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TROIS MOIS APRÈS SON DÉPART DE L’INTÉRIEUR Zerhouni cherche des explications
Un général n'est pas fait pour donner une interview, c'est pas le président réveil toi!!
Et pourtant ! Mais bon c'est long à poster, c'est toute une conférence de presse, je te donne le lien uniquement, tu n'as qu'à cliquer dessus : Ici tu trouveras ton bonheur.
Ça te fera rappeler l’histoire de la fiche de paie. Lol
Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay
Pourquoi ce constant remaniement du gouvernement? Pour cacher quoi? La non production/productivité? Chaque fois c'est rebelotte et recommencons a zero:22:
Zerhouni a droit a une explication meme s'il etait un mauvais ministre de l'interieur...
RoboCop,laisse tomber,c'est la progéniture du GENERAL MADBOUH GENERAL OUFKIR GENERAL DLIMI GENERAL BENSLIMANE, ca a débuter avec GENERAL LYAUTEY tous ce qui se passe sur terre pour eux est fait par un géneral :géneral soleil,géneral vent;;;
Allez bon vent;
"Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."
RoboCop,laisse tomber,c'est la progéniture du GENERAL MADBOUH GENERAL OUFKIR GENERAL DLIMI GENERAL BENSLIMANE, ca a débuter avec GENERAL LYAUTEY tous ce qui se passe sur terre pour eux est fait par un géneral :géneral soleil,géneral vent;;;
Allez bon vent;
AARROU
Et pourtant c'est pas le Maroc qui est appelé le pays des généraux.
Les faits sont têtus
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"L’Algérie des généraux", de Lyes Laribi
Chronique d''un système opaque
Dans un pays vaste et extrêmement riche, l’écrasante majorité de la population subit un quotidien difficile au moment où la caste dirigeante n’arrête pas d’amasser de grosses fortunes. C’est le système politique algérien qui génère cette situation injuste et intolérable. Dans son livre, "L’Algérie des généraux", qui vient de sortir aux éditions Max Milo, Lyes Laribi tente d’expliquer cette énorme gabegie.
Déjà auteur du livre "Dans les geôles de Nezzar", publié il y a quelques années à Paris, Lyes Laribi survole l’histoire récente de l’Algérie pour décrire un pays encore "incarcéré" par les militaires. Préfacé par Ghazi Hidouci, ancien ministre sous le gouvernement de Mouloud Hamrouche, "L’Algérie des généraux" est une lecture agréable ; avec des mots souvent simples, on arrive à saisir le drame qui continue à se jouer au pays de Kateb Yacine. Car, il faut le redire, l’auteur inspiré de "Nedjma", avait, le premier, dès le début des années 60, compris que les militaires algériens n’étaient pas porteurs d’un projet de société valable.
En se servant de certains événements-phares, Lyes Laribi apporte, parfois, des synthèses peu connues (comme ces lectures de l’avènement de la nébuleuse islamiste) qui aideront les analystes et les historiens à faire la lumière sur un régime presque opaque. En annexe du livre, l’auteur donne le tableau des nominations des généraux algériens depuis 1964 mais il manque surtout celles concernant le DRS (le Département du renseignement et de la sécurité, héritier de l’ancienne Sécurité militaire). C’est pourtant ce département qui est le cœur du pouvoir en Algérie.
"(...) en tant que jeune issu de cette génération de l’indépendance, j’ai jugé essentiel de comprendre comment une révolution aussi prestigieuse que la nôtre a pu engendrer, quelques décennies plus tard, des monstres qui font payer à notre peuple un tribut en vies humaines digne d’une guerre coloniale", écrit lucidement Lyes Laribi. Mais l’Algérie finira, tôt ou tard, par renaître ; les monstres ne sont pas éternels...
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