Que c'est bon de retrouver sa terre natale! Ca fait tant plaisir de lire ce genre de choses, ca fait du bien par rapport a (une foule de tristes infos, quotidiennes)
Qu’il est bon et bien souvent étonnant de se réunir avec ses camarades de classe après tant d’années ! Bien évidemment, des années de scolarité ensemble, c’est aussi une multitude de souvenirs, de situations inattendues, de rigolades et de stress qui ont meublé ces jeunes années en tant qu’élèves à Tlemcen, les années cinquante.
Que ce soit M. Marc, Mme Claudie Sarez, le maire d’une ville française M. Roger, ou encore M. David… en plus de M. Lemkami, M. Benmansour… et ô ! combien étaient-ils à assister à ces retrouvailles jeudi dernier à la bibliothèque centrale de l’université de Tlemcen.
Ils sont venus au nombre de 41 des quatre coins de la France, y compris un diplomate, rejoindre leurs anciens amis algériens. Presque tout le monde était au rendez-vous.
Le but de cette initiative, prise par l’association Ecolymet, et Afak El Andalous, étant de régler les aiguilles à l’heure des retrouvailles. Retrouvailles qui ont été marquées surtout par les sanglots du chef de la délégation française composée de 41 membres.
M. Marc Hamet avait du mal à parler sur sa terre natale, Tlemcen, et devant un parterre d’anciens camarades de classe de Tlemcen et de France. «Je regrette d’avoir quitté ce beau pays», dit–il, la gorge sèche, avant que les larmes ne jaillissent de ses yeux, poursuivant difficilement son discours plein d’émotion. Ce fils d’Algérienne n’a pas manqué d’emmener sa fille visiter le lieu où est né son père. Ce moment de retrouvailles a été particulièrement chaleureux.
L’échange de nouvelles et de souvenirs, comme le témoigne Mme Claudie Sares, professeur d’allemand actuellement, et qui a quitté l’Algérie à l’âge de 18 ans. «Mais pour moi, le pays d’attachement émotionnel, j’allais même dire viscéral, le pays de mes ancêtres, c’est l’Algérie, où un arbre généalogique d’au moins un siècle avait pris racine», soulignant que la France n’était qu’un pays de vacances, remerciant de ce fait Ecolymet pour ces retrouvailles pleines d’émotions et de souvenirs. Ils étaient nombreux à venir partager souvenirs et mémoire des hauts faits de la vie d’antan, d’hier dans ces quartiers de Tlemcen, dans les couloirs de l’école Décieux, du Slan, ou de la Medersa. Les souvenirs fusaient de toutes parts. Tous se saluaient, s’embrassaient et retrouvaient leurs anciens camardes. La joie était au rendez-vous.
Ces retrouvailles ont été cependant marquées par des conférences et une riche exposition d’anciennes photos d’écoliers de Tlemcen, comme Chakib Khelil, Djamel Ould Abbès.
- La Tribure
Qu’il est bon et bien souvent étonnant de se réunir avec ses camarades de classe après tant d’années ! Bien évidemment, des années de scolarité ensemble, c’est aussi une multitude de souvenirs, de situations inattendues, de rigolades et de stress qui ont meublé ces jeunes années en tant qu’élèves à Tlemcen, les années cinquante.
Que ce soit M. Marc, Mme Claudie Sarez, le maire d’une ville française M. Roger, ou encore M. David… en plus de M. Lemkami, M. Benmansour… et ô ! combien étaient-ils à assister à ces retrouvailles jeudi dernier à la bibliothèque centrale de l’université de Tlemcen.
Ils sont venus au nombre de 41 des quatre coins de la France, y compris un diplomate, rejoindre leurs anciens amis algériens. Presque tout le monde était au rendez-vous.
Le but de cette initiative, prise par l’association Ecolymet, et Afak El Andalous, étant de régler les aiguilles à l’heure des retrouvailles. Retrouvailles qui ont été marquées surtout par les sanglots du chef de la délégation française composée de 41 membres.
M. Marc Hamet avait du mal à parler sur sa terre natale, Tlemcen, et devant un parterre d’anciens camarades de classe de Tlemcen et de France. «Je regrette d’avoir quitté ce beau pays», dit–il, la gorge sèche, avant que les larmes ne jaillissent de ses yeux, poursuivant difficilement son discours plein d’émotion. Ce fils d’Algérienne n’a pas manqué d’emmener sa fille visiter le lieu où est né son père. Ce moment de retrouvailles a été particulièrement chaleureux.
L’échange de nouvelles et de souvenirs, comme le témoigne Mme Claudie Sares, professeur d’allemand actuellement, et qui a quitté l’Algérie à l’âge de 18 ans. «Mais pour moi, le pays d’attachement émotionnel, j’allais même dire viscéral, le pays de mes ancêtres, c’est l’Algérie, où un arbre généalogique d’au moins un siècle avait pris racine», soulignant que la France n’était qu’un pays de vacances, remerciant de ce fait Ecolymet pour ces retrouvailles pleines d’émotions et de souvenirs. Ils étaient nombreux à venir partager souvenirs et mémoire des hauts faits de la vie d’antan, d’hier dans ces quartiers de Tlemcen, dans les couloirs de l’école Décieux, du Slan, ou de la Medersa. Les souvenirs fusaient de toutes parts. Tous se saluaient, s’embrassaient et retrouvaient leurs anciens camardes. La joie était au rendez-vous.
Ces retrouvailles ont été cependant marquées par des conférences et une riche exposition d’anciennes photos d’écoliers de Tlemcen, comme Chakib Khelil, Djamel Ould Abbès.
- La Tribure