Pour aiguiller tout le monde. J'ai deux enfants universitaires (en france) disposent de 900 € par mois et en plus boursiers. Ils s'en sortent, pas plus; et en travaillant l'été.
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En dix ans, plus de 40 000 chercheurs Algériens ont quitté le pays
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Si un jour j'ai un fils
.... ca sera un plombier
.... pas besoin d'etudier
J'ai une fille a l'université, je lui ai suggeré de faire plombière, mais elle ne veut rien savoir. Je lui ai suggeré de se marié et de rester tranquille, elle me parle de répartition des taches ménagères etc... etc..
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C'est possible avec les fils, mais que ferais tu avec les filles ?
J'ai une fille a l'université, je lui ai suggeré de faire plombière, mais elle ne veut rien savoir. Je lui ai suggeré de se marié et de rester tranquille, elle me parle de répartition des taches ménagères etc... etc..
Une fille c'est plus complique
.... mais si elle est belle et pas conne
.... elle saura se demerder
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@ Walid
Je suis tout à fait d'accord sur ton analyse,mais j'essayais d'attirer l'attention sur des idees preconsues souvent trés fausses. Je pense qu'il est important d'expliquer le bon comme les mauvais cotés de la recherche française. S'il est vrai qu'il est "meilleur" que celui qui existe en Algérie, à l'heure actuelle, il n'en reste pas moins, que le système de la recherche française souffre énormément...
L'Algérie perd ses chercheurs, mais en France, on commence aussi par voir cela de plus en plus : de la promo que j'étais : j'etais la seule "émigrée" et la seule qui soit rester sur le territoire français , tous les autres français de souche n'ont pas eu à choisir : ils ont du s'exiler aux USA ,sinon c'etait le chômage qui les attendait !
Les directeurs de labo se plaignent, mais c'est une situation ,qui devient de plus en plus fréquente .........Alors après on peut parler de racisme, mais plus la vie devient dure en France, plus les français se sentiront rejetes, et oui, ils joueront le jeu de la discrimination. Si elle existe oui, et ils en parlent à voix hautes !
Tous les labos , pour qui j'ai travaille : j'ai eu l' "honneur" d'etre la premiere etrangere (non francaise) et on te le repète souvent !
Mais les gens ne sont pas racistes ! ils ont peurs, et quand la peur disparait cela donne de chouettes collaborations avec des labos algeriens ....Si tu donnes un poisson à un homme : il s'en nourrit une fois;
Si tu lui apprends à pécher : il s'en nourrit toute sa vie.................
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Boréal
Ce walid ne connait rien ni à la recherche, ni à l'algérie. C'est à se demander s'il est vraiment dz, mais bon là n'est pas le débat.
OUI, les bourses de 3éme cycle s'attribuent au mérite. Je ne sais pas quels sont les financement aujourd"hui. Mais dans les années 70 et début des années 80, les finacements étaient algériens. Et tout le monde, une fois le 2eme cycle achevé obtenait une bourse. Le mérite envoayait ces étudaints aux US .................jusqu'à la bulgarie.
Au milieu des années 80, ce sont des concours nationaux qui étaient oragnisés. Les bourses étaient mixtes. Et avant de partir les étudiants qui ont réussi le concours passaient devant des commissions composé de prof français pour orienter les étudiants. C'est pour valider le choix des labo. Bcp d'etudiants n'ont pu aller aux labo de leur choix malgré une acceptation en pré-inscription. On tenait compte aussi des besoins des labo français. Et ce type d'étudiant etait trés prisé. Pas de pb de financement pour labo d'accueil.
Les étudiants sans bourse en 3eme cycle, commencent à affluer au début des années 90. Et la il sont de divers horizons. Comme tu le dis certains bossent à côté pour assurer leur fin de mois. Les autres sont aidés par leur famille.
Pour les premiers cycle, les quotas pour les diplomates je ne sais pas si ca existe. En tous les cas ce n'est pas le Ministère de l'éducation qui doit les gérer. En Algérie, aprés le bac on envoit les plus brillants (mention tres bien et dans certains cas mention bien) dans les plus grandes écoles françaises. Bcp se cassent les dents et reviennent au pays car plus de bourse en cas d'echec. Le niveau étant trés elevé.
Mais tous ces cas, trés peu reviennent au pays à l'exception des années 70 et début des années 80. Pour clore le sujet de ce post qui est 40000 chercheurs.......
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bonjour Salmonella
Je suis tout à fait d'accord sur ton analyse,mais j'essayais d'attirer l'attention sur des idees preconsues souvent trés fausses. Je pense qu'il est important d'expliquer le bon comme les mauvais cotés de la recherche française. S'il est vrai qu'il est "meilleur" que celui qui existe en Algérie, à l'heure actuelle, il n'en reste pas moins, que le système de la recherche française souffre énormément...
L'Algérie perd ses chercheurs, mais en France, on commence aussi par voir cela de plus en plus : de la promo que j'étais : j'etais la seule "émigrée" et la seule qui soit rester sur le territoire français , tous les autres français de souche n'ont pas eu à choisir : ils ont du s'exiler aux USA ,sinon c'etait le chômage qui les attendait !
Mais quel est le profil des gens qui ont la capacité et les moyens pour s’exiler ?
En Australie, au Etats-Unis, et en Angleterre, etc… Il existe des agences chargés par les universités d’opérer à des recrutements à l’étranger certaines universités disposent même de leur propre service.
Dans un monde hyper concurrentiel seul les meilleurs chercheurs intéressent les étrangers ils n’ont aucun intérêt à venir recruter le petit thésard qui vient juste de décrocher son doctorat ou un chercheur lambda, car beaucoup de gens et les médias font croire que la recherche va délocaliser en masse et ne rien laisser en France. Les recruteurs étrangers sont de véritable chasseur de tête prêts à mettre la somme qu’il faut pour "acheter" l’élément qu’ils leurs ouvrira les portes du savoir. C’est ce qui oblige l’état français, et les bailleurs de fond privés à monter la mise pour garder leurs meilleurs éléments. Donc dire que les salaires peuvent aller au-delà des 10 000 € et comprendre des avantages matériels ce n’est absolument pas fantaisiste. La recherche française à encore de beau jour devant elle mais elle aime crier vite au feu au feu car elle voit le danger arriver à grand pas.
Les directeurs de labo se plaignent, mais c'est une situation ,qui devient de plus en plus fréquente .........Alors après on peut parler de racisme, mais plus la vie devient dure en France, plus les français se sentiront rejetes, et oui, ils joueront le jeu de la discrimination. Si elle existe oui, et ils en parlent à voix hautes !
Tous les labos , pour qui j'ai travaille : j'ai eu l' "honneur" d'etre la premiere etrangere (non francaise) et on te le repète souvent !
Mais les gens ne sont pas racistes ! ils ont peurs, et quand la peur disparait cela donne de chouettes collaborations avec des labos algeriens ....
Au plaisir de te relire !!!!
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Pour augustin
Ce walid ne connait rien ni à la recherche, ni à l'algérie. C'est à se demander s'il est vraiment dz, mais bon là n'est pas le débat.
OUI, les bourses de 3éme cycle s'attribuent au mérite. Je ne sais pas quels sont les financement aujourd"hui. Mais dans les années 70 et début des années 80, les finacements étaient algériens. Et tout le monde, une fois le 2eme cycle achevé obtenait une bourse. Le mérite envoayait ces étudaints aux US .................jusqu'à la bulgarie.
Au milieu des années 80, ce sont des concours nationaux qui étaient oragnisés. Les bourses étaient mixtes. Et avant de partir les étudiants qui ont réussi le concours passaient devant des commissions composé de prof français pour orienter les étudiants. C'est pour valider le choix des labo. Bcp d'etudiants n'ont pu aller aux labo de leur choix malgré une acceptation en pré-inscription. On tenait compte aussi des besoins des labo français. Et ce type d'étudiant etait trés prisé. Pas de pb de financement pour labo d'accueil.
Les étudiants sans bourse en 3eme cycle, commencent à affluer au début des années 90. Et la il sont de divers horizons. Comme tu le dis certains bossent à côté pour assurer leur fin de mois. Les autres sont aidés par leur famille.
C’est comme Safyo ou Mockba qui t’insulte au lieu de donner des arguments je ne pense pas que ce soit une comportement louable. Mais bref ce n’est pas très grave.
Revenons à nos moutons le problème des 40 000 chercheurs datent depuis les 10 dernières années c’est à dire depuis 1996 jusque 2006 nous sommes bien d’accord.
Alors bon sang de bon soir pourquoi tu me parles des années 70 et des années 80 pour les comparer avec mes propos qui concerne le présent actuel en 2006. Depuis 1970, 36 ans se sont écoulés et depuis 1980 cela fait 26 ans comment veux tu comparer deux périodes incomparables. Tu es dans le hors sujet le plus total moi je te parle des conditions d’études et de recherche en 2006 et toi tu parles de celles des années 70 et 80.
Bon je te dis à bientôt en attendant de te relire sur la situation présente.
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@walid
Bonjour Augustin je te demande avec respect
- c'est que tu ne connais rien à la réalité du pays
- Bref Safyo tu ne sembles pas connaître les règles de la décence
- Les gens qui pense que le PNDA est une réussite et même ceux qui pensent le contraire vont hurler de rire en te lisant moi j’en ai les larmes au yeux, un conseil efface vite ton post
- nous sommes dans une phase de production et de surabondance mon dieu qu’est ce qui ne faut lire ou entendre
- Safyo la prochaine évite de te prononcer sur des sujets que tu ne maîtrises
- C’est triste je ne comprends pas ce qui te pousse à t’entêter de cette manière
- c’est dramatique d’en arriver là
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Bauréal
Rappelons que l’obtention du visa pour poursuivre un troisième cycle en France est soumise à une inscription (dépôt d’une attestation de préinscription à l'ambassade puis d'une attestation d’inscription (via le certificat de scolarité) pour l’obtention du titre de séjour à la préfecture). Il me semble que dans la mesure où un directeur de recherche atteste qu’une personne est apte à suivre un troisième cycle et qu’une Université française accorde une équivalence…C’est que le niveau du postulant est suffisant pour suivre ce cursus. (Le étudiants français devant remplir les mêmes conditions).
Par ailleurs, les ministres, les walis et les hauts fonctionnaires sont loin d’être les plus riches de nos concitoyens. Si mes souvenirs sont bons le Premier ministre touche 140 000 Da de salaire, c’est-à-dire 1400 euros….Ce qui est loin d’être l’Eldorado.
Ce que je veux dire c’est qu’un fils de riche, à plus de chance d’aller faire ses études à l’étranger qu’un fils de fellah. Et même un fils de ministre ou de walis qui n’a pas de bourse serait obligé de travailler pour pouvoir étudier.
Oui mais dans la plupart des cas, ce ne sont plus les parents qui financent les études des enfants l’étranger ; ce sont des étudiants qui font quelques économies en étant en Algérie et qui continuent à travailler très dur parallèlement à leurs études. Combien j’ai rencontré de doctorants travaillant 2 à trois nuits par semaine en tant que veilleurs de nuit dans les hôtels, dans le télémarketing, combien de généralistes, voir de spécialistes qui officiaient courageusement en tant qu'infirmier en attedant de passer les concours……etc.
Donc comme je l’ai dis l’étudiant doit trouver un emploi sinon c’est fini pour lui. Mais la solidarité existe car beaucoup de gens ont de la famille ici en France un frère, une sœur, un oncle, une tante etc… Qui peuvent faire en sorte d’améliorer le quotidien.
Quant aux bourses, hormis les enfants de diplomates (et sous condition car c’est un statut particulier et des bourses spécifiques du Ministère) ; les bourses aujourd’hui en Algérie sont données surtout par ordre de mérite et leur reconduction est soumise à la réussite ou à l’échec de l’étudiant durant l'année. Je le dis en toute sérénité, parce que durant mes études en France, j’en ai rencontré des dizaines…..Et franchement, je ne peux rien dire d'autre que :"ils le méritaient" (et énormément de ses personnes venaient de l'intérieur du pays).
Bauréal je dis simplement que les plus riches ont plus de chance je ne dis pas que ce sont les plus nuls, certains comme tu le dis sont très brillant, je dis simplement qu’il y a beaucoup d’injustice beaucoup de gens ont du talent mais ils sont mis à l’écart certains réussissent à aller à l’étranger mais souvent leurs études sont compromissent faut de moyen et de complication financières. Je dis simplement que nos moyens ne sont pas exploités à fond ou à un niveau appréciable.
Combien retournent-ils au pays pour apporter leurs savoir faire dans la technologie, la finance, l’agriculture, etc… Beaucoup de nos jeunes partent à l’étranger mais combien reviennent au bercail ??? Très très peu malheureusement !!!!
Cordialement WalidDernière modification par walid_dz, 04 juin 2006, 01h14.
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