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ALGÉRIE. Le Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) lance un appel à un rassemblement national le 1er mai 2011 à la place du 1er Mai à Alger. Cet appel s’adresse à " l’ensemble des syndicats, travailleurs, chômeurs, étudiants, associations et organisations politiques. "
Le texte d’appel de la CNDDC formule tout une série de revendications, à commencer par " un travail décent pour tous, une allocation chômage à hauteur de 50% du Salaire national minimum garanti (SNMG) pour tout demandeur d'emploi, la permanisation de tous les travailleurs contractuels, emplois-jeunes, filet social. "
Abordant la question du pouvoir d’achat, la CNDDC réclame que le SNMG (salaire minimum) passe de 15 000 à 30 000 dinars algériens (147,72 à 295,52€). Elle demande également une " retraite après 32 ans de service et l’augmentation substantielle des retraites, l’abrogation de l'article 87 bis de la loi régissant les relations du travail (11/90)."
Dans le domaine social toujours, l’organisation de chômeurs demande également la "consécration du droit au logement pour tous."
Sur le plan économique, la CNDDC revendique la nationalisation ou la renationalisation de plusieurs entreprises stratégiques, à l’instar d’ArcelorMittal El Hadjar, Lafarge, Dubaï Port World (DPW)... Elle exige en même temps l’interdiction des licenciements économiques.
Au niveau politique, la CNDDC demande l’association des syndicats à l’élaboration du nouveau code du Travail, l’"amélioration de la qualité des services publics : Education, Enseignement supérieur, Santé, Services administratifs…" ainsi que la " consécration du respect des libertés d'expressions, d'organisation, de manifestation et du droit de grève."
Source: econostrum
Le texte d’appel de la CNDDC formule tout une série de revendications, à commencer par " un travail décent pour tous, une allocation chômage à hauteur de 50% du Salaire national minimum garanti (SNMG) pour tout demandeur d'emploi, la permanisation de tous les travailleurs contractuels, emplois-jeunes, filet social. "
Abordant la question du pouvoir d’achat, la CNDDC réclame que le SNMG (salaire minimum) passe de 15 000 à 30 000 dinars algériens (147,72 à 295,52€). Elle demande également une " retraite après 32 ans de service et l’augmentation substantielle des retraites, l’abrogation de l'article 87 bis de la loi régissant les relations du travail (11/90)."
Dans le domaine social toujours, l’organisation de chômeurs demande également la "consécration du droit au logement pour tous."
Sur le plan économique, la CNDDC revendique la nationalisation ou la renationalisation de plusieurs entreprises stratégiques, à l’instar d’ArcelorMittal El Hadjar, Lafarge, Dubaï Port World (DPW)... Elle exige en même temps l’interdiction des licenciements économiques.
Au niveau politique, la CNDDC demande l’association des syndicats à l’élaboration du nouveau code du Travail, l’"amélioration de la qualité des services publics : Education, Enseignement supérieur, Santé, Services administratifs…" ainsi que la " consécration du respect des libertés d'expressions, d'organisation, de manifestation et du droit de grève."
Source: econostrum