Ps: Devinette à 1 DA: Qui est derrière Afia ? (Huilerie installée à Oran..)
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Benbada descend en flammes Rebrab
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Mister hassa2006 !
Ce que je suis en train de critiquer, ne vise pas principalement REBRAB en personne, qui lui au moins a réussi à réinvestir son argent dans l'industrie en Algérie (contrairement à d'autres qui investissent dans l'import-import et/ou à l'étranger).
Mais, je critique bel et bien le système de clans corrompus qui tirent les ficelles pour leurs propres intérêts, et qui ont réussi à recréer les monopoles (barons) avec les risques afférents, et tout faire pourrir jusqu'au bas de l'échelle. Et çà tu ne peux aussi le nier.
Pour une économie dynamique, saine et forte, il faut :
- détruire, , et la corruption et les corrompus, et les passes-droits, et,
- définir des règles claires et simples d'une concurrence loyale et valable pour tous pour éviter les risques inhérents aux situations de monopole, comme :
- maximiser les profits sans se soucier de la qualité de ce qui est produit,
- réduire son offre de produit pour vendre à un prix encore plus élevé et mettre en danger la santé et la stabilité d'un pays.
Dans une situation de concurrence loyale, tous les producteurs subissent les mêmes régles communes, et sont tout le temps obligés d'innover et de réduire leurs couts pour défendre leurs positions sur le marché.Dernière modification par absent, 09 février 2011, 22h35.
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- Rebrab l'a maintes fois répété, ce qui l'intéresse c'est avant tout l'export et que s'il y a quelqu'un qui veut prendre le marché local, il sera le bienvenu. Quote.
My foot.
Qu'il applaudit les pontes pour qui roulent et nous laissent tranquilles.Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.
J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.
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Quand on voit comment on traite les gens qui decident de creer des richesses et d'investir en Algerie on se demande si ils ne feraient pas mieux d'aller sous d'autres cieux...
Quand tu veux acheter un operateur téléphonique, ou une compagnie aérienne, ce n’est pas la création de richesse que tu cherche, mais plutôt ta propre richesse et a n’importe quel prix.
on se demande si ils ne feraient pas mieux d'aller sous d'autres cieux...
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@ELBIEROI
il fait travailler des algeriens..
il paye des impots...
l'argent gagné est reinvesti en algerie...
il fait rentrer des devises en algerie ce qui reste exceptionnel..
que veux tu en plus ????« Puis-je rendre ma vie
Semblable à une flûte de roseau
Simple et droite
Et toute remplie de musique »
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il fait travailler des algeriens..
il paye des impots...
l'argent gagné est reinvesti en algerie...
il fait rentrer des devises en algerie ce qui reste exceptionnel..
que veux tu en plus ????Ne le dites surtout a personne ! En Algerie , on refait les meme infrastructures de base ( routes , trottoirs , egouts , abris-bus etc ) a longueur d'année .
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Rebrab est en train de commettre la même erreur que Khalifa en s'immisçant dans la politique. Le système ne s'intéresse pas à la façon qu'elle soit licite ou illicite avec laquelle Rebrab a fait son argent. Mais dés qu'un businessman essaye d'instrumentaliser sa richesse pour la convertir en influence politique et pire s'attaquer au président et son clan, ça devient une autre affaire.
Rebrab est un homme intelligent et c'est dommage qu'il ait pris cette route. Vraiment dommage pour lui et pour le business en Algerie qu'il se soit permis de devenir partie prenante dans les guerres internecines du monde politique algerien. Il risque de finir comme Khalifa!
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Maintenant il veut casser les prix pour éliminer la concurrence, une fois seul sur le marche, il impose son prix à lui et puis c'est les émeutes. C'est du dumping et cela cause l'instabilité sociale. Il faut trouver des solutions pour cela. Les mesures anti-trust c'est fait en ce sens qui est d'éviter d'aboutir à des monopoles et tout ce qu'il en résulte.Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.
J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.
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La guerre entre l'expression et Rebrab est aussi vieille que nena Heda.
Voici un extrait d'une série d'articles assimilés plus à un véritable tir de barrage, déclenché à la suite de la chute de Khalifa. Un clan venait de perdre et les hyènes se sont précipité pour achever le cadavre et manger une tranche.
Comment vivre au-dessus de la loi
27 Avril 2003
Observateurs, simples citoyens et politiques ont, sans doute, été étonnés de voir l’un des hommes les plus riches d’Algérie raconter comment il a bâti sa fortune...
Sans s’en rendre compte, peut-être, l’homme d’affaires Issaâd Rebrab a révélé tous les manquements, pour ne pas dire délits, commis par lui afin de devenir le puissant homme d’affaires qu’il est actuellement. Cela «s’est passé» dans les colonnes du quotidien El-Khabar dans le cadre de sa rubrique «Petit Déjeuner». Cet homme, ancien comptable, parti de rien, raconte sans tabous ni faux-fuyants de quelle manière il a pu se hisser au sommet d’un véritable empire économique cristallisé autour de «25 entreprises» de première importance dans le pays alors que «15 autres sont en préparation», selon lui.
Issaâd Rebrab, qui admet implicitement que «le grand démarrage» a été rendu possible grâce au commerce du rond à béton, n’hésite pas à révéler avoir «changé des devises sur le marché parallèle» en 91 afin de pouvoir poursuivre son commerce. Cela se passait, est-il besoin de le rappeler, au moment où notre pays traversait une crise financière critique et était confronté à un véritable goulot d’étranglement. Rebrab, ce disant, a beau souligner, en bon capitaine des finances selon l’image qu’il tente de refléter, n’avoir pas de gêne à faire cet aveu, ce dernier n’en demeure pas moins d’une gravité extrême. Nul n’étant censé ignorer la loi, et surtout pas un homme de sa trempe, il aurait dû savoir que les codes pénal et de commerce prévoient des sanctions très lourdes par rapport à ce genre de commerces illicites représentant de véritables «crimes économiques». Etant lui-même passé aux aveux, ce qui constitue aux yeux de la justice la plus parfaite des preuves, Issaâd Rebrab sera passible de poursuites judiciaires si le parquet s’autosaisit de cette affaire comme le lui confère la loi. Rebrab reste discret sur le nombre de lignes de crédit obtenues par lui, mais aussi sur leur remboursement ou pas. Il ne dit pas non plus que durant l’été de cette même année, selon de nombreux témoignages concordants, sous le règne de Sid-Ahmed Ghozali, il a obtenu la bagatelle de 260 millions de dollars pour importer du rond à béton alors que le pays traversait une crise financière aiguë et n’avait même pas de quoi financer l’achat des médicaments et de la nourriture nécessaires aux populations. Un pareil accord, dit-on, d’ordre politico-économique, cherchait à s’assurer l’alliance d’un certain parti politique contre le FFS en Kabylie à la veille des législatives de décembre 91 et janvier 92.
Le FIS a reçu la bagatelle de 600 millions
Mais il est vrai aussi que tout le monde se demandait hier ce qui poussait cet homme d’affaires à s’exprimer de la sorte et si c’est là le début de la fin pour lui ou bien un nouveau défi lancé aux autorités pour asseoir publiquement et beaucoup plus son pouvoir dans notre pays. Sinon, comment expliquer le fait qu’il ait poussé les «aveux» plus loin encore en révélant tout bonnement avoir cherché (et réussi) à échapper aux services des impôts. Ce n’est pas tout. Tant s’en faut. Rebrab, qui «dédouane» le patron du RCD de toute intervention dans cette affaire (la chose restant à prouver puisque beaucoup de sources indiquent tout à fait le contraire et se montrent même prêtes à témoigner en cas de besoin), n’en reconnaît pas moins avoir été reçu par un puissant général afin de régler ses tracas d’impôts. Comme par enchantement, les 200 milliards qu’il devait au fisc se sont transformés en la bagatelle de...8 milliards. Mieux, une décision vieille de deux ans a tout simplement effacé définitivement cette ardoise, «imposant» (une fois n’étant pas coutume Dieu merci !) à la direction des impôts de rembourser tout ce que cet homme d’affaires lui avait déjà versé. Du jamais-vu ! Qui plus est, révélé sur la place publique. Les généraux algériens, maintes fois attaqués, ne l’ont jamais été de cette manière aussi sournoise, insidieuse... Une pareille «intervention» ne sous-entend rien moins que ces personnes s’adonneraient aux affaires alors que la chose a été de tout temps démentie par eux, du moins tant qu’ils sont actifs. Rebrab, quoique trônant à la tête d’un journal défendant des opinions et, à l’occasion des idées politiques, refuse ostensiblement d’être qualifié d’homme politique. Ce véritable «devin», qui prévoyait la chute du Groupe Khalifa depuis deux années déjà, a cherché à fuir certains sujets politiques gênants. Cela est notamment le cas du financement du terrorisme. Rebrab, qui avait une usine à Larbaâ, un des fiefs des terroristes, a reconnu avoir versé de l’argent, mais «uniquement à une APC tenue par le FIS». Ce demi-aveu en appelait forcément d’autres, mais Rebrab s’est gardé de s’étaler sur des sujets qui semblent le gêner au plus haut point et dont il craint la résurgence sur son présent et son avenir. C’est notamment le cas, pour cet homme qui a décidément une bien curieuse manière de ne pas faire de politique, de la terrible marche du 14 juin 2001.
Comment faire dérailler le «train» de l’histoire...
Issaâd Rebrab, en effet, reconnaît avoir financé le transport par train des manifestants venus de Béjaïa. C’est d’autant plus étonnant et curieux venant de quelqu’un qui prétend ne pas faire de politique, que beaucoup de rumeurs prédisaient que les choses allaient dégénérer lors de cette gigantesque marche. Rebrab va encore plus loin dans ses interminables aveux en indiquant qu’une fois l’affaire éventée par voie de presse, il a simplement pris attache avec la société qui avait transporté les manifestants pour récupérer son chèque et payer en monnaie sonnante et trébuchante. Le but étant, comme de juste, de ne pas laisser de traces écrites le jour où le «train» de l’histoire commencera à rattraper chacun afin de lui demander des comptes. Rebrab donne également l’air d’avoir des trous de mémoire à propos du financement du Rassemblement national républicain en 93. Il admet, certes, l’avoir fait, mais indique n’avoir guère souvenance des sommes d’argent qu’il y a consacrées.
L’affaire Savola, censée ne le concerner ni de près ni de loin, a, elle aussi, transité par lui de manière plus ou moins indirecte. Ce contrat de 600 millions de dollars, qui devait sauver l’Encg avec l’aide des Saoudiens propriétaires de Savola, était mal vu par Rebrab qui y voyait le danger d’un monopole de fait sur les huiles et les corps gras en Algérie. Consulté en tant qu’expert par un haut responsable de l’Ugta dont il s’est refusé à donner le nom, Rebrab indique avoir «contribué à faire avorter ce contrat» qu’auraient encouragé «des cercles proches de la présidence de la République». A cette époque, 2000, une vaste campagne de presse avait contribué à faire fuir ces investisseurs. Elle annonçait, en quelque sorte, une autre campagne, qui a visé, celle-là, d’autres investisseurs arabes spécialisés, ceux-là, dans la téléphonie mobile.
En termes de contradictions flagrantes, l’homme d’affaires algérien affirme que dans le domaine de la presse, avant toute aventure intellectuelle, il n’a guère cherché les gains matériels. Cela avant d’ajouter plus loin ne pas chercher à lancer de chaîne de télévision à cause du manque de rentabilité de celle-ci et, mieux encore, ne jamais investir dans quoi que ce soit sans en assurer la rentabilité certaine.
Pour ce qui est de l’affaire l’opposant à l’actuel directeur de ce quotidien, force nous est de demeurer en retrait afin de laisser les magistrats agir en toute sérénité sans chercher à faire pression indirectement sur eux en rappelant, de nouveau, les lamentables circonstances liées à cette sombre question. Nous osons espérer quand même que cet homme d’affaires, qui en a déjà montré les capacités et les compétences, n’ira pas frapper aux portes des mêmes institutions qui l’auraient aidé dans ses «impôts» pour faire céder la justice en sa faveur...
L'expression
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