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Le RCD et le FFS boudent la 1ère journée du forum kabylie

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  • Le RCD et le FFS boudent la 1ère journée du forum kabylie

    « La Kabylie en débats » à Takerboust Le RCD et le FFS boudent la rencontre
    10 Avril 2011 Salas O. A. (Dépêche de Kabylie)


    Ciel dégagé. Pas même un cumulus n’a survolé le ciel de Takerboust, vendredi dernier, premier jour du séminaire s’interrogeant sur le devenir de la Kabylie

    Le soleil est exceptionnellement au rendez-vous. Il semble être là pour lui aussi, aider Forum Kabylie à « lever le voile intégrale » (dixit Aziz Tari) sur une Kabylie qui n’a cessé de militer, de bouder, de revendiquer, de battre le pavé, de verser le sang… Sans jamais parvenir à fédérer à son idéal démocratique le reste du pays. C’est en gros le constat que feront les intervenants conviés à réfléchir à propos du sens et des objectifs à donner à la militance Kabyle. A la rencontre, rappelons-le, étaient invités le FFS, CMA, RCD, MAK, CERAK et des délégations de villages. Etaient absents, du moins pour la première journée, le FFS et le RCD. Les délégations du village Takerboust et du village Zoubga seront les premiers à prendre la parole pour rappeler la réalité structurelle du village Kabylie. Et il en ressortira en filigrane, notamment pour Zoubga où semble-t-il le comité du village est l’instance omnipotente, que Taddart, et donc la Kabylie , est sociologiquement prédisposée à assumer et assurer une certaine « souveraineté ».
    (...)
    Dans l’après-midi, le perchoir est cédé à Said Chemakh, Mohamed Bessa et Idir Ait Maamar, successivement linguiste, journaliste et ancien acteur du mouvement citoyen. Le premier parlera de la nécessité de revoir l’histoire de la région, et ce faisant, découvrir « ses particularités » et donc prédispositions à une forme d’autonomie. Après avoir souligné l’avantage du ciment et de l’unité linguistique qui caractérise la Kabylie , Chemakh ramènera à sa juste définition le concept autonomie. « Elle est d’abord et tout naturellement individuelle », dira-t-il comme pour souligner le bien-fondé de sa revendication. Après avoir développé davantage et mis en exergue les ingrédients qui, dès lors qu’ils existent, légitiment une autonomie, le linguiste esquissera les contours des formes d’autonomie, telle que la Catalogne , existantes ailleurs.
    Invité à donner son appréciation de « la Kabylie dans la presse », Bessa Mohamed remontera aux années 80, années de plomb où la presse unique et eunique désinformait en « donneuse de leçon ». Et il se trouve que l’auteur du fameux « donneur de leçons » était kabyle. C’est cette « complexité » de l’antikabylisme que relèvera plus loin le journaliste. Le traitement des événements du Printemps noir est aussi convié à la conférence. La marche du 14 juin et l’accident ayant coûté la vie à une journaliste avait été saisi par El chourouk pour s’empresser d’imprimer son antikabylisme. Bessa Mohamed ouvrira une parenthèse pour souligner que nombre de journalistes zélés de cet organe arabophone sont kabyles et que « les chose ne sont pas ou noires ou blanches. Il y’a aussi du gris ». Toujours sur la même idée de complexité, il rappellera que la JSK , symbole et fierté de la Kabylie , portera le logo du journal anti kabyle. Pour le conférencier, cette bacchanale trouve son explication dans le non professionnalisme qui caractérise le monde de la presse. Et pour faire court, il expliquera que cela est ainsi et le restera tant que « l’éditeur ne va pas à la conquête du lecteur », mais à celle de l’annonceur.
    Le dernier à prendre la parole dans l’après-midi, Ait Maamar Idir, résumera le parcours du mouvement citoyen en reconnaissant que quand bien même, ils (les Aarchs) avaient crié haut et fort le caractère national du mouvement, il n’en demeure pas moins que leur combat n’intéressait que la seule Kabylie. En somme, le délégué des Aarchs fera son mea culpa et avouera qu’il lui a fallu du temps pour admettre le caractère kabylo-kabyle du mouvement. Plus loin, il laissera entendre que la dynamique sera cassée, dès lors que le document de réflexion des Aarchs avait souligné l’impossibilité de faire aboutir les revendications dans un cadre jacobin.
    Autrement dit, l’idée d’une forme de décentralisation paraissait incontournable. Et c’est cette même idée qui s’est dégagée des premières interventions et des débats qui s’en étaient suivis dans la journée du vendredi.

  • #2
    Le boycott du FFS n'a rien d'étonnant puisque cette formation politique est de plus en plus vilipendée par les Kabyles.

    En revanche, le forfait du RCD est moins compréhensible. Toutefois, ce n'est pas vraiment grave, car la Kabylie peut compter sur d'autres mouvements citoyens et personnages plus intègres.

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    • #3
      RCD et FFS des partis à dimension nationale, s'il vous plait!!! Il ne se déplacent pas pour si peu!
      Dernière modification par hben, 10 avril 2011, 13h47.
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        "RCD et FFS des partis à dimension nationale, s'il vous plait!!! Il ne se déplace pas pour si peu!"

        Tant mieux pour le peuple Kabyle que ces formations gangénées d'arrivistes ne prennent pas part à une réunion, car elles ont vendu leurs âmes (n'est-ce pas Krim Belkacem qui avait traité Hocine Aït-Ahmed de "révolutionnaire de palaces, inclus Ben Bella et Khider"?

        La solution pour l'Algérie passera par la révolte citoyenne dont la frondeuse Kabylie y jouera un rôle de tout premier ordre avec ses éléments tels que Mohand Sadek Akrour (le Moralès algérien) ou du chevrier-enseignat Belaïd Abrika qui s'en devra abandonner son complet 3 pièces et se revêtir ses jean's râpés et rentre dans le rang de la contestation.

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        • #5
          la meilleure solution est la séparation pur et simple de la Kabylie avec mon pays .

          j’espère que cela arriveras bien vite ,un algérien qui vous veut du bien et a son pays.

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          • #6
            (Azul,@Bskra c est ou ton pays?la paix des braves la propossition faites par De Gaulle la WIII,le sud pour la France et le nord pour la WIII,si la WIII avait accepte' le deal,Biskra se serrait retrouve' dans quel pays?la France ou la WIII,c est a dire la Kabylie?

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            • #7
              Azul,@Bskra c est ou ton pays?la paix des braves la propossition faites par De Gaulle la WIII,le sud pour la France et le nord pour la WIII,si la WIII avait accepte' le deal,Biskra se serrait retrouve' dans quel pays?la France ou la WIII,c est a dire la Kabylie? azoumba

              mon pays c'est l’Algérie et tout ceux qui aime cette patrie un point c'est tout ,et puis je n'aime pas les haineux ,raciste et fasciste

              ni belhadj ni fehrat m'henni les ALGÉRIENS d'abords ,qu'importe sa race ,sa culture ,son origine ,sa religion...aimez ce pays ou bon vent..

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              • #8
                Apres que tous les delegues aient observe la salat el djoumoua ( Priere du Vendredi ) dans la petite mosquee du village, ils ont implore Dieu pour les aider a faire pondre un rapport positive pour la kabylie. Les delegues du FFS et RCD n ont pas voulu participe mais ont donne leurs pre-accords a toute conclusion constructive pour cette region de l algerie.

                Apres des slogans ulach smah ulach smah, les delegues vont se donner rendez vous la prochaine fois a Beni Zmenzer dans le village El MA, pres de Tizi Ville ( 10 KM).

                Les delegues n ont omis de prendre les armes si l autonomie de la kabylie n est realisee dans les 2 ans prochains. a suivre......................


                Vive la kabylie libre et equi-libre. e
                De l'algérie je suis nostalgique

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                • #9
                  Les delegues n ont omis de prendre les armes si l autonomie de la kabylie n est realisee dans les 2 ans prochains. a suivre......................aitmakki

                  si cela est vrai? peut tu confirmer ..merci

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                  • #10
                    Azul,Biskra,2 Scuds sont arrive' dimanche en Kabylie,et quelques Patriotes,et surtout ne me demande pas la source,secret defence,alors du haut dre Lala Khdija,meme une bezka en parabole avec l aide de Sidi Vahri elle tombe au centre de Biskra,tu ferrais mieux de demenager,parceque nous allons vous noyer,si tu croyais etre a l abri d un tsunami tu as tort.

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                    • #11
                      "Le RCD et le FFS boudent la 1ère journée du forum kabylie"

                      Quelque soit mes divergences dans leur vision politique, je reconnais en le RCD et le FFS leur amour pour l'Algérie unique et indivisible pour laquelle sont tombés 1,5 millions de chouhada.
                      Ce n'est pas pour des problèmes d'oppression ou de liberté racontés çà et là par certains que ce courant extrémiste aspire à "autonomiser" la kabylie, mais pour des fins régionalistes, voire racistes.
                      Vous me donnez l'occasion de faire un appel, particulièrement aux jeunes pleins d'enthousiasme mais crédules, pour échapper à la manipulation.
                      Les problèmes que vivent les kabyles sont les mêmes que vit le peuple algérien. Jetez un regard au sud et voyez ce qu'endure ce peuple. Cependant, l'aggravation du problème kabyle est venu des kabyles eux-même pendant la phase des "3rouch" qui a vu les meneurs tirer leur épingle du jeu, car opportunistes, laissant la situation pourrir. Comme vous voyez, la kabylie a aussi ses traitres, ses opportunistes, ... comme il y en a partout.
                      En plus du RCD et du FFS, je salue et félicite Lounis Aït Menguellat pour sa position aussi courageuse que sage: L'Algérie est indivisible. Je cite Aït Menguellat en tant qu'exemple, mais ô combien y a t-il de kabyles comme lui et derrière lui. J'en suis un parmi eux.
                      Laissez-moi vous dire enfin que "ces simples mots" sont sortis spontanément de mon coeur, car jaloux de l'Algérie et de ma kabylie. C'est dans l'intérêt général que je les dis. Je ne laisserai personne me manipuler.

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                      • #12
                        Contribution du CMA à la CNK

                        Il n’y aucune solution pour la kabylie dans le cadre structurel de l’Etat-Nation actuel

                        Par Hocine Azem, vice-président du CMA/Algérie

                        10/04/2011 - 15:00 mis a jour le 10/04/2011 - 20:23 par Hocine Azem

                        Le Congrès Mondial Amazigh (CMA) est une ONG internationale ayant pour mission de défendre et de promouvoir les droits politiques, économiques, sociaux, culturels et linguistiques du peuple Amazigh (Berbère), en conformité avec les principes et les instruments du droit international. Le CMA est constitué par des Associations qui œuvrent dans les domaines culturels, de développement socioéconomique, de protection de l’environnement et de défense et promotion des droits humains, dans tous les pays de Tamazgha (Afrique du Nord) et en Europe. Depuis sa création en 1995, le CMA collabore avec les différents organes de défense et de promotion des droits humains des Nations Unies, de l’Union Européenne, de l’Union Africaine et des organisations de la société civile internationale. Dans ce cadre, le CMA participe régulièrement à différents événements internationaux relatifs aux droits humains (conférences internationales, forums, Groupes de Travail, séminaires, etc) et présente devant les Comités d’experts de l’ONU chargés du suivi de l’application des Traités, des rapports alternatifs sur la situation des droits humains, particulièrement dans les pays d’Afrique du Nord. Le Congrès Mondial Amazigh agit en faveur et en soutien de tous les efforts entrepris pour l’état de droit, la paix, la laïcité et le progrès humain.

                        La situation actuelle en Kabylie et comme dans le reste de l’Algérie est sous tensions étant donné le sentiment profond de frustration et de dépossession par un pouvoir qui cristallise tous les mécontentements et les contestations envers un système qui est plus regardé et vu comme mafieux et assassin et corrompu et corrupteur aux pratiques de dilapidation des richesses du pays assurant une gestion catastrophique de tous les domaines de la vie publique.

                        En Kabylie la situation est dangereusement complexe, c’est une poudrière qui risque d’exploser à tout moment, un territoire où sont concentrés l’armée, la gendarmerie, les forces de polices, les agents opérationnels du DRS, le maquis islamiste, l’activisme des salafistes fondamentalistes en qualité d’Imams dans les Mosquées sous couvert de fonctionnaires d’Etat algériens en Kabylie, des groupes armés non-identifiés qui commettent des enlèvements de personnes surtout les chefs d’Entreprises pour exiger des rançons exorbitantes en toute impunité pour leurs familles et en fin le grand banditisme bien contrôlé et orienté vers des cibles indépendantes du pouvoir d’Alger. Bien pire ; des réseaux de clients inféodés au système agissant en toute impunité et en toute opacité pour protéger et propager les options du Pouvoir dans la société avec des moyens des institutions publiques aux frais des deniers du contribuable. Tous ses éléments convergents vers un même objectif, mater, pervertir et saborder toute forme d’opposition démocratique organisée contre l’autorité publique centrale pour maintenir le système en place dans toute son expression violente dictatoriale arabo-islamique et empêcher tout processus de démocratisation de l’Algérie depuis la Kabylie.

                        La situation économique et sociale est catastrophique, le chômage met des pans entiers de notre jeunesse dans la rue exclue de toutes les instances de socialisation, une école qui produit des croyants islamistes prédestinés à arabo-islamiser les kabyles laïques ou former des désœuvrés pour les pousser dans les bras de l’islamisme, l’alcoolisme, la délinquance, et pour survivre, ils doivent risquer leur vie à travers des embarcations de fortune en direction du paradis sous d’autres cieux pour échapper à l’enfer quotidien fait de tous les malheurs. Les plus fragiles d’entre eux s’empêtrent dans le suicide sous plusieurs formes pour mettre fin à leur calvaire insupportable tous azimuts.

                        Ce chaos voulu et contrôlé a accentué le sentiment d’insécurité avec l’absence totale de l’Etat dans ses missions de garantir à ce peuple une protection des individus et de ses biens. Elle donne cette impression d’une catastrophe annoncée et programmée dont personne ne peut prédire la finalité tant la violence est la seule forme d’expression face à un système obsolète en mal de perspectives qui n’a que la violence comme réponse pour régler les conflits et les contradictions qui traversent la société.

                        L’absence totale d’espaces d’expression démocratiques, politiques et de débat contradictoire amplifie le désarroi d’un peuple et se trouve ainsi désarmé dans son opposition pacifique face aux pratiques violentes du pouvoir algérien. Le divorce politique entre le peuple Kabyle et son élite partisane dans les partis légaux est consommé étant donné son incapacité à traduire les espérances d’un peuple, qui s’est battu depuis l’Algérie post-coloniale, pour la démocratie, les libertés et les Droits de l’Homme, mais vidé de ses cadres et de ses compétences dissouts dans un combat politique irréalisables, dans ces conditions historiques présentes, d’une Algérie démocratique dans le cadre des principes qui ne respectent pas les différences des peuples autochtones de l’ensemble des territoires amazighs d’Algérie. Le climat de méfiance qui y règne où aucune proposition ne peut s’enraciner après les échecs et les traumatismes répétés depuis la guerre de 1963 avec son massacre 482 personnes kabyles tuées par l’armée dite des Frontières de Ben Bella jusqu’aux assassinats en 2001 des 127 jeunes kabyles lâchement et froidement abattus par les Services de sécurités algériens de Bouteflika en toute impunité. L’oppression qu’il subit depuis l’Algérie post-coloniale n’a pas permis l’émergence d’un projet crédible et de forces nouvelles en rupture avec le système existant pour sortir de cette impasse historique et de ce face à face malgré la générosité de ses combats pacifiques. Il est à craindre aujourd’hui une explosion incontrôlable aux lourdes conséquences dramatiques qui peuvent mettre en danger la Kabylie et son devenir.

                        Les révoltes pratiquement quotidiennes dans les différentes localités ne trouvent pas d’échos où le Pouvoir laisse faire pour instaurer le pourrissement de la situation, c’est sa réponse politique aux conditions catastrophiques que subissent les habitants dans leur environnement. Cette situation catastrophique dans tous les domaines génère une situation conflictuelle permanente entre la Kabylie et le gouvernement central algérien. L’absence des pouvoirs publics dans leurs missions essentielles d’Etat de droit a accentué ce sentiment de marasme, d’impuissance, d’insécurité généralisée d’une crise multidimensionnelle face aux revendications populaires démocratiques exprimaient tant de fois pacifiquement par la Kabylie depuis l’Indépendance de l’Algérie en 1962. Le Pouvoir algérien répond toujours par la répression féroce et l’oppression cruelle aux doléances démocratiques légitimes du peuple kabyle. les revendications en question sont d’ordre : politique, démocratique, identitaire, culturelle, linguistique, socio-économique, sécuritaire, environnemental, civique face aux dénis de libertés ; au déni de citoyenneté ; au déni de dignité ; au déni de justice ; au déni de langue ; au déni d’histoire ; au déni d’identité, en un mot au déni de tous les Droits Humains et du Citoyen consacrés par les valeurs universelles pour toute l’humanité. Ces aspirations ne peuvent se réaliser que dans un cadre d’un Etat de droit permettant aux peuples algériens de vivre pacifiquement ensemble leurs valeurs propres de chaque peuple en dehors des conflits permanents actuels qui pourraient dégénérer vers des situations tragiques.

                        Il n’y aucune solution dans le cadre de ce régime dictatorial, ni dans le cadre structurel de l’Etat-Nation actuel communautariste qui a privé les peuples de leur patrimoine, de leur culture, de leur souveraineté, de leur droit à l’auto-détermination ; un système qui a reconduit toutes les injustices issues des colonialismes successifs de l’Algérie depuis la nuit des temps. Le peuple Kabyle et à travers lui les peuple Amazighs d’Algérie dans leurs pluralités et leurs diversités multiples, se retrouvent devant une question fondamentale celle d’être où ne pas être. Les réponses à cette question essentielle qui est aujourd’hui occultée dans le débat algérien pour la continuité du cadre existant jacobin et centralisé ne permettant pas à tous ces peuples de se donner une vision à leurs combats et redéfinir les contours d’un cadre pluriel nouvel et d’un cadre politique nouveau respectant la pluralité et la diversité et le droit de faire jouir à tous les peuples coexistant en Algérie particulièrement au peuple Kabyle pour prendre en main son destin et son ambition de construire son model qui place l’Homme au cœur de son projet dont la seule finalité est son épanouissement dans le cadre d’un projet de société progressiste et moderniste porté par les peuples amazighs en Algérie en terme de revendications politiques dans le cadre pacifique, démocratique et autonomiste.

                        Kabylie, le 01 avril 2011.

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                        • #13
                          une délégation du CMA était également conviée au forum kabylie, à sa tête Hocine Azem vice président du CMA/ Algérie et a exposé les mêmes idées que lors de la convention nationale kabyle qui a eu lieu les 1 et 2 Avril

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                          • #14
                            Quelque soit mes divergences dans leur vision politique, je reconnais en le RCD et le FFS leur amour pour l'Algérie unique et indivisible pour laquelle sont tombés 1,5 millions de chouhada.

                            les états majors de ces deux partis ont des intérêts à tenir de telles positions ... autrement pour les militants ... les 3/4 des activistes du MAK sont des anciens du RCD et du FFS.

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                            • #15
                              BHL était parmi les invités ?

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