Identification des compétences algériennes à l'étranger.

[djamal 2008]

E soual aldhi yetrah nafssahou:

Non moi et toi et tout algérien n'est pas libre; nous sommes guidés et sous le joug des services secrets français avec des traitres parmi nous servant de relais.

La cinquième colonne fait en sorte de stopper tout développement dans le pays; Aussi ça se trouve que nos services sont très conscients de ce fait et essaient de palier la situation.

La presse même est au service de la France et la francophone surtout. Comme celui qui ne rate aucune occasion de se plaindre du traitement des chrétiens en Algérie.

Si un jour je veux changer de religion; ça sera ma famille qui s'opposera et non une organisation quelconque.

[okba30]

djamal,
Quand même 50 ans plus tard c'est un peu beaucoup non!
Remarque, la France c'est loin d'être bénigne.

[djamal 2008]

Si nous étions maîtres de nos décisions, ces algériens seront restés en Algérie et d'autres les auraient rejoint ici-même.

Il n'y pas pire que celui qui se croit libre. Car nous sommes pas libres de développer des start-up et c'est pourquoi ils nous rendent visite en Algérie qui n'est même pas capable d'informatiser la carte d'identité comme le fait le Zimbabwé.

[mouwatan]

chez les autres, l'union fait la force

@ zwina: En Algérie, il ne faut jamais être pressé mais être là au bon moment, au bon endroit et surtout éviter tous les chacals et autres escrocs qui ne manqueront pas de te mettre des bâtons dans les roues pour tenter de te piquer ton projet

le délit d'initié est un délit pratiqué matin et soir, la nuit, le jour de l'aïd et les vendredis: le préposé à la banque, le transitaire, le douanier et que sait-je encore peut fourguer à son copain toutes les infos concernant tes activités commerciales: ton fournisseur, ta source, tes prix, ton mode de paiement, tout ce que tu as importé et surtout ce que tu comptes importer

donc, rester vigilant, oui, mais notre système étant totalement perméable et plein de failles, bonjour les dégâts.

@ zwina: Ca ne veut pas dire que ceux de l'extérieur soient plus compétents que ceux de l'intérieur, ça veut simplement dire que c'est en s'unissant que l'Algérie avancera.

tout à fait d'accord; mais il y a ceux de sillicon valley que le "pouvoir" chouchoute et pour lesquels il étale le tapis rouge et il y a les "locaux" qui sont royalement ignorés.
un pouvoir "un peu intelligent" aurait vite compris que c'est à partir d'une communion entre les 2 entités que le meilleur est à espérer.
mais comme ce n'est pas le cas ....
c'est à nous d'établir des passerelles

@ scootie: Je continue donc, bon gré malgré, à y croire et à m'accrocher, tout en constatant que les difficultés sont immenses, que la notion du temps en algérie est très relative, et surtout surtout, que l'intérêt individuel continue à supplanter l'intérêt collectif.

tout à fait vrai: la notion de temps ......
ça fait exactement 4 mois que le ministre des TIC a annocé que l'Algérie avait opté pour la 3G en matière de téléphonie mobile.
on est le 6 décembre et .....
on a parlé de "Ousratic", 1 pc par foyer, qui veut dire 1 ligne téléphonique par foyer: le taux de pénétration du câble téléphonique est nettement en retard par rapport au projet, bien au contraire ... ceux qui avaient le fixe ont de plus en plus de pb pour se connecter, à cause de la saturation et du retard dans les nouvelles réalisations
vous allez à l'actel demander 1 débit de 1MB, on vous dit: pas si votre indicatif commence par tel ou tel chiffre .....????!!!!
la liste est longue

[djamal 2008]

Tant qu'il y a du pétrole ils ne feront qu'importer c'est du gain facile; surtout que ces responsables sont en train de convertir leurs fortunes en devises et les placent dans les banques étrangères; La solution pour leurs enfants est d'obtenir les papiers et l'éducation en Europe ou bien une fois les études terminées en Algérie les enfants s'installe en Europe ou en Silicone Valley for that matter. Le développement de l'Algérie s'est le moindre de leur soucis il en ont rien à cirer. La faute est two-pronged les responsables s'en foutent et les citoyens font de même.

Il faut commencer par une étude sociologique en premier; parce que la voie amorcée ne vas pas aboutir.

La question serait est-ce que l'Algérie vous tien au coeur, ou bien c'est le gain facile qui vous pousse. Mais cette approche requiert des hommes et femmes qui sont prêts a se sacrifier. Israël est un cas d'école. En 50 ans regardez le progrès.

Ici en Algérie tout le monde veut en fait fuir ce pays; il y a un problème de l'ordre social.

[Sidib]

Devant cette triste réalité que décrivent certains, doit-on tourner le dos à l'Algérie? Ne doit-on pas essayer, ne serait-ce qu'essayer d'entreprendre certaines initiatives, même si le chemin est semé d'embuches?
Si une compétence sur cent réussit, je dirai c'est bien avec l'espoir de voir 2 pour cent, puis 3 et pourquoi pas, un jour, un taux de réussite élevé.

Il me semble qu'adopter une position de spectateur ne profite à personne. Pire, elle profite à ceux que vous avez décrits, en ayant le terrain libre rien que pour eux. Ils peuvent même oser dire: les compétences algériennes se trouvant à l'étranger ne sont pas intéressées par l'Algérie. Ca vous fera certainement mal, mais vous ne pourrez justifier votre "inertie".

Essayer d'oeuvrer dans la bonne voie et dénoncer les pratiques mafieuses porteront le fruit tôt ou tard. De bonnes actions, voire des révolutions ont eu lieu grâce à la solidarité par internet. Autant dire qu'il existe de nos jours, des moyens pour faire pencher la balance du bon côté. Qui ne tente rien n'a rien, dit l'adage.

[Arbefracom]

Oué djamala 2008 mais l'Etat sioniste avait un atout de poids... le soutien économique inconditionnel des occidentaux et tu sais très bien que les juifs sont dans tous les secteurs clés (économie, politique, médias...). Ce n'est pas l'antisémitisme c'est un constat neutre.

Pour en revenir au sujet, il y a eu pleins de déclaration de la part de l'Etat, mais rien de concret. Les cerveaux algériens à l'étranger ne peuvent pas faire grand chose si le pouvoir ne fait rien pour les attirer. Pourtant ce n'est pas les compétences qui manque.

[djamal 2008]

Bon Israël est un cas spécial comme vous dites; prenons et suivons l'exemple de la Turquie, vous me direz c'est un membre de l'OTAN et il reste la Corée du sud et la Malaisie et bien d'autres nations.

Peut-être que le succès viendra après que les pays maghrèbins règlent leur différents et s'unissent pour devenir plus efficients en matière de diplomatie et rapports avec l'extérieur.

En somme avoir quelques cerveaux en Silicon Valley ne veut pas dire que cela nous sortira du marasme.


Il faut réduire la TVA en passant pour les produits informatiques et appliquer cette technologie au système bancaire en faisant usage de crédit cartes par exemple; il faut aussi informatiser tous les documents d'identification cad utiliser plus d'ingénieurs sortis de l'université et centres de formation.

Aussi faire impliquer les compagnie privées et étatiques dans les projets de developpement et ne pas laisser seulement le ministère de l'Education supérieure qui n'a ni l'encadrement ni le savoir faire en matière de devlloppement.

Efin un travail doit être entrepris en concert avec plusieurs organismes plus efficient que notre ministère.

[Avucic]

Je viens de regarder un reportage qui en somme dit ceci:
Avec la thecnologie d'Information et les contacts constant des gouvernements avec leurs représentants à l'étranger (comprendre les anbassage) le moment est venu pour éliminer 90% du personnel (à l'étranger).

Ainsi les pays n'ont pas besoin de beaucoup de monde pour les représenter à l'étranger.

Et j'arrive à cette décision de ficher les cerveaux algériens à l'étranger.

Je suis cynique, mais connaissant notre système bureaucratique, je soupçonne que c'est là un stratagème qui permettra de créer des poste juteux ... qui seront comme d'habitude, distribués aux amis des détenteur du pouvoir!

[Avucic]

Ici en Algérie tout le monde veut en fait fuir ce pays; il y a un problème de l'ordre social.

Moi je dirai qu'en plus du social ajouter politique.

[Sidib]

600 chercheurs algériens établis à l’étranger : 2e rencontre nationale des chercheurs algériens établis à l'étranger sur le développement des technologies de pointe

600 chercheurs algériens dans différents domaines de la recherche scientifique et technologique, dont la compétence est mondialement reconnue, sont établis à l'étranger, a indiqué hier à Alger le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Hafidh Aouragh.


L’Algérie dispose actuellement d'un "véritable" réseau de chercheurs dans le monde capables de contribuer considérablement aux efforts de développement et sont disposés à "offrir leurs services dans les domaines scientifique et technologique en collaboration avec leurs collègues en Algérie", a affirmé M. Aouragh dans une déclaration à la presse en marge de la deuxième rencontre avec les chercheurs algériens établis à l'étranger sur "le développement des technologies de pointe". Il existe, selon la même source, "une nouvelle dynamique" en matière de recherche scientifique avec pour objectif l'établissement de "relations solides" entre les chercheurs algériens résidant à l'étranger et leurs homologues en Algérie par le biais de projets communs. Ces projets qui intéressent tous les domaines civils et militaires étaient "importants et stratégiques", a-t-il souligné. Après avoir affirmé que les compétences algériennes établies à l'étranger étaient disposées à travailler en Algérie et à transférer leurs connaissances et leurs expertises, M. Aouragh a précisé que les parties en charge de la recherche scientifique et du développement technologique avaient institué des mécanismes par la promulgation de décrets présidentiels qui confèrent un intérêt particulier au chercheur algérien qu'il soit dans le pays ou à l'étranger.
“Le chercheur algérien résidant à l'étranger, a-t-il poursuivi, présente ses projets de recherche contre une rétribution financière, ce qui est normal, à notre sens”, a-t-il dit.

Le Pr Kamal Youcef Toumi, de l'université américaine du Massachusetts, a, pour sa part, relevé l'importance de travailler avec les compétences algériennes établies à l'étranger y voyant "une reconnaissance" de ces compétences et de leurs efforts reconnus mondialement. Ce partenariat s'opérera, selon lui, par le biais d'institutions, de sociétés et de centres de recherche spécialisés, précisant que cet investissement dans la science et la connaissance était "le baromètre qui permet de mesurer le développement des peuples". Pour ce chercheur algérien dans le domaine du génie mécanique spécialité robotique, l'établissement de liens de partenariat et de coopération entre les chercheurs algériens à l'intérieur et à l'extérieur du pays est très important, et c'est ce qu'entreprennent actuellement les autorités algériennes.
M. Toumi a, dans ce cadre, fait part de son entière disponibilité à coopérer avec ses collègues en Algérie par le biais de projets communs. Il a qualifié une telle entreprise de "normale" dans le cadre des dispositifs et mesures incitatives et encourageantes pour la recherche scientifique et le développement technologique contenues dans la loi 98-11.

La diaspora algérienne à l’honneur
Tout un dispositif législatif et réglementaire a été mis en place en vue d'organiser la recherche scientifique et valoriser ses résultats.
«L’Algérie dispose d'un réservoir important de jeunes chercheurs qu'il faut prendre en charge pour relever le défi du développement du pays», a déclaré hier à Alger la ministre déléguée chargée de la Recherche scientifique, Mme Souad Bendjaballah, à l'ouverture des travaux de la 2e rencontre nationale des chercheurs algériens résidant à l'étranger organisée par le ministère de la Défense nationale avec la communauté scientifique nationale à l’étranger.
Cette rencontre qui a pour thème «Développement des nouvelles technologies» a pour objectif de promouvoir la coopération effective dans les domaines ayant trait à la recherche scientifique et au développement des nouvelles technologies. Lors de son allocution, Mme Bendjaballah a mis l'accent sur l'importance d'une telle initiative, saluant la présence d'un panel de chercheurs algériens évoluant à l'étranger.
«Votre présence atteste de l'attachement que vous avez envers votre pays, l'Algérie, et cela nous permet de conjuguer nos efforts pour relever le défi, qui est celui de bâtir une économie basée sur la connaissance et le savoir», a-t-elle souligné à l'adresse des participants.
Rappelant la loi 98/11 qui a érigé la recherche scientifique en priorité nationale et à laquelle 1% du PIB a été consacré, la ministre déléguée a insisté sur la nécessité de fédérer les compétences nationales pour le bien et l'intérêt du pays.
Pour ce faire, Mme Bendjaballah a expliqué que «tout un dispositif législatif et réglementaire a été mis en place en vue d'organiser la recherche scientifique et valoriser ses résultats».
Pour sa part, le Pr Adi Kamel, de l'université de Québec, a souligné l’importance d'investissement dans le domaine de la sécurité informatique qui, selon lui, constitue un enjeu stratégique national. Dans sa conférence intitulée “La virologie informatique : du biologique au numérique”, le Pr Adi a indiqué que dans le domaine militaire, la cyber guerre est devenue une réalité, mettant l'accent, notamment sur l'utilisation massive de l'informatique dans les systèmes d'armement.
Il a fait savoir que “tout peut être attaqué aujourd'hui”, citant plus particulièrement les attaques contre les systèmes de contrôle ferroviaire pouvant provoquer des déraillements de trains, ainsi que le brouillage des lignes aériennes pouvant empêcher les avions de décoller ou encore l'attaque des serveurs de banques et l'explosion des pipelines.
Il a fait état d'une trentaine de pays qui disposent déjà d'unités militaires de cyber guerre, relevant que la Chine aspire à devenir, d'ici à 2050, la première puissance cyber militaire du monde.
Il a rappelé que «l'Otan avait classé, dans sa déclaration de novembre 2010 à Lisbonne, les cyberattaques dans la même catégorie que le terrorisme et la cybercriminalité».
M. Adi a observé, en outre, que 95% des entreprises piratées disposent déjà de protections, sachant que chaque mois, il y a un nouveau virus informatique. Selon l’orateur, la menace est réelle et grandissante. En effet, a-t-il dit, le nombre de vulnérabilités informatiques qui était de 171 en 1995 a atteint le chiffre record de plusieurs milliers en 2011.
«La solution réside dans la maîtrise de la technologie de la virologie informatique qui est, donc, un impératif stratégique», a-t-il expliqué.
Il y a lieu de relever que ces assises de trois jours s’inscrivent dans le cadre de la poursuite du travail entrepris lors d'une première rencontre tenue en 2009.
Cette rencontre, à laquelle collabore le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, se veut un espace de réflexion, d’échange d’expériences dans le domaine technologique et un débat sur les problématiques du développement et des technologies de défense à court et à moyen termes.
Plusieurs thèmes seront développés à cette occasion qui se rapportent notamment aux systèmes mécaniques, au génie de programmation, à l’intelligence artificielle, ainsi que d’autres axes liés aux préoccupations de la défense.
Wassila Benhamed/El Moudjahid d'aujourd'hui 07.12.11.

[Megane]

SidiB Bonsoir,

Je suis plutot de l'avis de ceux qui pensent que l'Algérie est dans une situation ou il est impossible d'avancer.
Je connais aussi des gens qui ont essayé d'amorcer des projets, notamment dans le domaine de la recherche, malheureusement le manque de professionnalisme et la corruption qui gangrène toute l'Algérie à tous les niveaux, a été un frein contre l'aboutissement de leurs efforts.

Que faire?
Je dis que ca ne sers à rien d'arroser un arbre, si ses racines sont pourries.

La médiocrité et la corruption se sont tellement généralisées chez nous, que si tu fais ton travail normalement avec sérieux on te prend pour un imbécile.
Il y a deux devises seulement, vole qui peut et sauve qui peut, tout le monde trouve normal de ne pas faire son travail et de profiter de son poste pour satisfaire sesintérêts personnels, sans aucune conscience ou remord.
Personne ne pense à l'intérêt du pays, des plus modestes au plus hauts placés, tous dans le même sac, on endort les gens comme on peut et ca marche...

[Sidib]

Je suis plutot de l'avis de ceux qui pensent que l'Algérie est dans une situation ou il est impossible d'avancer.
Je connais aussi des gens qui ont essayé d'amorcer des projets, notamment dans le domaine de la recherche, malheureusement le manque de professionnalisme et la corruption qui gangrène toute l'Algérie à tous les niveaux, a été un frein contre l'aboutissement de leurs efforts.

Que faire?
Je dis que ca ne sers à rien d'arroser un arbre, si ses racines sont pourries.

La médiocrité et la corruption se sont tellement généralisées chez nous, que si tu fais ton travail normalement avec sérieux on te prend pour un imbécile.
Il y a deux devises seulement, vole qui peut et sauve qui peut, tout le monde trouve normal de ne pas faire son travail et de profiter de son poste pour satisfaire sesintérêts personnels, sans aucune conscience ou remord.
Personne ne pense à l'intérêt du pays, des plus modestes au plus hauts placés, tous dans le même sac, on endort les gens comme on peut et ca marche...

Bonsoir Mégane.
Je ne partage pas ton avis.

L’être humain est doté d’intelligence, ce qui lui permet d’avancer dans toutes les situations, aussi périlleuses soient-elles.

L’Algérie est sortie vainqueur de la tourmente du terrorisme et de l’obscurantisme, grâce à des hommes et des femmes qui aiment leur patrie. C’est là une preuve que les racines de l’arbre Algérie ne sont pas pourries.

Quand je parle, je préfère ne jamais généraliser. Il est vrai qu’il y a des opportunistes sans scrupule aucun qui ne cherchent que leurs intérêts personnels. Nous le savons tous. Seulement, il ne faut pas oublier qu’il y a également ceux qui sont intègres et loyaux, qui se sacrifient dans leur travail quotidien. D’abord par acquis de conscience parce qu’ils sont nourris d’une bonne éducation et, ensuite, par amour pour cette Algérie en laquelle ils croient et espèrent être un pays prospère pour leurs enfants.
Par ailleurs et au risque de me répéter, je dis qu’il faut se battre contre ces "méchants" au lieu de fuir. Il faut dénoncer leurs pratiques au lieu de se taire. Bref, il faut être constamment présent et actif pour le bien au lieu de se cantonner quelque part et parler avec la manière qui ne rapporte pas pour ne pas dire stérile.
Nos parents se sont sacrifiés pour voir l’Algérie indépendante et je trouve inadmissible que nous, leurs enfants, la fuient et la délaissent pour en faire le bonheur d’une bande de charognards. Je crois que nous n’avons pas le droit de le faire.

[Scootie]

Seulement, il ne faut pas oublier qu’il y a également ceux qui sont intègres et loyaux

Ce sont les plus malheureux car ils comprennent très bien les abysses dans lesquelles la majorité les a plongés, contraints et forcés !!

[mouwatan]

@ sidib: Nos parents se sont sacrifiés pour voir l’Algérie indépendante et je trouve inadmissible que nous, leurs enfants, la fuient et la délaissent pour en faire le bonheur d’une bande de charognards. Je crois que nous n’avons pas le droit de le faire.

tout à fait d'accord.

mais avoue que nous avons les mains liées par un système pourri.


bonne journée, le boulot m'appelle