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le président Bouteflika maintient un silence incompréhensible

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  • le président Bouteflika maintient un silence incompréhensible

    Dans aucun autre pays au monde, un tel cas de figure n’est imaginable. L’Algérie est sérieusement secouée, l’embrasement est un risque bien réel, l’insécurité règne et son chef de l’Etat, premier responsable de la sécurité des personnes et des biens, l’homme que la situation interpelle directement et en premier lieu, Bouteflika donc se mure dans un silence troublant. Aucune apparition publique, pas la moindre déclaration sur la situation. Ce qui alimente naturellement les plus folles rumeurs. « Il est en Suisse », affirment les uns, « il est gravement malade », croient savoir d’autres. Or, nous confie une source proche de son entourage, « le président est bien sûr ici en Algérie. Il suit la situation d’heure en heure à travers une cellule de crise restreinte installée au niveau de la présidence », refusant toutefois de nous dévoiler la composante de cette cellule. Et pourquoi alors ne se manifeste-t-il pas ? « Eh bien c’est mal le connaître ! » réplique notre interlocuteur. « Le président a un principe immuable : jamais il n’agit sous la pression. Cela a toujours été le cas depuis 1999. »
    Pour le moment, Bouteflika s’est contenté en effet d’envoyer sur le front le ministre du Commerce auquel a succédé depuis samedi le ministre de l’Intérieur. Et pour toute décision, il ordonne la tenue d’un conseil interministériel, celui tenue samedi, sciemment contenu dans le seul volet « technique » de la chose, « les prix des produits de large consommation ». Pas plus. Aucune réponse politique à la mesure de la gravité de la situation en Algérie. A l’évidence, Bouteflika ne veut pas donner l’impression d’être concerné par la contestation. « Il ne faut pas s’attendre à des décisions spectaculaires », nous affirme également notre source, faisant allusion aux rumeurs liées au changement du gouvernement. Mais s’exprimera-t-il sur la situation ?
    D’après le Soir d’Algérie
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    que nenni !walou!rien!nada vous ne le verrez pas a moins d'une autre visite officiel de l'etranger
    PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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    • #3
      C'est la politique de El Mouradia. C'était comme ca aussi quand il y avait la guéguerre avec l'Egypte, aucun mot, silence de mort. Cela ne veut pas dire qu'ils ne font rien, ils travaillent pour trouver des décisions qui les arrangent et jettent des bonbons pour calmer le peuple, comme ils ont fait en envoyant les supporters à Khartoum et aujourd'hui en baissant les prix de l'huile et du sucre.

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      • #4
        Bouteflika est presque mort, il est comme Sharon, maintenu en vie.
        «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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        • #5
          le président Bouteflika maintient un silence incompréhensible


          Bouteflika c'est beetlejuice, les généraux ne le sortent que pour serrer les mimines des dirigeants étrangers par contre pour son peuple il répond toujours aux abonnés absents !?:22:

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          • #6
            le président Bouteflika maintient un silence incompréhensible
            C'est comprhensible dans la mesure où il ne peut pas s'adresser aux clans rivaux.
            si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps

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            • #7
              @ADNA : Quand il y'a des morts, le président doit parler.
              «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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              • #8
                Bouteflika a toujours méprisé le peuple algérien.
                "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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                • #9
                  S'addresser à la nation est quelque part accepter de se faire forcer la

                  main par le peuple .

                  et cela Son Nif ne lui permet pas . !!!!!
                  ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                  On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                  • #10
                    Bouteflika c'est beetlejuice, les généraux ne le sortent que pour serrer les mimines des dirigeants étrangers par contre pour son peuple il répond toujours aux abonnés absents !?

                    Roumi
                    J'aime bien comment les marocains comme aiment jouir de notre liberte d'expression pour critiquer nos dirigeants alors qu'ils ne peuvent jamais se permettre de faire de meme pour leur narcotrafiquant de roitelet.

                    Applaventrisme, quand tu nous tiens.

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                    • #11
                      Un article crédible qui parle d'une autre thése qui justifie le refus de Boutef à s'exprimer.

                      Abdelaziz Bouteflika dit non aux généraux

                      Soumis ces derniers jours à une pression énorme de la part des généraux, le président algérien s’est muré dans un étrange silence au Palais d’El Mouradia.
                      Sérieusement amoindri par la maladie qui le ronge, Abdelaziz Bouteflika n’a pas répondu aux injonctions de l’armée qui lui a demandé de prendre la parole afin d’apaiser les Algériens après les émeutes qui ont ensanglanté les rues d’Alger, d’Oran et de Blida. C’est le général-major Abdelamalek Guenaïzia qui aurait rendu visite au président pour le convaincre de s’adresser au peule à la télévision. D’après des sources proches de la présidence, ce dernier a tout simplement éconduit son ministre délégué à la Défense. Bouteflika aurait dit à son interlocuteur que c’est à ceux qui ont décidé d’augmenter le prix des denrées alimentaires d’aller affronter le peuple. S’ensuivit alors un bras de fer avec la primature. Devant le refus du président de parler, les militaires ont conseillé au premier ministre Ahmed Ouyahya de garder profil bas afin de sauvegarder son image de présidentiable.

                      Du coup, c’est Dahou Ould Kablia qui a été sacrifié, puisque c’est lui qui est monté en première ligne pour défendre l’action du gouvernement. Toujours d’après nos sources à Alger, Abdelaziz Bouteflika, certes malade mais toujours affûté, a flairé un traquenard quand on lui a demandé de faire son discours. Il redoutait d’apparaître malade et affaibli. En plus, certains généraux à la retraite qui ne portent pas particulièrement le patron du DRS dans leurs cœurs, ont alerté Bouteflika sur d’éventuelles manifestations qui pourraient être déclenchées juste après son apparition à la télévision. Ce qui aurait donné un alibi aux détracteurs du président pour écourter son mandat.
                      «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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                      • #12
                        @berberousse

                        tu sais, le chameau et sa bosse !

                        ....la caravane passe...

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                        • #13
                          bouteflika n'est pas un démocrate et méprise le peuple algérien.

                          pour lui ce peuple de mineurs ne vaut pas la peine .

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                          • #14
                            par contre ses voisins sont tout le contraire...

                            et en France, la constitution europeenne est installee de force, malgre le refus net des electeurs

                            avec une assemblee nationale de 577 sieges garantie sans indigenes a 100%, pas un seul maghrebin, pas un seul, alors quils representent 10% des citoyens

                            gallou...democrate...mepris...mineurs...

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                            • #15
                              des morts causés par une vague de mimétisme c'est ce qui est le plus triste dans cette histoire, il y avait rien de sérieux dans ces emeutes et tous ceux qui s'attendaient à un soulèvement populaire s’aperçoivent qu'ils ont eu tord... et toutes ces emeutes se sont soldé par 4 morts (allah yar7amhoum), un societé civile complètement absente, un pouvoir afaibli par la mafia des grossistes et un peuple méprisé ...

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