Bousculé par le réveil de la rue arabe, la bureaucratie d’Alger s’est empressée à submerger les premiers noyaux de manifestants Algériens par des vagues blues de CNS ; et les multiples mouvements de contestation sociales par des Tsunami de Dinars. Une réponse en tenaille dont le but est d’assurer son maintien aux gouvernes de l’Etat et de la société. Mais pas seulement.
Comme les européens se plaisent à la répéter, le mot crise en chinois signifie à la fois dangers et opportunités. L’Alliance semble l’avoir bien assimilé.
Si dans l’apparence les mesures « d’urgence » semblent répondre aux « dangers » ; dans le fonds elles décuplent les capacités de captage des réseaux de clientèles prédatrices. Au bout du compte les travailleurs, les fonctionnaires, les jeunes, n’auront été que des vecteurs d’un enrichissement encore plus démesuré de ceux qui le sont déjà trop de l’argent public. Ces sommes colossales, pharaoniques faudrait-il dire, vont entretenir les circuits d’une économie délabrée, importatrice de la moindre babiole. Le règne de l’import-import n’est prêt de finir. A l’unisson les barrons dénient tout caractère politique aux convulsions de la rue Algérienne. Façon d’isoler une opposition trop pressée d’arriver au pouvoir? Une opposition qu’ils accusent d’être prête à chevaucher la moindre onde de mécontentement … social? L’opposition ne les dérange que dans la mesure elle peut se révéler comme l’initiatrice d’un débat publique dans la société. La bureaucratie a une sainte horreur de la réalité et de tous ce qui peut la révéler. En l’occurrence, ce que la bureaucratie veut masquer c’est l’évolution fulgurante de la conscience sociale, et le grand sens de responsabilité des Algériens.
La prédation si elle est une caractéristique essentielle de la caste au pouvoir, n’en demeure pas moins étrangère à notre peuple. C’est un greffon qui n’a aucune chance de prendre, sauf à verrouiller comme le fait l’alliance tous espaces d’expression ; et à bâillonner toutes voix libre. Chacun de nous peut le vérifier ; personne de sensé ne se réjouit de ce néo- « tawzi3 El Arba7 » ; nous avons tous des discussions pour dénoncer cette dilapidation du capital nationale. Le capital, de cette génération, et de toutes celles qui vont suivre. C’est avec amertume et résignation que nous assistons à cette razzia ; leurré par la stratégie de fragmentation et de cloisonnement que nous applique le système. Il suffirait juste que nous pensons tous la même chose, que nous avons tous la même hauteur de vue ; que nous nourrissons les mêmes ambitions pour notre patrie. Et, que en fin de compte nous sommes une force irrésistible capable de balayer cette alliance, cette bureaucratie, ce système.
Comme les européens se plaisent à la répéter, le mot crise en chinois signifie à la fois dangers et opportunités. L’Alliance semble l’avoir bien assimilé.
Si dans l’apparence les mesures « d’urgence » semblent répondre aux « dangers » ; dans le fonds elles décuplent les capacités de captage des réseaux de clientèles prédatrices. Au bout du compte les travailleurs, les fonctionnaires, les jeunes, n’auront été que des vecteurs d’un enrichissement encore plus démesuré de ceux qui le sont déjà trop de l’argent public. Ces sommes colossales, pharaoniques faudrait-il dire, vont entretenir les circuits d’une économie délabrée, importatrice de la moindre babiole. Le règne de l’import-import n’est prêt de finir. A l’unisson les barrons dénient tout caractère politique aux convulsions de la rue Algérienne. Façon d’isoler une opposition trop pressée d’arriver au pouvoir? Une opposition qu’ils accusent d’être prête à chevaucher la moindre onde de mécontentement … social? L’opposition ne les dérange que dans la mesure elle peut se révéler comme l’initiatrice d’un débat publique dans la société. La bureaucratie a une sainte horreur de la réalité et de tous ce qui peut la révéler. En l’occurrence, ce que la bureaucratie veut masquer c’est l’évolution fulgurante de la conscience sociale, et le grand sens de responsabilité des Algériens.
La prédation si elle est une caractéristique essentielle de la caste au pouvoir, n’en demeure pas moins étrangère à notre peuple. C’est un greffon qui n’a aucune chance de prendre, sauf à verrouiller comme le fait l’alliance tous espaces d’expression ; et à bâillonner toutes voix libre. Chacun de nous peut le vérifier ; personne de sensé ne se réjouit de ce néo- « tawzi3 El Arba7 » ; nous avons tous des discussions pour dénoncer cette dilapidation du capital nationale. Le capital, de cette génération, et de toutes celles qui vont suivre. C’est avec amertume et résignation que nous assistons à cette razzia ; leurré par la stratégie de fragmentation et de cloisonnement que nous applique le système. Il suffirait juste que nous pensons tous la même chose, que nous avons tous la même hauteur de vue ; que nous nourrissons les mêmes ambitions pour notre patrie. Et, que en fin de compte nous sommes une force irrésistible capable de balayer cette alliance, cette bureaucratie, ce système.
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