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La situation réelle de la femme en Algérie

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  • La situation réelle de la femme en Algérie

    La situation réelle de la femme en Algérie

    C’est le 8 mars tous le monde est gentil avec les femmes, quelques Zardat (fêtes) dans les salons les hôtels et les salles .. du gouvernement jusqu’à la plus minable de nos écoles primaires résultat du désengagement de l’Etat en Algérie. rien que pour faire du 8 mars une « fête ». et de surcroît une fête nationale. Rien que pour tromper la femme sur sa vraie situation et détourner son attention du combat qui reste à faire non seulement pour l’épanouissement de la femme en Algérie mais dans le monde entier car le combat de la femme est internationale en dépit de toutes les politiques nationalistes. Donc .. une bouteille de gazouz une pâtisserie, un film sur le rôle de la femme pendant la révolution Hassiba benbouali, Boulmarka .. on visionne à l’occasion une conférence de Louisa Hanoune .. des soirées musicales des clips des femmes rien que les femmes en suite terminer ! la femme reprend ta place, la politique n’est pas ton affaire … ! Au moment ou des femmes en tailleurs et jeans à Alger à Tizi Ouzou et n’importe quelle ville d’Algérie s’empiffrent avec les Halawiyat les cadeaux et les ragots de l’administration .. et que même dans des conférences des intellectuels islamistes habillés en cravates parleront d’une vison moderne de la femme musulmane ex .. la vraie situation de la femme en Algérie est de plus en plus pire et périlleuse. La femme algérienne qui a prit librement part au mouvement de libération nationale présente au cœur de la révolution se voit après l’indépendance renvoyer au ménage sans commentaire ! au nom de loi de la foi le code de la famille ex .. et on rétabli les veilles traditions c’est l’homme qui gouverne la femme pas le contraire, la femme est la tentation elle-même .. ! Certainement que le femmes algériennes n’ont jamais cessé de militer et de réclamer leur droits de nature un statut sociale dans la société algérienne. Mais le vrai combat des femmes algériennes n'est pas celui qu’on rapporte occasionnellement dans les médias .. Il y’a le combat officiel et il existe un autre combat plus réaliste et résistant, un combat quotidien celui des femmes rurales des femmes exclus dans les coins les plus reculés de la civilisation. Dans les villages là ou l’on présente la femme comme « gardienne des traditions de notre société » alors qu’elle est « prisonnière souffrante » en fait de ces traditions .. Aujourd’hui quand on parle d’améliorations apporter à la condition de la femme on compte le nombre de femmes chefs d’entreprise femmes magistrats ( magistrates c’est encore incorrect comme terme je penses) combien sont-elles dans l’activité politique ex .. ! c’est faux ! cela n’est pas un indice de progression même si c’est positive dans le sens ou ces femmes qui accèdent à des postes importants font avancer le combat, et ne rentrent pas immédiatement dans l’engrenage despotique et idéologique des « hommes », et qu’elles oublient vite leur vraie condition de femmes dans la société. c’est à dire ne deviennent pas des « dames bourgeoises » au service de l’ordre établi .. Que du bluff ! même dans les structures politiques qui s’annoncent démocratiques la femme est exploiter comme outil politique dans les compagnes électorales pour arracher les voix féminines bien sûr mais c’est aussi pour construire cette façade démocratique, et dans le concret ces hommes ont toujours cette vison d’infériorité la mettant éternellement sous tutelle politique et administrative, car cette partie de politiciens ne remettent pas en cause le système qui reproduit ces idées ils se limitent à des discours des réformes et des critiques critiquables. Victimes de chantage politique dans ce cas de figure même dans les pays les plus avancés en démocratie .. les femmes sont victimes aussi de chantage économique commerciale. la femme comme outil publicitaire dans la vente des fois pour vendre des produits qui ont rien a voir avec l’être la sensibilité de la femme. voir une femme presque nue avec un portable dans une affiche publicitaire c’est quoi ! .. c’est ça qu’on appel un indice de développement. On utilise la femme comme objet sexuel pour attiré les regards vers certain produits de bonne ou médiocre qualité comme on utilise les femmes chics dans les services de restauration des salons de thé pour attiré d’avantage de clients car ça fait plus élégant et non par reconnaissance à leur travail, et il faut voir comment sont traité et vu ces femmes après le services dans la société. généralement il finissent leur nuits dans des hôtels toujours à cause du chantage du harcèlement des patrons et des barons .. combien sont-ils encore de femmes qui ont tenter de percer dans le marché du travail dans l’hôtellerie la gastronomie ex .. et sont vite transformer en femmes de plaisir au service d’autres appétits. combien d’étudiantes pour un petit job sont tombé victimes dans cette logique commerciale des femmes. qui rappelle combien la femme souffre dans la société combien elle est puni d’être femme. A l’image d’un homme qui me dit « ma fille moi elle fera des études et je la marierai Inchalah à celui que je veux ! » .. d’autres pratiques qui existent encore dans nos villages dont souffrent ces femmes qui sont loin de se voir s’exprimer sur leur situation rappel à l’ordre l’esprit combatif des femmes après le 8 mars. Car c’est vrai que après le 8 mars il y’a le 9 mars, la même situation.

    La conclusion de mon intervention sur ce sujet est que j’ai la ferme intention de démontrer que la situation de persécution que vit la femme algérienne comme toutes les femmes dans la monde est avant tous économique, seul dans le monde du travail la libération des femmes se réalisera. Les exemples ne manquent pas dans l’histoire sur le rôle de la femme travailleuse car en fait tous les droits et les évolutions enregistré à ce jour ont étaient acquis par les femmes de la classe ouvrière et non par les discours et les cérémonies .. Le 8 mars célèbre la Journée Internationale des Femmes et cette journée trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XX°s en Europe et aux États-Unis, réclamant des meilleures conditions de travail et le droit de vote. La création d’une "Journée internationale des femmes" a été proposée pour la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin, et s’inscrivait alors dans une perspective révolutionnaire. et ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes devient une tradition dans le monde entier. En 1921, l’Etat ouvrier de Russie instaure une célébration officielle du 8 mars en hommage aux ouvrières révoltées de 1917. La Chine adopte la même disposition en 1924 et les pays de l'Est suivent en 1946. La Journée internationale des femmes est reconnue officiellement par les Nations Unies en 1977, et en France en 1982.
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

  • #2

    La conclusion de mon intervention sur ce sujet est que j’ai la ferme intention de démontrer que la situation de persécution que vit la femme algérienne comme toutes les femmes dans la monde est avant tous économique, seul dans le monde du travail la libération des femmes se réalisera. Les exemples ne manquent pas dans l’histoire sur le rôle de la femme travailleuse car en fait tous les droits et les évolutions enregistré à ce jour ont étaient acquis par les femmes de la classe ouvrière et non par les discours et les cérémonies ..
    Hum, pas sûr que ce ne soit qu'une question d'emploi, que la question soit avant tout une d'ordre économique.
    A leur époque, les plus bourgeoises des occidentales n'étaient pas les égales en droit des hommes de classes inférieures.
    L'émancipation de la femme dans le monde est surtout une question de mentalités, de moeurs, de coutûmes, de traditions, de religion et tout un fatras d'ignorances et bêtes bétises.
    S'agissant de l'Algérienne, elle n'y échappe pas. Face au machisme séculaire ambiant, dans une société hautement patriarcale oû elle n'a d'autre droit que de se faire mineure, se taire et servir le mâle et obéir à ses ordres, fut-il son petit frère, son petit cousin.
    Ca change et c'est tant mieux.
    Mais je suis un homme et j'ai toujours, sur cette question, horreur de dire comment est la condition des femmes. Force m'est, tout de même, de constater les faits...
    Dernière modification par Bachi, 08 mars 2006, 21h15.
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #3
      Je te remercie pour ton intervention,
      Justement en regardant bien le passage que tu cite dans mon post je dis bien que la situation de persécution que vit la femme est avant tous économique c’est à dire le travail le salaire les droits la qualification ex .. et c’est mon idée que je peux défendre sans problème, en se basant sur les expériences dans l’histoire de la lutte des femmes pour leur émancipation sociale c’est seulement dans le monde du travail que la question de la femme trouvera une réponse.
      Effectivement les femmes de la classe bourgeoise ont vécu l’inégalité en droits devant les hommes, mais pas tellement au même degré que les femmes ouvrières car la femme ouvrière subie une double persécution, économique dans sa condition d’ouvrière et persécution de sexe autant que femme dans une société qui instaure l’inégalité générale. Et c’est l’une des raisons peut être qui pousse les ouvrières à se révolter avant les bourgeoises qui ne se soucient guère de leur situation du moment qu’elles vivent dans de bonnes conditions. On peut même rajouté sans hésitation que les bourgeoises ne voulaient pas certainement voir les femme ouvrières libres et être leur égale en droit !
      Je penses que c’est justement cette réalité économique qui peut changer radicalement les mentalités les mœurs et les traditions ainsi que toutes les conceptions obscurantistes sur la femme et non les discours opportunistes qui cherchent à plaire aux femmes.
      Il faut voir les choses dialectiquement si je peux dire, pas d’évolution des femmes sans évolution sociale et pas d’évolution sociale sans l’évolution de la femme qui est une part de la société.
      Il faut voir aussi cette question comme un problème sociale et non pas une question individuelle. L’évolution de la femme à mes yeux ne sera jamais qu’une femme porte une minijupe et traverse un village arriéré. que les uns disent c’est bien il faut provoquer ex .. je penses que c’est faux, dans un climat hostile ce n’est pas de cette façon qu’on peut évoluer dans le combat. Il faut penser aux moyens d’aider les femmes à prendre conscience d’elles-mêmes sur tous les plans. Et c’est sur ce point que le combat de la femme rejoint toutes les luttes sociales pour une prise de conscience générale !
      Dernière modification par postra, 08 mars 2006, 22h54.
      Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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      • #4
        Détrompe toi Postra quelque soit le milieu social, les femmes algériennes subissent exactement les mêmes pressions. C'est vrai que la femme rurale est encore plus sujette à la discrimination car n'ayant pas ou peu été à l'école elle ne connait aucuns de ses droits. Beaucoup s'imaginent encore que l'homme a le droit de les répudier et de les mettre hors de leurs maisons alors que le nouveau code de la famille a changé cela. Beaucoup croient encore qu'en matière d'héritage, rien ne leur revient ce qui est encore une erreur, par exemple une fille non mariée ou divorcée a le droit d'habiter dans la maison de son père sans qui que ce soit n'est à y redire. Le certificat de virginité n'a plus lieu d'être et aucun maire n'a le droit de le réclamer, de plus si l'on avait appliqué réellement le Coran c'est aux deux futurs mariés qu'il aurait du être réclamé. Le rôle de la famille et des parents est aussi important dans la condition des femmes, combien d'hommes cultivés sont à l'extérieur ouvert et tolérant et dès qu'il rentre à la maison redevienne les despotes que leur éducation leur a inculqué ???? Les filles sont considérées comme quantité négligeable car un jour elles se marieront donc toute éducation ou investissement dans les études est considéré comme pure perte. Les parents voient encore dans leurs fils celui qui sera là et s'occupera d'eux lorsqu'ils seront vieux et malades mais la réalité du terrain est tout autre ; bien souvent les hommes à cause de leur éducation égoîste se préoccupent peu de leurs parents et c'est majoritairement les filles qui sont là quand leurs parents en ont besoin. Le milieu rural est beaucoup plus dur pour les femmes algériennes car elles doivent aussi subir les ragots et les rumeurs qui causent souvent des drames dans les familles. Elles doivent faire attention au moindre de leurs gestes pour éviter les commérages et les sanctions qui pourraient en résulter : je connais le cas de femmes qui ont été accusées d'adultère (gros mensonge pourtant mais quand les vipères se mettent à parler......) et ce sont retrouvées à la rue, insultées et mis au ban du village. La différence entre une femme rurale et une citadine cultivée est que la seconde connait ses droits mais pas la 1ère, mais elles subissent exactement le même harcelement. Pour changer les choses, il faudrait avant tout changer les mentalités et que tout le monde comprenne que modernité ne signifie pas obligatoirement débauche. J'ai rarement vu des universitaires en mini jupe maquillées outrageusement, elles essayent justement de donner une image positive de leur culture et entendent souvent "Ah mais toi tu n'es pas comme les autres" Les femmes rurales algériennes me font souvent rire par leurs réactions qui s'il n'est pas dicté par leur culture l'est par leur instinct de combattivité. Le bouche à oreille fonctionne très bien et même si cela est fait discrètement pour éviter de s'attirer les foudres du père, des frères ou du mari, elles s'entraident, se conseillent et n'hésitent pas à demander de l'aide aux plus cultivées. La femme rurale ou la citadine sont majoritairement solidaires sur la condition de la femme algérienne même quand elles sont cachées sous des voiles que leurs maris ou pères leur a imposé. Il manque aux algériennes une femme qui les représenterait fidèlement et défendraient leurs intérêts et leurs droits même face à un Soltani ou un Belhadj. Que ce soit Toumi ou Hanoun, elles ont baissé les bras devant les pressions, menaces et avantages et ont oublié les belles promesses et les beaux discours qu'elles ont seriné.
        Dernière modification par zwina, 09 mars 2006, 10h07.
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #5
          Détrompes toi Zwina il y’a des milieux sociaux des classes sociales dans la société, mais je suis d’accord avec toi de dire les femmes algériennes subissent exactement les mêmes pressions. je ne dis pas le contraire par contre je dis qu’elles ne font pas face de la même manière ! Sans rentrer dans les détails qui démontre cette répression et discrimination que vit la femme algérienne et que tu relates très bien. Je prélèverai quelques propos et idées qui me semble pas correcte dans ta réflexion ..

          « C'est vrai que la femme rurale est encore plus sujette à la discrimination car n'ayant pas ou peu été à l'école elle ne connaît aucuns de ses droits. »
          Dans certains cas la femme rurale est plus consciente et militante que la femme urbaine, ce préjugé sur la vie rurale est faux. Il y’a des femmes et hommes travailleurs paysans ruraux qui ont une grande conscience politique, et comme on le vois bien, beaucoup de militantes qu’on connaît dans les villes dans les universités en Algérie viennent des montagnes. Quand à la question de la virginité ex .. je penses que ça doit rester une affaire privée au personnes selon leur sensibilités, je ne suis pas un Moufti pour discuter ce sujet .. les lois sont là pour protéger les personnes, et nous voulons l’abrogation du code de la famille (chose que tu n’as jamais évoquer dans ta position) pour instauré justement des lois une justice qui protége et non qui impose une certaine philosophie de vivre aux algériennes et aux algériens ! Il ne faut pas tomber dans les contradictions, soit on est pour ou contre que le code de la famille s’inspire de la religion si vous voulez négocier certaines choses et laisser d’autres selon votre attachement à tel ou tel principe je ne penses pas que c’est une solution .. Parce que vous dites par exemple la femme rurale est « encore sujette à la discrimination » à vous de nous définire cette « discrimination » et son origine ?

          « La différence entre une femme rurale et une citadine cultivée est que la seconde connaît ses droits mais pas la 1ère, mais elles subissent exactement le même harcèlement. »
          encore une fois je ne comprends pas pourquoi qualifier la femme rurale de non cultivée j’ai vécu en ville et j’ai connu de vraies ignorantes ! et j’ai connu dans des villages perdu d’Algérie des femmes super intelligentes. même la femme rurale qui n’a pas été à l’école a une certaine culture acquit dans son environnement sociale. Donc pour changer les choses, il faut changer avant tout les mentalités mais pour changer les mentalités que faut-il faire la question se pose ! Moi j’ai exposé mon avis, c’est dans le travail dans l’organisation dans les lycées les universités dans tous les milieux de travail que cette culture de combativité doit être diffuser entre les femmes et les hommes aussi ! Vous ne pouvez pas peut être mesurer l’impact que peut avoir par exemple une simple petite réunion de jeunes filles qui font de la couture dans un centre culturel d’une commune rurale ! c’est là le vrai départ d’une conscience politique la discussion le débat libre sur leur situation sans verser dans la polémique improductive sur des thèmes qui sont loin de la vie de la situation réelle de la femme en algérie ?
          Dernière modification par postra, 09 mars 2006, 16h58.
          Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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          • #6
            Mari toi en algerie, avecune citadine ou rural, ensuite vient me chanter tes droits, le temps des roses est partis, elles sont plus qu exigentes et toutes cette histoire de droit n est que du leure.
            Certe il y a toujours des femmes qui sont battus, comme dans le globe, des hommes malades et rancuniers existent mais en occident.

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            • #7
              Postra

              La culture et l'intelligence sont deux choses bien différente, la culture s'acquiert alors que l'intelligence est innée.... Les militantes dont tu parles ne sont plus des rurales si elles sont à l'université et bien sur que lorsqu'elles remontent dans leurs montagnes leur visions des choses est totalement diffférent. Le milieu rural a ses traditions dites basées sur l'Islam mais en se cultivant les femmes se rendent compte que cela n'a strictement rien à voir avec l'Islam. La virginité en fait partie car cela fait des années que l'on exige la virginité aux femmes en se référant au Coran alors que dans le Coran la virginité concerne aussi bien l'homme que la femme. Des drâmes ont eu lieu à cause de cette falsification et c'est en le répétant inlassablement que l'on changera cela. Un homme ne peut exiger la virginité pour sa future épouse s'il ne l'est pas lui même et ça c'est écrit. Concernant le code de la famille, c'est toujours le même problème puisque les hommes persistent à toujours faire comme cela les arrangent au lieu de se fier aux textes ; il a pourtant été remanié mais certains continuent à les interpréter comme cela leur convient. Les discriminations que subissent les femmes sont dues à la falsification de l'interprétation de tous les textes qu'ils soit religieux ou pas.
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                zwina

                restant dans le thème de la discussion sans traîner dans des débats philosophiques sur la définition de l’intelligence la culture ex .. , parce que chacun a son idée sur ce sujet. allez pour moi la culture s’achète à notre époque et l’intelligence un terme chétif et rébarbatif ! l’intelligence n’est pas innée, ça dépend de plusieurs facteurs ex .. ! en fin tu vois c’est trop métaphysique et ça n’apporte rien au débat sur la situation des femmes en Algérie que j’aborde sérieusement pour ma part ce n’est pas du bavardage ! Quand à cette question de la virginité et encore d’autres problèmes qui se pose durement pour la femme algérienne, ils ne peuvent justement trouver une solution en d’hors de la discussion sur l’abrogation pure et simple du code de la famille. Je ne suis pas d’accord avec vous ici sur toute la ligne .. Le code de la famille n’a pas été fait par un groupe d’hommes macho comme ça seulement (comme cela les arrangent .. ) il a été bâti selon la Charia (la loi islamique) et la charia se prend dans l’ensemble dans les principes comme disent les Oulémas ! on ne peu appliqué seulement ce qui vous fait plaisir ! alors abrogation de ce code infâme .. !
                Dernière modification par postra, 11 mars 2006, 22h27.
                Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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