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L'Algérie ne compte aucune base étrangère sur son sol

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  • #31
    Je ne suis pas comme toi moi, j'ai toujours assumé la vérité et c'est ce que j'apprécie le plus quitte a ce que cela soit rabaissant, meme si ca devait concerner ma propre region.

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    • #32
      Comme si les responsables algériens étaient plus crédible que les américains Pas bien de critiquer son protecteur!!

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      • #33
        Je ne suis pas comme toi moi, j'ai toujours assumé la vérité et c'est ce que j'apprécie le plus quitte a ce que cela soit rabaissant, meme si ca devait concerner ma propre region.Tu me connais pour savoir ce qui me plait ou pas?

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        • #34
          Non et tu donne pas envie de te découvrir.

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          • #35
            "
            Comme si les responsables algériens étaient plus crédible que les américains
            Bien sur qu'ils vont vous dire noooooon l'algerie n'a pas de base, puisque c'est ce qu'ils veulent faire croire au peuple.


            Ok, d'accord, on va te croire, puisqu"avec frimija, vous êtes les nouveaux spécialistes du forum.
            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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            • #36
              "
              Non et tu donne pas envie de te découvrir. "

              Tu n'as pas intérêt, puisque tu ne découvriras que ce que tout homme posséde à sa naissance !!!!!!!!!!!!
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • #37
                Le commandant Emanuel Damink. Ancien des renseignements sud-africains sous le régime de l’apartheid, il a la charge du recrutement et de la collecte des renseignements sur les réseaux islamistes dans le monde. Entre autres missions, il a lui-même assuré l’évacuation vers les États-Unis de pièces d’équipements nucléaires entreposées par l’Irak sur le sol algérien. Ce transfert était une condition impérative au maintien des bonnes relations entre Alger et Washington.
                excellent article!! ca me rappelle le coup de la fiole du générale powel a l'ONU ca mérite le Pullitzer pour ces révélations

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                • #38
                  Le commandant Emanuel Damink. Ancien des renseignements sud-africains sous le régime de l’apartheid, il a la charge du recrutement et de la collecte des renseignements sur les réseaux islamistes dans le monde. Entre autres missions, il a lui-même assuré l’évacuation vers les États-Unis de pièces d’équipements nucléaires entreposées par l’Irak sur le sol algérien. Ce transfert était une condition impérative au maintien des bonnes relations entre Alger et Washington.

                  Le capitaine Stefan Desmond. Ancien officier du contre-espionnage sud-africain. Expert en armes chimiques et en explosifs, il aurait supervisé le largage de gaz de combat sur des maquis islamistes en Algérie. Chargé de la sécurité intérieure d’Executive Outcomes, on le présente aussi comme un spécialiste de la torture dite « scientifique. » Les Français ont quelques raisons de lui en vouloir car il a monté des mises en scène macabres de prétendus charniers de l’armée française. Les squelettes, supposés remonter à l’époque coloniale, avaient les mains attachées dans le dos par du fil de fer. Étrangement, et en dépit des années, aucune piqûre de rouille ne marquait le métal. Desmond est très proche du colonel Othman Tartag, dit Bachir, le chef du CPMI (3) et successeur à ce poste du général Kamel Abderrahamane (voir plus haut). Très brun et les cheveux frisés, Desmond se fait passer pour un Égyptien quand il doit se fondre dans l’environnement.

                  Le commandant Uri Barsony. Il met en valeur une autre facette de la politique algérienne: les liens tissés entre Alger et les Israéliens. Si Barsony est un ancien officier supérieur sud-africain, il a aussi la nationalité israélienne. Il supervise l’entraînement des hommes d’Executive Outcomes et celui des Forces spéciales algériennes à Biskra. Mais, surtout, c’est lui qui effectue les achats d’armement sur le marché israélien, en particulier les lunettes de vision nocturne, autrefois fournies par les Français, et le napalm, plusieurs fois utilisé dans les montagnes de Kabylie. Barsony travaille en étroites relations avec le Shin Beth, le contre-espionnage israélien. Il s’est rendu à de nombreuses reprises, afin d’y enquêter, sur l’île de Jerba (Tunisie), après l’attentat commis contre la synagogue (avril 2001, 21 morts).
                  Je n'ai rien compris à cette histoire, c'est une société privée qui recrute des mercenaires en AFS ou quoi, les USA n'arrivent plus à recruter dans les rangs des ricains pour cette mission d'écoute ?
                  Bref, un centre d'écoute qui est repéré par des journalistes, vous dites, en fait ils sont tellement banalisés, qu'on les prendra pour des sociétés ou des institutions... Sauf si quelqu'un de l'intérieur du centre crachera le morceau, à ce moment le diagnostic tombera sur les fax de la presse, qu'il s'agit d'un simple salarié qui a pété les plombs et de ce fait, il a été interné pour des soins psychiatriques.
                  Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                  • #39
                    pour ce qui est des bases américaines en algérie, il ne faut se cacher la vérité: oui ca existe, à alger, hussein-dey, le champs vert était, il n'y a pas si longtemps occupé par des soldats américains. tout le monde le sait sauf qu'on ne veut l'annoncer tr;es haut. on a peur de la réaction de la rue algérienne.

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                    • #40
                      le champs vert était, il n'y a pas si longtemps occupé par des soldats américains.
                      Il se trouve où ce champ vert ?
                      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                      • #41
                        a hussein-dey, alger

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                        • #42
                          a hussein-dey, alger
                          En face de l'hôpital Parnet c'est bien ça, mais c'est une école qui forme les paramédicaux, juste à coté sur l'autre face, c'est la police : Unité Républicaine de Sécurité (URS), on les appelle communément "les casques bleus" à Alger. Les autres bâtisses en majorité appartiennent aux particuliers, d'ailleurs il y a beaucoup de maisons (villas) dans ce coin.
                          Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                          • #43
                            Perso, je ne crois pas à l'existence d'une base américaine dans le Sahara. Ce n'est pas parceque le "Canard Enchaîné" le dit que c'est forcément vrai. Le Canard prétend que 400 agents de la NSA travaillent dans la base, ce qui signifie que la base est vraiment grande. Or, aucune photo de la base n'existe, et aucun journaliste américain et aucun actuel ou ex officiel Américain n'en a parlé. A ce stade, ce ne sont que des rumeurs non crédibles. Si la base existait réellement, les terroristes d'Al-Qaida l'auraient certainement photographiée et auraient utilisés les photos pour leur propagande djihadiste.

                            Certes, il y a eu des exercices conjoints entre forces spéciales algériennes et américaines au Sahara mais cela ne signifie absolument pas que les Américains ont une base permanente au Sahara.

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                            • #44
                              Le Canard prétend que 400 agents de la NSA travaillent dans la base
                              Tout à fait nassim,
                              je l'ai déjà dit, 400 c'est l'effectif d'un bataillon.
                              Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                              • #45
                                Citation:
                                a hussein-dey, alger

                                En face de l'hôpital Parnet c'est bien ça, mais c'est une école qui forme les paramédicaux, juste à coté sur l'autre face, c'est la police : Unité Républicaine de Sécurité (URS), on les appelle communément "les casques bleus" à Alger. Les autres bâtisses en majorité appartiennent aux particuliers, d'ailleurs il y a beaucoup de maisons (villas) dans ce coin.
                                ah oui j'ai oublié de te dire c'était dans les années 40.

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