. C’est la propagande du fatalisme, au grand bonheur des partisans du statu quo. Je dis non, les gens sont capables de se mettre ensemble pour sauver le pays. Ils ont besoin de dirigeants capables de parler calmement, d’écouter attentivement, de trouver des solutions et de tenir parole. C’est l’antigouvernance qui a créé cette force d’inertie démobilisatrice qui gangrène le pays et le condamne lentement mais sûrement à une régression, pur stigmate d’un Etat défaillant. Donc lorsque je parle de changement dans le calme et la sérénité, je travaille à l’élaboration de nouveaux instruments pour la réalisation de ce changement. Ces nouveaux instruments concernent essentiellement la vision, c’est-à-dire expliquer la situation actuelle du pays, la situation vers laquelle il va dériver sans le changement et la situation à laquelle il peut prétendre s’il y a un changement de régime. Ils concernent également la capacité de rupture avec le régime en place, c’est-à-dire expliquer que malgré la fermeture de tous les canaux de progrès, il est possible de mobiliser les gens en faveur du changement, de le mettre en œuvre et de construire un nouveau projet de société, un Etat protecteur et développeur, de même qu’une économie productive générant des flux de revenus durables au bénéfice de tous. Il faut bien considérer qu’il est impossible de réussir le changement en utilisant les instruments mis en place par le régime actuel ni en s’inscrivant dans son agenda et encore moins à espérer un changement de l’intérieur du système. Seulement, le moment n’est pas encore propice pour présenter, dans le détail, ces nouveaux instruments sur lesquels je travaille.
                  Ahmed Benbitour, novembre 2008.

                  Comment comptez-vous mobiliser les Algériens qui semblent, à première vue, complètement désabusés et détachés de la chose politique ?

                  - Il est vrai que le clientélisme développé par le régime a réduit les préoccupations de la majorité des Algériens à des problèmes personnels : trouver un logement, s’assurer d’un travail stable, s’en sortir malgré l’appauvrissement général et l’instabilité, en somme « sallak rassek ». Mais cette perte de confiance en nos institutions et en l’avenir n’est pas une fatalité. Je crois fermement que nous pouvons renverser la tendance en nous mobilisant suffisamment. La flamme n’est pas éteinte, mais a simplement perdu de son éclat. Au fond de nous subsiste une étincelle qui doit devenir un rayon lumineux pour notre avenir. Retrouvons la foi en nous, en nos capacités, en notre valeur et en notre avenir. Le succès est assuré. Un peuple qui a sacrifié plus d’un million de martyrs pour son indépendance nationale, plus du sixième de sa population, dans la résistance à l’envahisseur entre 1830 et 1847 ; plusieurs dizaines de milliers de victimes du terrorisme pour résister à l’extrémisme, peut-il accepter de voir sa nation périr et se voir humilier, presque quotidiennement ? Moi, je dis non et je m’engage pour le changement.

                  En réalité, y a-t-il des chances de voir aboutir un tel projet de période de transition devant la fermeture des champs politique et médiatique et l’asphyxie des libertés politiques, qui pourrait s’aggraver avec la reconduction du président Bouteflika pour un troisième mandat rendu possible par la révision de la Constitution, le 12 novembre dernier ?

                  - Vous y êtes. Je répète que le régime ne peut changer de l’intérieur ni par des appels aussi lucides soient-ils. Le changement ne peut se réaliser que par des initiatives en dehors de lui. Mais encore une fois, toutes les propositions sont les bienvenues, elles enrichissent le programme vers le changement.

                  - L’on parle ça et là de l’existence d’un groupe de militants de divers horizons qui est en train de se former autour de vous. Est-il appelé à s’élargir ? Avec qui êtes-vous prêt à travailler ?

                  - En fait, j’ai reçu ces derniers mois des militants de divers horizons, comme vous le dites, et de différentes régions du pays pour m’encourager à me présenter à la prochaine élection, tout en m’assurant de leur soutien et de leur engagement en faveur de ma candidature. J’ai expliqué à chaque fois qu’il n’y a rien à attendre de la prochaine élections en matière d’alternance au pouvoir. Que l’avenir du pays passait par un nouveau programme pour le changement. J’ai réussi à les convaincre et ils s’engagent dans la réalisation de ce programme. Ce n’est que le début, beaucoup d’autres nous rejoindront lorsque l’information aura bien circulé sur le contenu de ce programme. Bien entendu, nous sommes ouverts à tous ceux qui rejettent le fatalisme et qui croient en le changement.

                  - Quand donnerez-vous le premier coup de starter à ce projet ?

                  - Après l’élection présidentielle, c’est-à-dire au tout début du deuxième semestre 2009.

                  - Comment interprétez-vous le silence de beaucoup de personnalités politiques ?

                  - Il ne faut pas que le silence se transforme en mutisme. Ceci dit, il y a des contacts entre les différentes personnalités pour sauver la nation. J’aimerais inviter les personnalités politiques, les tenants du pouvoir et chaque Algérienne et chaque Algérien à s’intéresser aux questions qui suivent. Jusqu’où doit aller la dérive observée ces dernières années dans la gestion de l’ensemble des activités nationales pour prendre conscience du danger qui menace la nation ?

                  Jusqu’où peut aller la marginalisation des compétences nationales présentes dans le pays ou à l’étranger pour se rendre compte de l’irréversibilité du processus de destruction des potentialités du pays ?

                  Combien faut-il de constructions de biens publics et privés par la violence pour intérioriser la nécessité du changement ?

                  Quel niveau doit atteindre la force d’inertie démobilisatrice qui gangrène le pays et le condamne lentement mais sûrement à une régression pour se réveiller ?

                  Est-ce une telle situation à laquelle aspiraient ceux qui ont donné leur vie pour que nous soyons libres aujourd’hui ?

                  Est-ce celle dans laquelle chacun de nous, jeune ou vieux, femme ou homme, voulons vivre ? Est-ce une situation normale pour une économie qui jouit d’une aisance financière jamais égalée ?

                  Est-ce une situation viable pour une économie qui exploite une ressource non renouvelable (pétrole et gaz) au détriment des générations futures ?

                  Où se situera l’Algérie de 2030, lorsque le pétrole et le gaz se feront très rares ?

                  La réponse se situe dans la nécessité urgente d’une large adhésion de la jeunesse à la stratégie du changement. Il est grand temps d’enterrer une situation où le soutien « politique » se construit sur le clientélisme et la construction de réseaux sur des bases régionalistes ou d’affaires. C’est le cœur de notre projet politique : mobilisation pour le changement et refondation de l’Etat.
                  A.B février 2009.

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                  • #39
                    Envoyé par Shadock
                    Prenons l’exemple de la Malaisie qui a récupérée son indépendance dans la même période que nous. Elle est passée en 25 ans du stade de pays en voie de développement à celui de pays développé. La Malaisie a pour but d'arriver en 2020 à une nation pleinement moderne et développée.
                    Tu te fiches de qui là?

                    1- la Malaisie n'est pas un pays développé, elle est en voie de développement.

                    2- la crise de 1997 a flanqué un sacré coup de frein à son developpement justement et il est admis depuis longtemps maintenant qu'elle n'atteindra pas ses objectifs pour 2020

                    3- le taux d'alphabétisation en 1963 était sensiblement supérieur au nôtre. Il tournait aux alentours des 35%

                    4- à leur indépendance, ils ne se sont pas vus privés de forces vives les obligeant à recourir à divers expédients pour avancer (notre cas!)

                    5- malgré un contexte un peu plus favorable, les politiques menées en Malaisie ne se sont pas révélées extraordinaires et il aura fallu le milieu des années 80 pour qu'ils se bougent.

                    Alors pour les comparaisons foireuses, c'est gentil mais merci de repasser une autre fois...

                    Envoyé par Shadock
                    Mr Benbitour dit des vérités qui dérangent pendant que d’autres continuent à mentir ou faire la politique de l’autruche. Il dénonce les dérives de la politique économique actuelle qui se base sur les dépenses publiques à outrance. Le gaspillage des ressources pétrolières qui confisque l’avenir des générations futures.

                    Son action citoyenne vise à faire des propositions pour une Algérie meilleure. C’est un vrai patriotique. J’ai beaucoup de respect pour lui.
                    Eh bien puisque Mr Benbitour est si capable, qu'il se lance en politique et crée un véritable parti d'opposition. Ca sera toujours mieux que des moulinets dans le vide. Sa grande spécialité apparemment.
                    « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                    • #40
                      Alors pour les comparaisons foireuses, c'est gentil mais merci de repasser une autre fois...
                      Les tigres asiatiques sont les cinq États qui sont dits « nouveaux pays exportateurs » (NPE) : la Thaïlande, la Malaisie, l'Indonésie, les Philippines et le Vietnam.
                      Leur émergence est une composante de la vague de développement touchant les économies émergentes d'Asie.
                      Les Tigres asiatiques ne doivent pas être confondus avec les Quatre Dragons que sont les nouveaux pays industrialisés d'Asie (NPI ou NPIA) : la Corée du Sud, Taïwan, Singapour et Hong Kong.
                      La raison principale de l'ouverture des pays en développement est le succès des NPI et du Sud-Est asiatique. Les quatre Dragons et les Cinq Tigres ont pu apparaître comme des modèles de réussite de croissance économique malgré la crise financière de fin 1997-début 1998. Grâce notamment aux investissements directs à l'étranger (IDE) qui viennent des pays de la triade (et plus particulièrement du Japon et des quatre Dragons), ces pays ont réduit leur chômage et petit à petit améliorent leur niveau de vie.
                      Certains économistes prévoient leur entrée dans la triade vers les années 2020

                      source la plus basique: wikipédia.

                      Se documenter c'est:

                      Ca sera toujours mieux que des moulinets dans le vide.

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                      • #41
                        Lancer un parti d'opposition en Algérie revient à construire tout seul et avec ses propres mains l'autoroute est-ouest !

                        Soyons réaliste, le régime ne tolère guère une opposition, cela ficherait en l'air son existence et ses privilèges.

                        Et puis en matière de réalisme il suffit de consulter le bilan des chantiers lancés, pas un n'a aboutit correctement à ses objectifs, d'autant plus que la manne pétrolière abondante aurait pu -sans parler de miracle- de tirer le pays de son gèle depuis l'indépendance.

                        Si on ajoute les affaires de corruption aucun pays dans le monde ne peut être sérieusement comparé à ce que vit le pays actuellement, donc il faut arrêter de lancer des fleurs et comparer.

                        Pour ceux qui pensent que le malaisie est comprable, la blague est bien bonne mais ne fait pas rire.

                        Commentaire


                        • #42
                          Soyons réaliste, le régime ne tolère guère une opposition, cela ficherait en l'air son existence et ses privilèges.
                          Ca c'est le grand leitmotiv pour surtout ne pas se bouger !

                          Evidement que ce n'est pas le pouvoir en place qui va faire le travail de l'opposition !

                          Mais critiquer dans le vide, pleurnicher en poussant des gémissements plaintifs ouiiiinnnnnnnnnnnn c'est la faute à Boutef, c'est se payer la gueule du monde.
                          « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

                          Commentaire


                          • #43
                            Cne
                            ce n'est pas du populisme, M. benbitour se fiche completement de la population, il la méprise, la preuve, ses pseudos analyses et propositions à deux balles.
                            il sait très bien que personne ne le suivra dans son délire, son objectif premier est de s'acheter une conscience tout en évitant les ennuis avec les tenants du pouvoir, c'est vraiment lache ce qui nous fait là ....
                            Oulala, ça rigole plus !
                            Benbitour méprise la population ! On voit que tu ne connais ni la personne, ni le milieu duquel il est issu...

                            ses pseudos analyses et propositions à deux balles
                            Tu pourrais peut-être développer ? Nous dire en quoi ses analyses sont "pseudo" et "à deux balles" !

                            il sait très bien que personne ne le suivra dans son délire,
                            La tu te gourres grandement l'ami ! Même si les courtisans et autres chantres du pouvoir font légion, il y a, el hamdoullah, dans ce pays des femmes et des hommes qui ne sont pas attirés par les chants des sirènes et savent utiliser leurs cerveaux.

                            son objectif premier est de s'acheter une conscience tout en évitant les ennuis avec les tenants du pouvoir, c'est vraiment lache ce qui nous fait là
                            Tu peux peut-être nous dire ce qui, dans son parcours, lui a fait perdre sa conscience pour qu'il soit obligé d'en acheter une autre, artificielle ?

                            Zakia, comment vas-tu ? Hadi ghiba !
                            Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

                            Commentaire


                            • #44
                              Bonjour Ettargui

                              Je vais bien merci et toi ?
                              « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

                              Commentaire


                              • #45
                                Envoyé par Zakia
                                Eh bien puisque Mr Benbitour est si capable, qu'il se lance en politique et crée un véritable parti d'opposition. Ca sera toujours mieux que des moulinets dans le vide. Sa grande spécialité apparemment.
                                Le jeu est fermé. Pas d’agrément pour les nouveaux partis d’opposition. La configuration actuelle du champ politique est basée sur les 3 partis de la coalition FLN-RND-MSP qui se partagent la rente pétrolière. Il n y a pas de place pour les partis qui ne soutiennent pas le programme du président de la république.

                                Concernant l’économie de la Malaisie, je t’invite à lire la fiche pays de l'Ambassade de France :

                                http://www.ambafrance-my.org/spip.php?article125
                                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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