Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le GSPC diffuse des images d'exécutions de ses membres

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    rica,
    nous n'avons pas de grandes forêts, donc il est impossible aux terros de s'y cacher avec les moyens militaires d'aujourd'hui. Tous ces "soit disant" terros sont des mercenaires ou si tu veux des criminels payés par nos généraux Médiène, ... afin de perdurer le "soit disant" état d'urgence qui ne veut pas finir :22:

    Commentaire


    • #17
      Lounes7

      De quel endroit du monde es-tu?Pas d'Algérie?

      Commentaire


      • #18
        Je n'irais pas jusqu'aux conclusions de Lounes, mais n'empeche que c'est bizarre. Je comprends qu'il y ait des problemes dans une region montagneuse comme la Kabylie, mais le Sahara... Meme en Irak, le desert est relativement calme, l'insurrection est essentiellement urbaine.

        Commentaire


        • #19
          Andromed,
          est ce que tu te rappelle de cet émir qui avait kidnapé environ 20 touristes autrichiens dans le désert Algérien. Comment ce fait il qu'avec les moyens militaires qu'on avait, ce "soit disant" émir a réussi à se balader avec tout ce monde longtemps aux côtés des scorpions dont je t'ai parlé sans que l'on ne puisse l'arrêter :22:
          et lorsque les autorités du Niger (je crois) l'on envoyé chez nous, il n'a pas encore été jugé :22:
          à quoi on joue là Andromed

          Commentaire


          • #20
            Exactement, El Para n'a pas encore ete juge Dieu seul sait ou il se trouve.

            Commentaire


            • #21
              AAnis,
              c'est très louche tout cela, non ?

              Commentaire


              • #22
                Je n'irais pas jusqu'aux conclusions de Lounes, mais n'empeche que c'est bizarre. Je comprends qu'il y ait des problemes dans une region montagneuse comme la Kabylie, mais le Sahara... Meme en Irak, le desert est relativement calme, l'insurrection est essentiellement urbaine.
                Le desert algerien fait 3 fois la taille totale de la France.
                Et croire que c'est uniquement des dunes, c'est ni avoir jamais mis les pieds.

                Commentaire


                • #23
                  karim,
                  la question que je me pose et que toi aussi peut le faire, où se cachait ce "el para", dans le trou des scorpions

                  Commentaire


                  • #24
                    @ Karim:
                    Ok et el Para, pourquoi n'a-t-il pas ete juge depuis le temps ou est-il?

                    Commentaire


                    • #25
                      Le général Médiene l'a sûrement utilisé pour une autre mission machiavélique :22:

                      Commentaire


                      • #26
                        @ Karim:
                        Ok et el Para, pourquoi n'a-t-il pas ete juge depuis le temps ou est-il?
                        Biensur qu'il a ete juge.
                        Emprisonnement a vie.

                        Commentaire


                        • #27
                          karim,
                          voici un article trouvé sur le site: algeria-watch


                          ...Le cas de Amari Saïfi, dit « El-Para »
                          Selon les sources non vérifiables des services de sécurité algériens (DRS), citées par des centaines d'articles de la presse nationale, Amari Saïfi, alias Abou Haïdara, alias Abderrezak El-Para serait un ex-parachutiste, passé par l'école militaire de Biskra. Après le coup d'État de janvier 1992 qui a déclenché la « sale guerre » des chefs de l'armée algérienne contre la mouvance islamiste majoritaire à l'issue des élections législatives de décembre 1991 (2), il aurait déserté pour rejoindre en 1992 les GIA (Groupes islamiques armés). À la fin de 1998, il aurait ensuite rallié le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) , récemment créé par des dissidents des GIA (dont Hassan Hattab ) ; et il en serait devenu l'émir de sa « zone 5 » en 1999.
                          « El-Para » a été notamment accusé d'avoir conduit, le 4 janvier 2003, une attaque contre un convoi militaire qui s'est soldée par la mort de quarante-trois soldats. Il atteindra une certaine notoriété en Europe en 2003 avec la prise en otage dans le Sahara de trente-deux touristes européens (dont seize Allemands, dix Autrichiens, quatre Suisses, un Néerlandais et un Suédois) entre le 22 février et le 23 mars 2003. Certains de ces otages ont été libérés trois mois plus tard, tandis que les autres resteront entre les mains du groupe armé pendant six mois. El-Para aurait obtenu des autorités allemandes une rançon de 4,6 millions d'euros en échange de ces libérations.
                          Le 16 mars 2004, de façon fortuite, il a été capturé avec certains de ses hommes par le Mouvement pour la démocratie et la justice au Tchad (MDJT), un groupe d'opposition tchadien qui a alors cherché à tout prix - car il tenait à ne pas être identifié au « terrorisme islamiste » - à les remettre aux autorités algériennes. Mais celles-ci, très curieusement, n'ont rien fait pour saisir cette occasion d'appréhender et de juger celui qui était présenté depuis des mois, dans des dizaines d'articles de la presse algérienne et internationale, comme l'un des principaux responsables du GSPC (3). Finalement, c'est à l'issue de tractations entre le MDJT et les services libyens que, le 27 octobre 2004, ces derniers remettront les prisonniers aux autorités algériennes, comme en informera aussitôt un communiqué du ministère de l'Intérieur : « Dans le cadre de la coopération algéro-libyenne en matière de sécurité et de lutte antiterroriste, le dénommé Amari Saïfi, dit Abderrezak El-Para, a été extradé le mercredi 27 octobre 2004 par les autorités libyennes et remis à la police judiciaire algérienne (4). »
                          El-Para a été jugé une première fois le 25 juin 2005 par le tribunal criminel d'Alger, qui l'a condamné à la réclusion à vie pour « création d'un groupe terroriste armé ». Mais, de façon très étonnante, ce jugement a été prononcé par contumace, car El-Para a été considéré par la justice algérienne comme étant toujours « en fuite ». Alors que, depuis huit mois, il était officiellement entre les mains des autorités algériennes.
                          Même le secrétaire d'État allemand à la Sécurité, August Hanning, en visite en Algérie en janvier 2007, a renoncé à maintenir sa demande d'extradition d'Amari Saïfi. Alors que ce dernier n'avait pas encore été jugé pour l'enlèvement des touristes, il a déclaré alors : « Nous ne le réclamons plus. D'après mes informations, il est entre les mains des autorités algériennes. Il est jugé et condamné pour des actes qu'il a commis en Algérie (5). » Jusqu'à ce jour, les circonstances exactes de cette prise d'otage et les responsabilités pénales n'ont pas été établies (6).
                          Le 18 mars 2007, le même tribunal criminel d'Alger devait juger à nouveau El-Para et une fois de plus par contumace, au motif - parfaitement absurde et en totale contradiction avec le droit algérien - que « les procédures judiciaires engagées dans le cadre de cette affaire ont débuté avant qu' "El-Para" ne soit remis aux autorités algériennes et, donc, considéré comme étant en fuite (7) ». Le tribunal a confirmé qu'Amari Saïfi se trouvait entre les mains des autorités, mais il a justifié un jugement par contumace par cet argument aberrant de l'ouverture de procédures judiciaires avant son arrestation. Le procès a été encore reporté « à la prochaine session criminelle, en mai-juin 2007 ». Mais il n'aura pas lieu à cette date non plus.
                          Une fois de plus, son procès a été annoncé pour le 24 mars 2008. Il était accusé d'« appartenance à un groupe terroriste, de meurtre avec préméditation », selon l'article 87-bis, alinéas 1, 2, 4 et 5 du code pénal (8). Mais ce procès, une nouvelle fois, n'aura pas lieu. Pas plus que celui qui était prévu le 13 juillet 2008 (9). Cette mascarade judiciaire ne prouve qu'une seule chose : depuis qu'il a été détenu, en octobre 2004, par les autorités algériennes, Amari Saïfi, alias Abderrezak El-Para, doit être en droit considéré comme un « disparu », échappant de ce fait à toute procédure judiciaire reconnue en droit international. Au même titre, mais pour de tout autres raisons, que les dizaines de milliers de victimes de disparitions forcées du fait des forces de sécurité, lors de la « sale guerre » algérienne des années 1990.
                          Un scénario grotesque, répété dans le même temps à propos d'un autre « chef islamiste », Hassan Hattab...

                          Commentaire


                          • #28
                            Meme en Irak, le desert est relativement calme, l'insurrection est essentiellement urbaine.
                            Le Sahara Algérien est quand même très calme, un seul attentat en 2 ans. (Hélas très meurtrier). C'est dans le désert de certains pays voisins (qui n'ont ni les moyens financiers, ni une armée digne de ce nom pour lutter contre le terrorisme) que ça craint le plus.

                            Il serait peut être bon de mener des actions militaires dans des territoires étrangers (frappes aériennes par exemple) mais c'est pas tellement le style de notre pays.

                            Commentaire


                            • #29
                              Moi aussi je trouve bizarre la presence d'autant d'islamistes armes dans le desert. Durant la guerre de liberation, le FLN n'a jamais reussi a implenter de maquis dans la Sahara parce que contrairement aux montagnes ou on peut se camoufler, on ne peut que tres difficilement échapper aux avions de surveillance dans un desert.
                              La raison de ce manque de présence ALN dans le désert est simple: La lutte se concentait sur des objectifs ennemis qui se trouve en presque totalité dans le nord du pays.
                              Vous me direz Et le pétrole ? ... et je vous répondrai qu'une décision (intelligente) a été prise de ne pas s'attaquer au pétrole.... et même pas au pipeline (oléoduc) qui a traversé la Kabylie pour aboutir à Vgaith (Bejaia).

                              Il y a une autre raison aussi importante: La logistique des combattants dépendait de l'existence de populations qui apportaient leur soutien (surtout nourriture, gîte et renseignement).

                              Et cela n'existe pas dans le désert!
                              L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

                              Commentaire


                              • #30
                                Sérieusement les gars, si vous pensez que la seule contrainte dans l'opérationnel c'est la visibilité aérienne et que par voie de conséquence vous prétendez qu'il est impossible que des terroristes arpentent le Sahara, c'est que vous ne connaissez pas bien votre pays ( et accessoirement les procédures secrétaires sur lesquelles vous glosez).
                                Tiens, en passant, vous connaissez l'ampleur de la contrebande et des trafics en tout genre dans le sud et notamment dans les régions frontalières ?

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X