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Production de l'électricité : l'Algérie n'a d'autre alternative que de développer le nucléaire

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  • #16
    une centrale doit être construite a coté d'un fleuve ou de la mer.donc oubliez le sud.dommage car le sahra est une des zones les moins sismiques au monde.

    mais pas d'eau de surface:22:

    tout le nord algerien est sismique....

    on a un hmar comme ministre.comme si on allait dépasser le japon,france usa.....dans le nucléaire.on sera dépendant d'eux.
    au lieu de viser le solaire et d'investir dans ce créneau tres porteur.il préfere donner des milliards a l'occident et faire prendre un gros risque aux algeriens.
    l'algerie n'est pas le japon......il doit se dire

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    • #17
      Super centrale en Algérie (Skikda)

      On peut construire plusieurs centrales comme celle ci et puis transporter l’électricité vers le sud

      Dernière modification par absent, 28 mars 2011, 21h29.

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      • #18
        Bravo à ces Occidentaux qui viennent partager leur savoir avec nous.
        Pas à la tique ..

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        • #19
          2 réacteurs nucléaires pour la recherche, c'est déjà beaucoup
          oui.

          les tremblements de terre l'Algérie a son lot!
          Mr NOUBAT

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          • #20
            La meilleure manière de tuer l'Algérie

            Il faut savoir que le tsunami au Japon, a créé une onde choc dans le monde. Même les promotteurs les plus fervents du nucléaire adopte un profil bas depuis. En effet, cette catastrophe a démontré que personne n'est capable de protéger la population lors d'un tel danger. Les militants anti-nucléaires ont le vent en poupe partout : on les écoute de plus en plus......leurs études sont prises au sérieux...... . Malgré cette situation internationale, ce ministre nous dit que le nucléaire est une obligation.
            Alors "Pourquoi ce ministre parle du nucléaire maintenant ?"
            Il affectionne surement les défis.
            Alors que les pays développés sont convaincus de l'impasse du nucléaire (catastrophes inévitables, zones interdites à la vie pour des milliers d'années) et cherchent à utiliser les énergies renouvelables, chez nous on décide de se mettre au nucléaire. Encore une preuve que nos responsables sont de piètres décideurs : après le politique irresponsable, la gestion désastreuse des affaires de tout les jours, maintenant on nous impose le pire choix énergétique qui menace même les générations futures de notre pays qui sera a coup sûr un "no man's land"........
            C'est la meilleure manière de tuer l'Algérie. Et encore, bravo Monsieur le ministre !!!

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            • #21
              Contre-pied.

              Alors que le monde entier retient son souffle depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima et que tous les pays du monde révisent leur perception du nucléaire civil, M. Youcef Yousfi, ministre de l’Energie, prend la planète à contre-pied.
              Notre ministre de l’Energie déclare ainsi à l’APN : «L’Algérie doit se préparer pour le choix du nucléaire. » Outre le choix désastreux du moment pour faire de telles déclarations, M. Youcef Yousfi ne pourra faire l’économie d’explications un peu plus convaincantes.

              Par le Soir d'Algérie.
              Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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              • #22
                Article pompeux !

                Un GROS n'importe quoi !


                ../..
                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                • #23
                  Allez savoir , c'est peut-être à d'autres fins ! qui sait ? en tous cas c'est un ministre qui vit en 1980

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                  • #24
                    Même avec un mega projet style DESERTEC, et à l'heure actuelle, il n’existe aucune solution de remplacement du nucléaire pour produire électricité suffisante pour les pays industrialisés( et europe en particulier). DESERTEC ne pourra produire que 15% des besoins de l'europe.

                    Tout çà pour dire, que les occidentaux sont cuits !
                    Ils n'ont plus le choix dans l'immédiat que le nucléaire et le pétrole !

                    Ils ne nous reste que prier DIEU pour que çà n'explose pas partout, et que la planète ne soit pas toute contaminé avec ces nuages radioactifs !

                    A nous, Algériens, de forcer notre destin et faire le choix contraire !
                    C'est à dire, développer le solaire et l'éolien avec ce qui nous reste comme pétrole et de gaz !
                    Dernière modification par absent, 29 mars 2011, 21h34.

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                    • #25
                      Production de l'électricité : l'Algérie n'a d'autre alternative que de développer le nucléaire

                      Par Youcef
                      On peut applaudir notre sinistre, il le mérite
                      Rebbi yerrahmek ya djamel.
                      "Tu es, donc je suis"
                      Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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                      • #26
                        Une feuille artificielle qui peut chauffer une maison

                        Voilà ce que sont capables de faire les Américains, c'est tout chaud et ça date d'aujourd'hui.



                        Une feuille artificielle qui peut chauffer une maison

                        Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont développé une feuille artificielle qui produit de l’énergie dix fois plus vite que la photosynthèse naturelle, et qui pourrait créer assez d’énergie pour chauffer une maison pendant un jour.
                        Un scientifique nommé John Turner avait déjà créé la première feuille artificielle il y a plus d’une décennie, mais celle des chercheurs du MIT est plus petite, plus puissante et moins chère que celle de Turner.

                        Le professeur Daniel Norcera a récemment présenté son modèle lors du meeting annuel de l’American Chemical Society en Californie. Il s’agit d’un appareil solaire sophistiqué de la taille d’une carte à jouer que l’on laisse flotter dans un récipient d’eau. Un peu à la manière de la photosynthèse réalisée par une feuille naturelle, la feuille utilise la lumière du soleil pour séparer les deux composants essentiels de l’eau, l’oxygène et l’hydrogène, qui sont ensuite utilisés pour produire de l’électricité.
                        La conception de ce nouveau prototype, qui contient également de la silicone et des circuits électroniques, a été possible grâce à la découverte de nouveaux catalyseurs puissants et bon marché en nickel et en cobalt. La feuille a fonctionné pendant au moins 45 heures d’affilée sans s’arrêter au cours des tests préliminaires.

                        Norcera estime qu’avec quatre litres d’eau, une feuille pourrait produire assez d’électricité pour une maison dans un pays en développement pendant un jour. Il n’en fallait pas plus pour que certains tabloïds britanniques s’extasient: «Des scientifiques prétendent avoir trouvé le “Saint Graal” de la science avec une feuille artificielle qui pourrait transformer chaque maison britannique en sa propre centrale», écrit le Daily Mail.
                        L'invention peut sembler trop belle pour être vraie, mais elle est bien réelle et est déjà en passe d’être commercialisée. Wired.co.uk rapporte que le géant indien Tata Group a déjà passé un accord avec le chercheur du MIT pour construire une centrale électrique de la taille d’un réfrigérateur au cours des prochains 18 mois.

                        Pour le moment, Nocera vise principalement les pays en développement:
                        «Notre but est de faire de chaque maison sa propre centrale électrique. On peut imaginer des villages en Inde et en Afrique dans un futur proche achetant des systèmes de production d’électricité basiques et abordables à partir de cette technologie.»

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                        • #27
                          Production de l'électricité : l'Algérie n'a d'autre alternative que de développer le nucléaire

                          Par Youcef
                          Pour nourrir la gigantesque industrie algérienne ou les climatiseurs individuels importés ?
                          Rebbi yerrahmek ya djamel.
                          "Tu es, donc je suis"
                          Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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                          • #28
                            ....... .......on peut avoir des centrales nucléaires pour l'électricité au Sud sans problème. .........
                            Et l'eau pour le refroidissement?

                            Commentaire


                            • #29
                              on a un hmar comme ministre.comme si on allait dépasser le japon,france usa.....dans le nucléaire.on sera dépendant d'eux.
                              au lieu de viser le solaire et d'investir dans ce créneau tres porteur.il préfere donner des milliards a l'occident et faire prendre un gros risque aux algeriens.
                              l'algerie n'est pas le japon......il doit se dire
                              A lire les écris ici et là tout le monde est hmar sauf les génies de ce forum. Désolant de voir autant de mépris chez nos jeunes génies....

                              AU fond, vous n’êtes bons qu'à insulter, pas une seule discussion normale... je déguerpie d'ici, je n'ai rien à y faire....
                              Dernière modification par ott, 29 mars 2011, 21h04.
                              Othmane BENZAGHOU

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                              • #30
                                Aller encore un autre "hmar" a en croire les génies de ce forum

                                Abdenour Keramane à « Le Quotidien d'Oran » et «MAGHREB EMERGENT»: Introduire l'électronucléaire dans le parc de production n'est pas déraisonnable

                                Quotidien d'Oran - par Lyes Si Zoubir


                                Expert reconnu sur le plan international en matière d'énergie, ancien ministre algérien de l'Industrie et directeur de la revue Medenergie, Abdenour Keramane explique pourquoi la catastrophe de Fukushima ne devrait pas remettre en cause les programmes de nucléaire civil dans le monde. Pour lui, les pays maghrébins ont tout intérêt à unir leurs efforts en matière de programmes nucléaires.

                                Pensez-vous que l'accident de la centrale de Fukushima au Japon est de nature à freiner les projets nucléaires dans le monde ?

                                L'accident de la centrale de Fukushima a relancé le débat sur le nucléaire dans le monde. Il faut souligner que l'accident n'est pas dû à un défaut dans la construction ou l'exploitation des installations, comme ce fut le cas de Three Miles Island en 1979 et de Tchernobyl en 1986. C'est la conséquence directe d'une catastrophe naturelle, un séisme puis un tsunami dont l'intensité, exceptionnelle, n'avait pas été prise en compte. Il faut rappeler aussi que, depuis l'accident de Tchernobyl il y a 25 ans, il n'y a pas eu d'incident grave dans la filière nucléaire. Aujourd'hui, devant le drame auquel fait face le Japon avec courage et dans la dignité, les Etats disposant de centrales nucléaires sont interpellés. Selon le cas, ils appellent à des audits systématiques, à des moratoiressur la prolongation de la durée de vie des centrales en service et sur la réalisation des nouveaux programmes, voire à un démantèlement des centrales arrivées à terme. Nulle part, on n'a entendu parler de remise en cause, pas même au Japon qui vit le cauchemar.

                                Mais le statu quo n'est tout de même pas pensable ?

                                Comme après chaque accident, celui de Fukushima va donner lieu à des contrôles préventifs, à une évaluation complète qui se traduira par de nouvelles exigences plus draconiennes en matière de sûreté, en particulier en cas de catastrophe naturelle. Cela aura pour effet de ralentir de quelques années les programmes décidés lesquels devront prendre en compte ces nouveaux critères et, par voie de conséquence, d'augmenter les coûts et d'allonger les durées de réalisation. Mais, à mon avis, cela ne freinera pas les projets nucléaires dans le monde. En ce qui concerne le coût, le nucléaire dispose actuellement d'une marge substantielle par rapport aux énergies alternatives et devrait rester compétitif, notamment en raison de son effet de taille.

                                La planète peut-elle se passer du nucléaire à l'heure où les réserves en hydrocarbures diminuent ?

                                Bien sûr que non. La demande mondiale d'électricité croît malgré la crise, la croissance étant tirée par la Chine et l'Inde mais aussi par l'Afrique et le Moyen-Orient. Pour faire face à cette demande, la planète a besoin de mobiliser toutes les ressources disponibles, sans exception. Les dernières prévisions de l'AIE, publiées dans le World Energy Outlook 2010, indiquent qu'à l'horizon 2035, la production mondiale d'électricité proviendra à 32% du charbon, à 32% également des énergies renouvelablesqui auront fait un bond gigantesque, y compris l'hydroélectrique, à 21% du gaz naturel et à 15% du nucléaire. Si l'effort de recherche & développement et d'investissements industriels est encore plus conséquent, on peut penser que la part des renouvelables pourra augmenter au détriment du charbon ; mais la part du nucléaire se maintiendra probablement autour de ce niveau.La raison est double : il y a effectivement la diminution des réserves en hydrocarbures mais il y a surtout la volonté d'indépendance des pays occidentaux par rapport aux hydrocarbures dont les 2/3 des réserves sont concentrées dans les pays arabes. Et la possibilité d'une arrivée dans ces pays de régimes démocratiques, beaucoup plus soucieux des intérêts nationaux, ne pourra qu'accentuer cette volonté d'indépendance.

                                De nombreux pays arabes ont lancé des programmes de nucléaire civil. Est-ce bien raisonnable quand on sait que nombre d'entre eux n'ont pas de réelles traditions de sécurité industrielle ?

                                Je ne trouve pas déraisonnable que des pays arabes réfléchissent à l'introduction d'électronucléaire dans leur parc de production. Ceux qui ne disposent pas de réserves en hydrocarbures doivent se préoccuper de leurs approvisionnements énergétiques et, en plus des énergies renouvelables, en particulier le solaire, le nucléaire a sa place dans leur mix énergétique. Même ceux qui ont des hydrocarbures, dont on a dit que les réserves diminuaient, doivent penser à préserver ces ressources pour les générations futures et pour des usages plus nobles, comme le transport, la pétrochimie, là où ils sont irremplaçables.

                                Par contre, ce qui n'est pas raisonnable, c'est de penser qu'il suffit de disposer de moyens financiers pour acheter une centrale nucléaire comme une centrale classique, «clés en main».

                                On ne s'improvise donc pas producteur d'électricité nucléaire !

                                En réalité, la question que vous posez renvoie aux conditions préalables à la mise en œuvre de programmes électronucléaires et aux délais nécessaires pour cette mise en œuvre.Outre les moyens financiers et le choix d'une technologie éprouvée, elles supposent des conditions endogènes telles que :volonté politique durable et stabilité institutionnelle ; adhésion à tous les niveaux des rouages politiques, économiques, scientifiques et sociaux ; des compétences scientifiques et techniques et une solide communauté scientifique et technique maîtrisant études, recherche, ingénierie, fabrication, et contrôle ; un réseau électrique suffisamment puissant pour injecter des unités de production de grande capacité ; un tissu industriel et une industrie lourde et légère développant ses activités en parfaite harmonie avec une recherche de qualité.

                                La difficulté de réunir toutes ces conditions conduit tout naturellement à suggérer que de tels projets soient lancés dans un cadre régional et, à mon avis, un délai de 15/20 ans est alors nécessaire.

                                Les trois pays du Maghreb ont des projets dans le nucléaire civil. Existe-t-il une coordination régionale ? Est-elle souhaitable ?

                                A ma connaissance, il n'y a malheureusement aucune coordination entre les trois pays du Maghreb.Pour les raisons énumérées précédemment, cette coordination est hautement souhaitable. La capacité de production électrique de l'ensemble formé par les trois pays est d'environ 20 GW aujourd'hui ; elle atteindra le double dans les délais indiqués pour l'introduction d'électronucléaire, avec des réseaux solidement interconnectés. Ce qui constituerait un ensemble sous-régional consistant de nature à soutenir la compétition dans un ensemble euro-méditerranéen. Je suis persuadé que les compétences scientifiques et techniques et les moyens industriels dont disposent les trois pays réunis permettraient de réaliser de tels programmes dans les meilleures conditions (l'Algérie et le Maroc ont déjà fait des études de faisabilité dans le milieu des années 70 et implanté des centres de recherche). Ce serait vraiment un programme d'envergure qui aurait un effet mobilisateur pour les jeunes du Maghreb avec des retombées politiques, économiques et sociales bénéfiques pour la région. Cela suppose naturellement un climat de confiance qui fait cruellement défaut actuellement. L'énergie, d'une manière plus générale, pourrait vraiment être un facteur déterminant d'intégration et de développement pour le Maghreb.
                                Othmane BENZAGHOU

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