Tweet
La situation sécuritaire au grand sud est préoccupante. La démence de Kadhafi a non seulement mis en péril la Libye ; mais elle a réuni des conditions exceptionnellement favorables à la déstabilisation de la région. Les stratèges de l’alliance bouteflikienne ont été incapables d’anticiper cette évolution désastreuse. Et, maintenant que les dangers sont bien établis ; et que l’Algérie est face au pire des scénarios de l’évolution de la crise libyenne, ils s’en saisissent comme pour détourner d’eux les attaques socio-politiques qu’ils ne cessent d’essuyer depuis le mois de Janvier.
Le GSPC tire profit de la crise Libyenne pour amplifier sa stratégie de tension dans la région du Sahel. Son entreprise se trouve d’autant plus aisé que l’attentisme des pays limitrophe a ouvert la voie à l’intervention de puissances étrangères à la région. Des puissances qui ne demandaient pas tant que de s’installer dans cette zone où se jouent une partie de leurs intérêts vitaux.
Malgré les dangers réels pour la sécurité nationale, l’alliance persiste dans l’improvisation, ou la diversion, et se lance dans une éperdue fuite en avant. Par la voie d’un ministre, qui n’a que mépris, arrogance et menaces pour les gardes communaux de la place des Martyrs, elle appelle les citoyens, dans le grand sud, à prendre part à la lutte anti-terroriste. Certainement que l’idée est d’étendre la trouvaille doctrinaire du Houmiste à nos grandes étendues désertiques. Si non, comment dans le même élan, lâcher des citoyens qui ont contribué, deux durant deux décennies à combattre le terrorisme islamiste ; et appeler d’autres citoyens à se mobiliser pour le combattre?
Sans cette panacée qu’est le Houmisme, l’alliance bouteflikienne aurait été tenue dans l’obligation d’avoir une approche nationale de la question. Une approche valable, aussi bien place des Martyrs ; qu’à Bordj Badji Mokhtar.
Le Houmisme, summum et conceptualisation finale du régionalisme, est essentiel à notre bureaucratie, il a l’avantage de diluer les contraintes qu’induit la Nation. C’est une machine à remonter le temps pour nous ramener à l’Algérie de la domination Turque. Une époque où Alger n’était qu’une régence fondée à interdire aux autochtones l’accès à sa cité, ou à les désarmer à ses portes, et où les populations étaient réparties en Siba et Makhzene.
Pour les algériens, ce concept est important par ce qu’il fera tomber les dernières illusions sur la bureaucratie qui nous gouverne.
Le GSPC tire profit de la crise Libyenne pour amplifier sa stratégie de tension dans la région du Sahel. Son entreprise se trouve d’autant plus aisé que l’attentisme des pays limitrophe a ouvert la voie à l’intervention de puissances étrangères à la région. Des puissances qui ne demandaient pas tant que de s’installer dans cette zone où se jouent une partie de leurs intérêts vitaux.
Malgré les dangers réels pour la sécurité nationale, l’alliance persiste dans l’improvisation, ou la diversion, et se lance dans une éperdue fuite en avant. Par la voie d’un ministre, qui n’a que mépris, arrogance et menaces pour les gardes communaux de la place des Martyrs, elle appelle les citoyens, dans le grand sud, à prendre part à la lutte anti-terroriste. Certainement que l’idée est d’étendre la trouvaille doctrinaire du Houmiste à nos grandes étendues désertiques. Si non, comment dans le même élan, lâcher des citoyens qui ont contribué, deux durant deux décennies à combattre le terrorisme islamiste ; et appeler d’autres citoyens à se mobiliser pour le combattre?
Sans cette panacée qu’est le Houmisme, l’alliance bouteflikienne aurait été tenue dans l’obligation d’avoir une approche nationale de la question. Une approche valable, aussi bien place des Martyrs ; qu’à Bordj Badji Mokhtar.
Le Houmisme, summum et conceptualisation finale du régionalisme, est essentiel à notre bureaucratie, il a l’avantage de diluer les contraintes qu’induit la Nation. C’est une machine à remonter le temps pour nous ramener à l’Algérie de la domination Turque. Une époque où Alger n’était qu’une régence fondée à interdire aux autochtones l’accès à sa cité, ou à les désarmer à ses portes, et où les populations étaient réparties en Siba et Makhzene.
Pour les algériens, ce concept est important par ce qu’il fera tomber les dernières illusions sur la bureaucratie qui nous gouverne.