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Ghardaïa abrite depuis avant-hier un atelier international placé sous le thème de “Désertification et développement durable” et ce, pendant deux jours.
Cette initiative entre dans le cadre de la commémoration de la Journée mondiale de l’environnement que l’Algérie s’honore de célébrer après le choix arrêté par le programme des Nations unies pour l’environnement.
Ouvert par le SG du ministère de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement, cet atelier a réuni une belle brochette d’experts nationaux et étrangers qui se sont succédé pour des interventions concises, mais pertinentes sur des questions touchant à l’environnement. M. Eric Falt du Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue) a parlé de “la convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification : contraintes et perspectives de mise en œuvre”. D’autres sujets d’importance ont été exposés au public : “La surveillance et l’évaluation de la dégradation des terres dans la région arabe”, “La route transaharienne”, “La lutte contre la désertification en Algérie : situation actuelle et perspectives”, “Les ressources en eau souterraines au Sahara : gestion et impact sur l’environnement”, “Coopération algéro-italienne en matière de lutte contre la désertification”, “Le projet Sahara”… En tout, c’est plus de vingt interventions qui informaient et interpellaient les consciences sur le phénomène de la désertification et sur les dangers qui en découlent et qui peuvent être funestes s’ils ne sont pas pris au sérieux et à bras le corps. Quant à M. Chérif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement qui est, rappelons-le, président de la fondation Déserts du Monde et porte-parole honoraire de l’ONU pour l’Année internationale des déserts et de désertification, il plaide avec hargne, dans son message transmis à l’occasion, pour l’adoption du projet de charte des déserts du monde pour enfin “redonner espoir à des millions de personnes vivant dans les espaces arides…”
- Liberté
Cette initiative entre dans le cadre de la commémoration de la Journée mondiale de l’environnement que l’Algérie s’honore de célébrer après le choix arrêté par le programme des Nations unies pour l’environnement.
Ouvert par le SG du ministère de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement, cet atelier a réuni une belle brochette d’experts nationaux et étrangers qui se sont succédé pour des interventions concises, mais pertinentes sur des questions touchant à l’environnement. M. Eric Falt du Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue) a parlé de “la convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification : contraintes et perspectives de mise en œuvre”. D’autres sujets d’importance ont été exposés au public : “La surveillance et l’évaluation de la dégradation des terres dans la région arabe”, “La route transaharienne”, “La lutte contre la désertification en Algérie : situation actuelle et perspectives”, “Les ressources en eau souterraines au Sahara : gestion et impact sur l’environnement”, “Coopération algéro-italienne en matière de lutte contre la désertification”, “Le projet Sahara”… En tout, c’est plus de vingt interventions qui informaient et interpellaient les consciences sur le phénomène de la désertification et sur les dangers qui en découlent et qui peuvent être funestes s’ils ne sont pas pris au sérieux et à bras le corps. Quant à M. Chérif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement qui est, rappelons-le, président de la fondation Déserts du Monde et porte-parole honoraire de l’ONU pour l’Année internationale des déserts et de désertification, il plaide avec hargne, dans son message transmis à l’occasion, pour l’adoption du projet de charte des déserts du monde pour enfin “redonner espoir à des millions de personnes vivant dans les espaces arides…”
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