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Autoroute Est-Ouest : Sans arrêt jusqu'à la sortie

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  • #61
    @Océane

    ... Il faut se munir de bougies imala...

    lol ...

    Disons que tout dépend de ce qu'on veux y faire : si c'est pour chercher des poux, alors oui il faut des bougies. Par contre, si c'est juste pour rouler, je pense que des feux de voiture ordinaires feront l'affaire ...
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #62
      ... Il faut se munir de bougies imala...
      Tu veux rouler en feux de position, t'inquiète il n'y a pas de compteur de la compagnie d'électricité, si tu utilises les feux de croisement et de route.
      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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      • #63
        Mais arrêtez d'embêter le collectif Ayoub, ils vont nous faire une déprime...

        Aya Ayoub &Cts, les algériens ce sont des idiots qui ne savent ni compter ni lire et qui savent juste pas prendre les bonnes décisions.

        Rahmouna chouia oua khaliwna nhalmou bkench mou3jibates a3laouia.

        Vous êtes tellement avancés par rapport à nous que vous devez au moins mettre la dernière main à la navette spaciale Terre-Mars avec balisage et éclairage de la trajectoire et au minimum une aire de repos sur la lune?

        Kech tsawar?
        « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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        • #64
          j'ai fait alger constantine le chauffeur de taxi m'a dit c'est super mais il manque des roses en plaisantant bien sur
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #65
            un Alger/Oran qui se faisait en 6 heures de route se fait en 4 heures
            Alger Oran c'est 450km, avec une vitesse de 80km/h et bien cela fait plus de 5h !!
            Mr NOUBAT

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            • #66
              reponse erroné
              Dernière modification par amicalement, 21 juillet 2010, 14h47.

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              • #67
                ACTUALITÉ

                AUTOROUTE EST-OUEST
                Le projet totalement livré avant fin 2010

                L’autoroute Est-Ouest sera ouverte à la circulation automobile dans sa totalité des 1 216 km avant la fin de l’année en cours, a annoncé hier à Boumerdès le ministre des Travaux publics, M.Amar Ghoul, qui inaugurait un tronçon de cet ouvrage colossal. L’autoroute est actuellement achevée à plus de 90% et de nombreux tronçons ont été graduellement mis en service depuis l’ouverture du chantier en 2004, avec une nette accélération du rythme des livraisons en 2009-2010. Construit selon les normes internationales en vigueur, l’ouvrage est dépourvu, pour l’instant, des équipements annexes comme les aires de repos, les stations-service et les stations de péage.

                Un premier «programme d’urgence» pour la réalisation de 14 stations-service, sur les 42 prévues, a été arrêté, a assuré M.Ghoul, hier dimanche, à Constantine où il avait inauguré le dernier tronçon reliant l’autoroute à la capitale de l’Est.



                source : l'expression
                .

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                • #68
                  Alger Oran c'est 450km, avec une vitesse de 80km/h et bien cela fait plus de 5h !!
                  Ben, si tu as pris le train en marche, je vais le répéter la vitesse est limitée à 120 km/h et non à 80 km/h comme dans les voies express.
                  Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                  • #69
                    Moi j'ai une question sur la forme : Que fait elle la photo de Bouteflika collée au pont entre deux drapeaux algerien ? Zama Djazair el izza oua el karama. Tez et retez.

                    Une tof d'un singe ça serait mieux.

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                    • #70
                      Une tof d'un singe ça serait mieux.
                      alors tu sais ce qu'il te reste à faire

                      sinon c'est vrai que c'est moche est déplacé, je ne vois pas l'interet de mettre coller sa photo un peu partout ....

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                      • #71
                        Ben, si tu as pris le train en marche, je vais le répéter la vitesse est limitée à 120 km/h et non à 80 km/h comme dans les voies express
                        robo cop , garde ton sang froid, j'ai réagis seulement à:

                        Cependant, le plus gros inconvénient pour les usagers semble tenir au nouveau code de la route, notamment à la limitation de vitesse. La nouvelle réglementation impose de rouler à 80 km/h sur autoroute
                        .
                        Mr NOUBAT

                        Commentaire


                        • #72
                          Espérons que l'Algérie procédera au paiement de son tronçon autoroutier par une vignette annuelle à acquérir par les automobilites.

                          Commentaire


                          • #73
                            le peage serait plus equitable a mon sens...

                            mais la vignette pour financer les transports publics....comme le a taxe sur les automobiles neuves....serait bienvenue


                            ceci étant 1200 km dautoroute 3x3 reliant tout le nord du pays.....cest au moins 1,5 points de croissance en plus

                            - sans parler des gains de productivité des entreprises nationales

                            - de lattractivité des zones industrielles loin de la capitale

                            - du tourisme national ainsi rendu bien plus aisé

                            - de la lutte contre les accidents de la route (les autoroutes sont plus usres...desengorgement des nationales....)

                            ..........

                            et je pourrais continuer ainsi encore longtemps


                            vive la chine !

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                            • #74
                              El Moudjahid sur le tracé de l’autoroute Est-Ouest : Tlemcen-El Taref (1216 km) en 10 heures !

                              Parcourir l’autoroute Est-Ouest sur plus de 1.216 km, c’est s’arrêter sur la réalité d’un chantier qui fait couler beaucoup d’encre.
                              PUBLIE LE : 04-07-2010 | 18:21

                              Parcourir l’autoroute Est-Ouest sur plus de 1.216 km, c’est s’arrêter sur la réalité d’un chantier qui fait couler beaucoup d’encre. D’Alger à Tlemcen sur plus de 500 km suivi par un Alger-El Taref qui brosse certaines régions autrefois inaccessibles, un groupe de journalistes s’est enquis de son état d’avancement. Loin des estimations chiffrées, souvent contradictoires, et des appréciations, généralement, trop techniques, et plus proche des difficultés du chantier, El Moudjahid donne la parole au terrain : A vous d’en juger !

                              Impressionnant, parfois bouleversant, fut notre périple au cœur du plus grand chantier de l’Algérie indépendante. L’Algérie aura bientôt une ceinture autoroutière qui reliera El Taref (sur les frontières est) avec Maghnia (frontières algéro-marocaine). Principales wilayas traversées : El Tarf, Annaba, Guelma, Skikda, Constantine, Mila, Sétif, Bordj Bou-Arréridj, Bouira, Boumerdès, Alger, Blida, Aïn Defla, Chlef, Relizane, Oran, Mostaganem, Mascara, Sidi Bel-Abbès et Tlemcen.
                              Notre arrivée aux frontières qu’elles soient algéro-marocaines ou algéro-tunisiennes fut un moment haut en émotion pour le groupe de journalistes ayant pris part à cette randonnée. Il est clair que nous sommes bien en avance dans la fameuse transmaghrébine. L'autoroute Est-Ouest s'intègre dans le grand projet régional de l'autoroute maghrébine, avec un linéaire de 7.000 km et dont la réalisation a été retenue par les pays de l'U. M. A.
                              L’Algérie a bel et bien ouvert les bras à ses voisins et attend l’arrivée des jonctions avec l’autoroute tunisienne et marocaine. Du côté des frontières marocaines, l’autoroute algérienne donne sur une terre agricole préparée pour la semence. Sur les frontières algéro-tunisienne, l’autoroute s’arrête brutalement sur une forêt verdoyante « République Algérienne Démocratique : Ici s’arrête l’autoroute Est-Ouest » lit-on sur les deux pancartes plantées aux bouts de l’autoroute. L’arrivée des travaux aux frontières ne suspend cependant pas la grande difficulté qui subsiste encore sur certains chantiers de l’intérieur.
                              Autant fut notre joie grande de constater l’évolution du chantier du côté Ouest autant fut notre contrariété de voire les difficultés que vivent au quotidien les milliers de travailleurs algériens et étrangers qui réalisent ce tronçons. Particularités topographiques exigent ajoutées à des conditions climatiques souvent défavorables font le casse-tête des artisans de l’autoroute « ce projet dépend de mère nature », commente un cadre du ministère des Travaux publics.

                              Alger-Tlemcen en moins de 4 heures !
                              Le programme de la visite, tel que fixé par le ministère des Travaux publics, fut scindé en deux parties. Le périple commence par une virée à l’Ouest.
                              Rendez-vous est donc donné au siège du ministère des Travaux publics. Il est 9 h 30. L’œil tantôt sur la jauge de carburant, tantôt sur les plaques de signalisation qui émaillent les abords de l’autoroute, Amine notre guide, connait parfaitement l’itinéraire.
                              Les aller-retour périodiques sur les différentes sections du projet font de lui un chauffeur averti. Nous quittons la RN n°1 pour rejoindre, au niveau de Birtouta, le tracé de la ceinture autoroutière. Les quatre voies deviennent subitement fluides une fois le barrage de la gendarmerie à Beni Merad passé. Le casse-tête de la circulation routière est bien loin en dépit des travaux de mise à niveau qui rétrécissent, de temps à autres, les voies de circulation. Quelques constructions, visiblement nouvelles, s’érigent aux alentours.
                              L’un des principaux objectifs du projet semble atteint et l’impact économique de l’autoroute commence à donner des fruits : fixer la population locale et développer les atouts des régions intérieures. Confié au groupement chinois Citic Crcc, le lot Ouest prend naissance à Chlef et depuis Alger, l’autoroute est ouverte à la circulation jusqu'aux frontières de Relizane au niveau de Yellel. Il est midi. La route menant vers Mascara est barricadée par des blocs de pierres pour éviter que des automobilistes s’y aventurent « c’est trop risqué. Les engins n’ont pas encore quitté les lieux » nous dit M. Mohamed Brahimi, directeur du chantier à la wilaya de Relizane.
                              Ceux qui arrivent de Chlef peuvent emprunter un échangeur pour accéder à Oran en passant par Sig et Mostaganem. Selon M. Brahimi, 87,50 Km de l’autoroute se trouvent dans le territoire de la wilaya.
                              Ainsi, 34 km entre Chlef et la daïra de Hamdana ont été livrés le 6 juin dernier. Pas moins de 22 autres kilomètres entre Hamdana (RN90A) et l’échangeur de Relizane ont été livrés le 15 octobre 2009. Le reste du tronçon (22Km) reliant Belaassel à l’échangeur de Yellel l’a été le 22 novembre dernier « il nous reste 8 km entre Yellel et les frontières de la wilaya de Mascara pour livrer la totalité du chantier de ma section » nous dit M. Brahimi.

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                              suite...

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                              • #75
                                L’autoroute…Wallah Ghaya !
                                Nous sommes donc les seuls à avoir « le privilège » de circuler sur l’autoroute jusqu’aux frontières ouest bien que d’autres automobilistes prennent de temps à autres le risque d’y accéder histoire de gagner du temps ! L’autoroute se fait des admirateurs avant même son inauguration officielle «wallah ghaya had l’autoroute» nous dit-on !
                                Sur un tracé bien bitumé, équipé de new jerzey bitume, de signalisation horizontale et verticale nous évoluons en évitant les engins de l’entreprise chinoise et les milliers d’ouvriers algériens et étrangers qui travaillent à mettre les dernières retouches. Le chantier grouille de monde. Algériens et chinois se partagent la mission de faire de cette autoroute un couloir sécurisé, vert et conforme aux normes internationales.
                                Au total, 15.000 personnes dont 9000 expatriés, sont recrutés « ils travaillent en brigades 24h sur 24h » nous lance M. Khelladi, chef du chantier au niveau de la wilaya de Mascara. Ce responsable atteste que la totalité du projet est livrable dans un mois si ce n’est le chantier d’un pont à la daïra El Ghomri. Long de 230 mètres, cet ouvrage d’art a été confié en mois d’août dernier au groupement chinois.
                                Les choses ont beaucoup évolué depuis mais les travaux sont à l’arrêt depuis une vingtaine de jours suite à une grève des travailleurs chinois « c’est dû à des problèmes purement administratifs » atteste M. Khelladi sans pour autant verser dans les détails.
                                Le chinois Citic/Crcc, qui a présenté un dossier financier défiant toute concurrence, s’est assuré les lots centre (169 km) et ouest (359 km). Tout au long de ces sections, leur manière de faire se démarque de celle des sociétés ayant chapeauté l’ancien programme. Même la couleur du bitume est différente ! s’exclame-t-on. Les talus qui cernent le bitume sont stabilisés par différentes techniques. Les chinois ont opté pour la technique du ciment projeté mais ils ont souvent laissé faire la nature. Les millions de végétations plantés font bien l’affaire. Ils maintiennent la stabilité des collines tout en embellissant le tracé.
                                Le couloir vert sur le tronçon ouest s’étale sur plus de 2 000 hectares de terrain « nous avons planté pas moins de 5 millions d’arbres tout au long du tracé » nous lance M. Mazoudj Aissa, directeur du projet du lot ouest. 16 h tapante. Il commence à se faire tard. Amine accélère de plus en plus. Il faut arriver aux frontières avant la tombée de la nuit pour pouvoir voir le bout du tunnel. De Bel-abbès à Tlemcen, l’itinéraire fut long et fatiguant « on y arrivera » nous lance Amine. Sur près de 200 km, nous avançons avec l’impatience de voire enfin les limites ouest de l’autoroute. Il était 18 h passée quand nous arrivons aux frontières algéro-marocaines « on y est ! ».
                                La route est brutalement coupée par une parcelle de terrain agricole. Ici se termine la partie algérienne de la trans-maghéribine. La prise de photos souvenirs est de mise ! Le chef de la section de Tlemcen, M. Metahri Boumediene atteste que 16 ouvrages d’art et 4 échangeurs ont été érigés dans le territoire de la wilaya. Les travaux routiers sont également en voie d’achèvement. Les terrassements sont achevés et une première couche de bitume est dores et déjà étalée « il nous reste une dernière couche de roulement pour dire qu’on a totalement achevé le chantier » nous lance t-il.
                                La fin des travaux est annoncée pour le début du mois d’avril «l’étalement de cette couche est impossible avec ce froid qui sévit dans la région » conclura-t-il. Un peu plus de 200 km seront donc livrables dans un mois. Avec les 160 km mis en circulation, soit la totalité du lot ouest. Le trajet Alger-Tlemcen sera dès lors faisable en moins de 5 heures !
                                Voire moins pour ceux qui savent appuyer sur la pédale.

                                Alger-Sétif : comme sur des roulettes
                                Deuxième jour de l’aventure. Après s’être reposé à Alger, nous démarrons vers l’Ouest de bonne heure. La traversée s’annonce plus ardue cette fois-ci. A bord d’un véhicule tout terrain, indispensable pour la visite des chantiers, nous traversons le lot centre jusqu'à Bordj Bou-Arréridj en passant par Bouira.
                                L’autoroute est ouverte sur 15 km jusqu'à Larbaatach. La deuxième section entre Larbaatach et Lakhdaria est en chantier. Ce qui reste de cette section est tributaire de l’achèvement des viaducs (8 dans la wilaya de Boumerdès) et de deux tunnels (4 tubes) du côté de Lakhdaria et de Bouderbala.
                                M. Kouihel, chef du projet à Boumerdès, nous explique les difficultés rencontrées dans cette région autrefois inaccessible. L’utilisation des explosifs et des techniques nouvelles ont certes été d’un grand apport (en dépit de la complexité des procédures administratives) mais ces deux tunnels sont considérés comme étant les plus difficiles dans le grand chantier de l’autoroute. Le premier tunnel sis à Kherrouba est composé de deux tubes. Il ne reste que quelques metres (moins de 10 m) pour que les deux premiers tubes (700 mètres et 1,5 km) soient totalement achevés. Les deux autres tubes (Bouderbala) seront également fin prêts dans quelques semaines « il nous reste seulement 300 mètres à parachever » nous dit le chef du chantier que nous quittons vers Bordj Bou-Arréridj.
                                M. Debbah Ahmed, directeur du lot ouest, nous reçoit à l’entrée de la wilaya. C’est a ce niveau que commence le tronçon Est. Long de 399 km, il est revenu au consortium japonais Cojaal. Composé de six entreprises, le groupement japonais Cojaal a décroché la réalisation du tronçon Ouest pour près de 341 milliards de dinars soit près de 6 milliards de dollars. Sur la totalité de ce lot, soit 399Km, près de 80 Km ont été livrés dont 36Km à Bordj Bou-arréridj, 25Km de l’évitement d’El Eulma, et 16 km dans la wilaya de Mila « nous livrerons 17 km d’ici juin prochain et dès lors, la liaison Bordj Bou-Arréridj-Constantine sera ininterrompue » atteste M. Debbah. Le reste du lot Est est en chantier. A des niveaux différents.
                                Difficile de dire le taux réel d’avancement car il existe plusieurs taux. Certains chantiers ont atteint la phase finale alors que d’autres sont encore en phase de préparation de chantier. Le plus gros des travaux, reste celui de creuser quatre tubes (tunnels) entre Skikda et Constantine et de commencer les terrassements sur une zone totalement gorgée de pluie au niveau de la wilaya d’El taref. Le reste du projet est donc tributaire des conditions climatiques.
                                Le défi est difficile à relever…mais M. Debbah ne désespère pas « ca va être une belle autoroute, vous verrez bien ! » !

                                Les nuits de Djebel El Wahch :
                                Il est près de 20 heures. La nuit s’est bien installée sur Djebel El Wahch. Quelques part entre Skikda et Constantine. Une zone autrefois impénétrable et dénuée de toute habitation. Dans le noir, nous voyons à peine ces routes qui montent. Certains d’entre nous commence à avoir des frissons dans le dos « ne vous inquiétez pas, rien ne peut vous arriver ici » rassure t-on. Sur d’interminables pistes, nous évoluons jusqu'à la lumière qui jaillit de plus en plus fort.
                                Au fur et à mesure que nous avançons, nous percevons ces carrures humaines qui, elles aussi méfiantes, s’approchent de nos véhicules « vous voici donc arrivés à un de nos plus grands chantiers !» annonce M. Debbah.
                                C’est réellement un grand chantier ! Grand et complexe. Les ouvriers continuent leur travail sans pour autant se soucier de notre présence. Les deux tunnels ont pris forme. A l’intérieur, c’est une véritable ruche d’abeilles.
                                Des engins de haute technicité émettent un bruit assourdissant. C’est ainsi que se déroulent les nuits de Djebel El Wahch « nous avons creusé 1 300 mètres et il ne reste que 300 mètres à terminer » nous lance un M. Debbah tout fier de cet exploit « nous avons opté pour une technique jamais introduite dans nos chantier, c’est celle de réaliser des creusements sur deux à trois fronts», précise t-il.
                                Ainsi, trois équipes s’affairent à creuser un seul tunnel. L’un du côté est, l’autre de l’ouest et un troisième du coté centre ! Il faut le faire.


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