Cela dit, j'ai observé que le comporte-ment algérien en France, à l'égard des Français, inclut un côté comminatoire et revendicatif, hargneux et méprisant, que rien mais absolument rien ne justifie. Qu'ils aillent donc se faire voir ailleurs !Encore une fois, nous ne devons plus rien à l'Algérie, elle a choisi sa voie, les Français ne sont plus responsables des Algériens qui doivent se débrouiller seuls et qui ne sont pas si mal lotis que ça avec le riche sous-sol que le Coq gaulois a gratté pour eux avant de s'en retourner, les ergots vides, en Pathosie..
C'était en 1962. Nous sommes en 2003, presque deux générations se sont écoulées et la plupart des Algériens font toujours omme si le cordon ombilical n'avait pas été coupé entre l'ancienne métropole et ses départements nord-africains. Mieux, certains Algériens, les Kabyles pour les citer, voudraient que la France revienne en Algérie pour " empêcher le génocide des Berbères par les Arabes ". Ça, c'est la meilleure !
Comme si cela nous regardait ! Il nous a fallu supporter, en plein Paris, ces militants kabyles en costumes traditionnel vociferant, injuriant, trépignant parce que ''les français veulent rien faire en Kabylie''! Vous vous trompez d'adresse, dames berbères, pétionnez à la ligue arabe, à l'organisation de l'Unité Africaine, aux Nations Unies! La France a quitté votre galère où vous lui avez donné tant de mal, elle ne risque pas d'y revenir, pour se bruler les doigts à vos cent querelles intestines. D'autant plus qu'à peine y aurait-elle posé le pied, la malheureuse France, que vous lui reprocheriez son ingérence, vous vous retourneriez contre elle au nom de l'unité islamique 'agressée' ainsi que ce fut le cas chaque fois que les français voulurent se meler, pour calmer , des sanglantes scènes de mémage bèrbèro-arabes.
Après tout, ce sont les Berbères, dans lesAurès et dans les Kabylies, qui les premiers, en 1954, et le plus durement, levèrent contre la domination française l'étendard de l'islamo-nationalisme algérien. Le plus célèbre chef harki, le bachaga Boualem, était arabe, comme la grande majorité des supplétifs musulmans de l'armée française. Ironie de l'histoire, ce sont maintenant les Arabes qui moquent les Kabyles sous le surnom, naturellement injurieux à leurs yeux, d'Hezb Franca, le " parti de la France ". Et les Berbères qui appellent à présent les Français au secours contre le colonialisme arabo-islamique... Défense de rire ! Sérieusement, ce ne sont plus nos affaires maintenant, messieurs les Algériens, vous avez assez voulu être indépendants pour que vous vous régaliez entre vous de vos épineuses questions de coexistence ethnique. La France n'est plus abonnée, Allah merci, au numéro que vous appelez.
J'entends constamment des Algériens formuler des requêtes, décocher des reproches à l'endroit de l'État et du peuple français. Je n'ai jamais entendu une seule voix algérienne adresser, je ne dis pas des remerciements pour tout ce que la France n'a cessé de faire en faveur de l'Algérie et de ses ressortissants, mais pour reconnaître au moins que les Algériens bénéficient d'avantages dont, par exemple, aucun Français ne risque de profiter en Algérie... Or non seulement il n'y a pas l'ombre d'une reconnaissance de ce type mais, au contraire, on manifeste de la haine à notre égard, quand l'occasion se présente. J'étais le 6 octobre 2001 au Stade de France, devenu pour un triste soir " stade d'Algérie " et j'y ai vécu les scènes d'hystérie collective violemment antifrançaise et anti-occidentale, parmi un public à 95 % algérien (sûr de lui et dominateur - mais pas d'élite... ). Rien ne peut excuser cette énorme gifle appliquée au pays hôte mais rien, non plus, ne peut plus excuser les Français qui ne veulent pas voir que plus on fait de bien aux Algériens, plus ils nous veulent du mal.
Peut-être est-ce une façon paradoxale de cacher le fait capital qu'ils n'ont aucune légitimité à s'incruster chez nous ?
Comment reagir?????????????
C'était en 1962. Nous sommes en 2003, presque deux générations se sont écoulées et la plupart des Algériens font toujours omme si le cordon ombilical n'avait pas été coupé entre l'ancienne métropole et ses départements nord-africains. Mieux, certains Algériens, les Kabyles pour les citer, voudraient que la France revienne en Algérie pour " empêcher le génocide des Berbères par les Arabes ". Ça, c'est la meilleure !
Comme si cela nous regardait ! Il nous a fallu supporter, en plein Paris, ces militants kabyles en costumes traditionnel vociferant, injuriant, trépignant parce que ''les français veulent rien faire en Kabylie''! Vous vous trompez d'adresse, dames berbères, pétionnez à la ligue arabe, à l'organisation de l'Unité Africaine, aux Nations Unies! La France a quitté votre galère où vous lui avez donné tant de mal, elle ne risque pas d'y revenir, pour se bruler les doigts à vos cent querelles intestines. D'autant plus qu'à peine y aurait-elle posé le pied, la malheureuse France, que vous lui reprocheriez son ingérence, vous vous retourneriez contre elle au nom de l'unité islamique 'agressée' ainsi que ce fut le cas chaque fois que les français voulurent se meler, pour calmer , des sanglantes scènes de mémage bèrbèro-arabes.
Après tout, ce sont les Berbères, dans lesAurès et dans les Kabylies, qui les premiers, en 1954, et le plus durement, levèrent contre la domination française l'étendard de l'islamo-nationalisme algérien. Le plus célèbre chef harki, le bachaga Boualem, était arabe, comme la grande majorité des supplétifs musulmans de l'armée française. Ironie de l'histoire, ce sont maintenant les Arabes qui moquent les Kabyles sous le surnom, naturellement injurieux à leurs yeux, d'Hezb Franca, le " parti de la France ". Et les Berbères qui appellent à présent les Français au secours contre le colonialisme arabo-islamique... Défense de rire ! Sérieusement, ce ne sont plus nos affaires maintenant, messieurs les Algériens, vous avez assez voulu être indépendants pour que vous vous régaliez entre vous de vos épineuses questions de coexistence ethnique. La France n'est plus abonnée, Allah merci, au numéro que vous appelez.
J'entends constamment des Algériens formuler des requêtes, décocher des reproches à l'endroit de l'État et du peuple français. Je n'ai jamais entendu une seule voix algérienne adresser, je ne dis pas des remerciements pour tout ce que la France n'a cessé de faire en faveur de l'Algérie et de ses ressortissants, mais pour reconnaître au moins que les Algériens bénéficient d'avantages dont, par exemple, aucun Français ne risque de profiter en Algérie... Or non seulement il n'y a pas l'ombre d'une reconnaissance de ce type mais, au contraire, on manifeste de la haine à notre égard, quand l'occasion se présente. J'étais le 6 octobre 2001 au Stade de France, devenu pour un triste soir " stade d'Algérie " et j'y ai vécu les scènes d'hystérie collective violemment antifrançaise et anti-occidentale, parmi un public à 95 % algérien (sûr de lui et dominateur - mais pas d'élite... ). Rien ne peut excuser cette énorme gifle appliquée au pays hôte mais rien, non plus, ne peut plus excuser les Français qui ne veulent pas voir que plus on fait de bien aux Algériens, plus ils nous veulent du mal.
Peut-être est-ce une façon paradoxale de cacher le fait capital qu'ils n'ont aucune légitimité à s'incruster chez nous ?
Comment reagir?????????????
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