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Le DRS n'est qu'une partie des problèmes de l'Algérie

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  • #31
    Questions

    c'est qui, qui déclarait que tel ou tel algérien était parmi ceux dont l'exécution est "licite". Ce qui communément était appelé Ettekfir. A quelles fins, ces excommunions étaient-elles prononcées? Et comment se fait-il que ces listes étaient affichées sur les murs de mosquées?

    Pourquoi la liste des intellectuels, journalistes et personnalités tués depuis 1991, ne comporte quasiment que les noms d'Algériens démocrates?

    .........
    Dernière modification par mob_dz, 23 mars 2011, 21h58.
    Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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    • #32
      je vois rien de cohérent dans ce que tu racontes , dommage
      @ sadoun
      tu as raison, c'est du n'importe quoi... j'ai exagéré à max... je veux juste un peu démystifier ce qui passe pour être un martyre aux yeux des algériens... en tant que musulman, il ne se serait certainement pas suicidé et en tant que révolutionnaire il ne voulait certainement pas détruire l'Algérie mais...

      ... il avait une dent contre l'Armée, il voulait faire qq chose contre les militaires. alors il les a poussé à la faute en voulant s'attaquer à la corruption... mais sa ruse n'a pas fonctionné. il croyait que son sacrifice mettrait fin au régime militaire... à ce titre il a sa part de responsabilité dans ce qui s'est passé par la suite...

      ... du moins c'est comme ça que je vois les choses... croire que l'Armée l'a descendu simplement parce qu'il s'est attaqué à la corruption, c'est simplifié à max...

      ... à mon avis, Boudiaf n'était pas animé que de bonnes intentions...
      Dernière modification par Hyde, 21 mars 2011, 18h52.
      le DRS contrôle toute la Galaxie

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      • #33
        En la mémoire du président Boudiaf!

        Vouloir voir dans la corruption la raison de l'isolement du président Boudiaf, ne me semble pas tenir la route. Le système montre régulièrement sa capacité à traiter cette question par le jeux des règlements de comptes (Tous les fameux et fumeux dossiers qu'on nous sert périodiquement), qui servent aussi au rééquilibrage et à l'évolution des rapports de forces au sein du système.

        Ma conviction profonde, et elle se confirme par l'actualité récente, c'est que le système s'est soudé contre le président dès lors que celui-ci s'est décidé à donner un cadre AUTONOME d'ORGANISATION et de MOBILISATION aux algériens en général et à la jeunesse en particulier. A l'islamisme, et à la bureaucratie il savait qu'il ne pouvait opposer que l'union des forces populaires. Et, je ne crois pas un seul instant, qu'en faisant cela, il se montrait naïf ou aventureux; non il se révélait être ce qu'il n'a jamais cessé d'être UN REVOLUTIONNAIRE confiant en le génie et la force de SON PEUPLE.

        Alors, Honneurs et Gloire à notre président Mohamed BOUDIAF.
        Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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        • #34
          c'est temps si il ya des gens qui jouent avec le feu et qui remettent en cause l'avenir du pays. Les services de sécurités et l'armée en général doit se prémunir contre ces agissements qui remettent en cause leur cohésions. Ce n'est pas en sacrifiant deux ou trois généraux comme fusible que ceci ressoudera les choses. Il faut que cette guerre de clan prenne fin au plus vite avant que cela ne soit trop tard. Ce que demande la troupe, c'est un soutien moral et matériel à la mesure de leur sacrifice dans le combat contre l'hydre terroriste. Vos règlements de compte ne les intéresse pas, remplacer un tel par un tel ne résoudra pas le problème, résoudre une injustice par une autre injustice n'est pas une solution viable. Prenez les bonnes décisions avant que ce ne soit trop tard.

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          • #35
            @ El Yamine

            La meilleur façon de préserver l'ANP et les services de sécurité c'est de les réhabiliter dans leurs rôles institutionnels et de leur garantir le soutien, la reconnaissance et la considération de la Nation.

            Je suis d'accord avec vous que les approches qui se focalisent sur les personnes mènent à la reproduction des dérives qui ont discrédité ces institutions, et les mettent dans des positions difficiles.

            Il faudrait dans un même élan, re-crédibiliser le politique, rénover les institutions, et préserver l'institution militaire et les services de sécurités des instrumentalisations et manipulation en tout genre. Ce qui passe par la définition d'un concept claire de sécurité nationale, et par un contrôle parlementaire sur le sécuritaire.
            Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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            • #36
              Alors, Honneurs et Gloire à notre président Mohamed BOUDIAF.
              ton président! par adoption peut-être? en tout cas, c'est pas mon président. aucune élection présidentielle n'a été organisée pour l'élection de Med Boudiaf. il n'a été que le président du HCE, une sorte de conseil d'Etat mis en place par les militaires pour gérer la crise politique qui secouait le pays en 92. non seulement il n'a pas été élu par le peuple mais placé à la tête du HCE par LES MILITAIRES auxquels il est venu PRETER MAIN FORTE! alors qu'on arrête de parler de lui comme un révolutionnaire vertueux et démocrate... merci...

              Vous parlez de Boudiaf comme si c'était le sauveur de l'Algérie de 92... c'est tout le contraire... il a failli couler le bled... les militaires comptaient sur lui pour donner une légitimité au HCE pour pouvoir gérer le pays tant bien que mal. ils avaient besoin de lui. au lieu de jouer le jeu, il les a trahi en se retournant contre eux... on connaît tous la suite...
              Dernière modification par Hyde, 24 mars 2011, 05h10.
              le DRS contrôle toute la Galaxie

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              • #37
                ton président! par adoption peut-être?
                Tu te crois malin? Ou tu fais dans la provocation? Apprends au moins à cerner quelqu'un avant de lui répondre. Tu n'a qu'a jeter un coup d'oeil sur mes interventions sur les forum pour savoir "qui suis-je" comme dirais l'autre.

                Pour le Président, difficile d'avoir son itinéraire. Révolutionnaire, il a été le père du 1er Novembre 1954. A l'indépendance, il a pris le parti du peuple et s'est opposé aux dérives autoritaires de l'Etat - création du PRS -. Au moment où il pensait l'action de ce parti inutile et sans objet, il prend sa retraite et se retire de la vie politique. Revenu à la tête de l'Etat Algérien, il mobilise le peuple et lui redonne espoir. Ce n'est certainement pas "le ministre des affaires étrangères de Valéry Giscard d'estaing" qui peut se prévaloir de ce parcours. Mais là c'est une autre Histoire.

                Pour ce qui est des militaires. Gloire, et Honneurs à eux dans leurs missions au service de la Nation dans la fidélité et le respect de leur Serrement. Et vivement qu'une Révolution Démocratique pacifique vienne re-légitimer l'ensemble des institution d'Etat et redonner confiance aux Algériens en leur être collectif.
                Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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                • #38
                  @Hyde,

                  Vous parlez de Boudiaf comme si c'était le sauveur de l'Algérie de 92... c'est tout le contraire... il a failli couler le bled... les militaires comptaient sur lui pour donner une légitimité au HCE pour pouvoir gérer le pays tant bien que mal. ils avaient besoin de lui. au lieu de jouer le jeu, il les a trahi en se retournant contre eux... on connaît tous la suite...
                  Il aurait pu être le messie qui nous aurait épargné ces milliers de morts de la décennie noire si les balles assassines des traîtres,criminels et despotes ne l'avaient terrassé en pleine conférence, en direct à la télévision nationale, devant des millions de téléspectateurs.

                  Ce jour là, le peuple a manqué son devoir, celui de se soulever comme un seul homme et balayer pour toujours le pouvoir assassin despotique.

                  Je ne veux pas revenir ni sur le comment ni sur le pourquoi il a été fait appel à ce grand patriote.

                  P.

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