Mr gorge profonde s'y met aussi, la pilule de 2004 n'est vraiment pas passée...
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Entretien avec Mohamed Chafik Mesbah. "s'ils pressentent une situation de chaos, fatal au pays..."
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Mesbah la voix du DRS?
on ne sait plus qui est qui, qui travaille pour qui..
A lire ce Mesbah, il semble etre honnête et bien articulé...
et ce n'est pas vrai que dans la transition à 7 points qu'il propose, il donne le pouvoir à l'armée. Il ne fait que proposer qu'elle soit la garante du bon déroulement des choses. Qui aurait-il pu proposer d'autre pour cette fonction?ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
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Tous les Algériens qui ont passé leur service militaire, sont des agents du DRS infiltrés, il suffit de parler d'armée pour en être un membre même.
Ce sont ces mêmes arguments de parano qui ont pendant des années défendus la thèse que bouteflika n'était au courant de rien et que ses ministres complotaient autour de lui, il a d'ailleurs surfé sur cette vague pour insulter ses ministres sur el yatima tv, et pour ensuite faire aveux d'échec en accusant ceux qui l'entourent, un peu à la ben ali, la seule différence est que ben ali après ça est parti, et que bouteflika malgré ça est resté, et n'a rien changé.
Aujourd'hui on peut tout supposer sur la grande muette, il suffit de se lancer dans un discours que personne ne peut vérifier, et on en fait une vérité, un peu à la maghreb intelligence.
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Outre l'analyse de ce monsieur, j'aimerais attirer l'attention sur une chose, que peu de monde ( peut-être !) ne se souvienne :
En 2003, Bush, ne savant que faire de sa médiocre présidence, lance une guerre de conquête sur l'irak (sous un faux prétexte que le pays fabriquerait en secret des armes de destruction massive). La guerre fut technologique et terrible à la fois. Les forces irakiennes, confrontés à une large coalition internationale, se délitent rapidement. Une fois vaincus sur les périphéries, notamment à Basra (Bassora), la voie était ouverte pour une avancée rapide vers la capitale, Baghdad...
La Garde Républicaine, composée d'unités d'élite de l'armée irakienne, entourait la vie et attendaient leur engagement face aux troupes d'invasion. La Garde Républicaine était équipée des meilleurs armements dont le pays disposait, notamment de puissants canons Sud-Africain et Autrichiens, qui surclassaient l'artillerie américaine. Les troupes irakiennes étaient nombreuses autour de la capitale et Saddam avait fait distribuer des armes à certains irakiens pour aider à la défense de la Capitale.
Le monde entier s'attendait à une bataille rude, longue et par conséquent sanglante...
Quelques escarmouches eurent lieux, puis la ville fut conquise sans grandes batailles, ni presque rien de l'enfer qui était annoncé ! (On a tout de même vu quelques duels de chars ou les mastodontes américains terrassaient avec une facilité déconcertante les chars T-72 modernisés de l'armée irakienne... On a vu aussi des helicos Apaches abattus, comme le ministre de l'information irakien disait, avec un simple fusille de chasse !), enfin bref, quelques escarmouches mais rien de grandes batailles comme l'Histoire en avait connu dans de telles cas !
Pourquoi ?
Pourquoi Baghdad s'effondra aussi rapidement et presque sans combattre ?
.......
Réponse : La Corruption !
Les Généraux qui commandaient la Garde Républicaine avaient monnayés leur réédition et leurs unités. Les américains, tranquiles, n'ont eu à prendre la ville, quasiment sans combattre, seulement en distribuant qualques millions de dollars à des gens qu'ils savaient corrompus jusqu'à l'os !
Voilà jusqu'où peut mener la corruption dans un pays, chez certains hommes ! Ils livrèrent leur pays, leur armée, leur ville, leur honneur, juste en échange de quelques dollars...
La Corruption est un danger grave pour un pays, elle l'affaiblie, le grève de compétences précieuses et au final le met à genou face à ceux qui veulent sa perte...
Une leçon à ne jamais oublier !
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Pour te complèter TOLKIEN..........
Aux côtés de 6 000 volontaires de différents pays arabes, les Algériens sont à l’origine de faits d’armes et de pertes subies par les GI’s à l’aéroport Saddam international de Bagdad, au palais présidentiel El Kout et sur le pont du même nom. Les témoignages attestent que les troupes de Saddam Hussein étaient totalement démobilisées et désorganisées lors des premières attaques terrestres et aériennes américaines dans la banlieue de la capitale. Celles-ci avaient abandonné leurs positions et leurs armes pour fuir, laissant les volontaires arabes seuls face aux agresseurs.
Samedi dernier, bon nombre d’entre eux ont réussi à atteindre la capitale syrienne pour tenter de rejoindre Alger. Les récits de leurs péripéties à travers les routes et les campagnes, de Bagdad à la frontière syrienne, mettent en relief les assassinats perpétrés sur des volontaires arabes par les Américains. Interceptés par ces derniers, alors qu’ils n’avaient opposé aucune résistance, cinq Yéménites et trois Algériens ont été mis à genoux avant d’être froidement exécutés.
Pieds et poings liés
Leurs récits confirment que la Garde républicaine à Bagdad était déjà défaite bien avant l’arrivée des GI’s dans la capitale, comme ils confirment également que plusieurs officiers irakiens et officiels du gouvernement s’étaient préparés à cette défaite en faisant traverser la frontière irakienne à destination de la Syrie à leurs familles. Pour ces volontaires, l’armée irakienne a commis l’une des plus grandes trahisons qu’ait connue le monde arabe. Alors qu’ils combattaient les forces américaines, les volontaires arabes auraient été pris à revers par des militaires et civils irakiens.
Faits prisonniers, nombre d’entre eux ont été livrés pieds et poings liés aux Américains en contrepartie de récompenses offertes sur un barème préalablement établi : 2 500 dollars pour la capture d’un volontaire algérien, 1 500 dollars pour un Syrien et 1 000 dollars pour les autres nationalités (Jordaniens, Libanais, Yéménites, Soudanais, Libyens, Tunisiens). Ce barème aurait été établi en fonction de la dangerosité que représentent les uns et les autres pour les troupes américaines.
Trahison irakienne
Toujours à la pointe des combats en tant que chair à canon, les Algériens ont fait parler d’eux lors de la bataille de l’aéroport Saddam international. Ils ont repoussé les GI’s avant de les encercler le samedi 5 avril. Dans la nuit, ils se sont infiltrés dans leurs rangs et ont passé au le fil de leur baïonnette une cinquantaine d’entre eux. Deux jours après, les volontaires algériens ont été confrontés à des tirs de kalachnikovs et à un bombardement intensif de leurs positions par des éléments de la Garde républicaine irakienne.
Des témoignages recueillis auprès d’autres volontaires, notamment syriens et jordaniens, confirment ces faits. Menouar A., Syrien, marié, père d’un enfant et propriétaire d’un restaurant à Damas, a " tout abandonné pour répondre à l’appel du devoir ". " Aux côtés de nombreux compagnons algériens, j’ai participé à des combats contre les Américains. Des militaires irakiens nous ont pris à revers et ont tiré sur nous. J’ai vu tomber un des Algériens, Abdelghani Aïssaoui, natif de la région de Constantine. J’ai eu le temps de récupérer ses papiers pour les remettre à l’un de ses compatriotes. Face à cette traîtrise, j’ai su qu’il n’y avait plus rien à faire, d’autant que les militaires irakiens avaient refusé de tirer une seule balle ", raconte-t-il.
Abdelmadjid T., un Algérien, se souvient : " Je suis un simple salarié venu pour combattre aux côtés des Irakiens l’agresseur américano-britannique. Finalement, ils nous ont trahis. Je regrette beaucoup d’être venu car les Irakiens avaient d’autres soucis que de défendre leur pays ". Quant à Abbou Abas Adnène, venu d’Algérie, il affirme : " Nous avons été contraints de laisser tomber car la trahison était partout. Nous n’avions pas pour ennemi seulement les Américains mais aussi les militaires irakiens. Avec des Algériens et des Yéménites, nous avons été interceptés par une troupe mobile américaine. Huit d’entre nous, qui s’étaient rendus, ont été exécutés sur place. Nous avons réussi par la suite à nous replier ".
Par A. Djabali
Irak : De notre envoyé spécial
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A supposer, contre toute attente, que le Président de la République décidait d’entamer la transition démocratique, quel pourrait être le programme à mettre en œuvre ?
Un programme des plus classiques :
1. Mise en place d’un gouvernement de transition;
2. Mise en place d’une commission nationale indépendante de révision de la constitution ;
3. Organisation d’élections législatives anticipées dans un délai de six mois ;
4. Ouverture immédiate du champ politique et médiatique ;
5. Organisation d’une élection présidentielle anticipée dans un délai de douze mois;
6. Ouverture de procédures judiciaires contre les personnalités impliquées dans des affaires de grande corruption ;
7. Exercice par l’institution militaire, dans des conditions à déterminer, d’un rôle de garant de la transition démocratique.
La révision constitutionnelle envisagée porterait, notamment, sur la limitation des mandats du Président de la République. L’actuel Chef de l’État devra, symboliquement, annoncer, d’emblée, qu’il ne se présenterait pas à la prochaine élection présidentielle.
aucune compation pour les victimes des 10 années de terreur, ni enquêtes ni procès. il attend surement que les faiseurs de régime lui résèrvent un poste.
c'est regettable , avec un pareil pédigrée.
science sans consience n'est que ruine de l'ame, avait dit qq'un.Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994
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Quand on connait le rôle que cet ancien officier a eu dans cette police politique, et notamment lors d’épisodes électorales, il est légitime de s’interroger sur les motivations de ce genre d'analyse et les message qu'il veut faire passer.Othmane BENZAGHOU
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