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Chrif kheddam tire sa révérence.

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  • #31
    at yerhem rebbi

    Je suis attristé. C'est une époque qui vient de s'achever. C'est vraiment une culture qui vient de prendre fin.

    Saurons nous, sans eux qui ont vu et vécu l'humiliation et la condition de sous humains, construire quelque chose de bien et de saint.

    Saurons nous nous solidariser et construire ensemble une société sereine et juste ?
    Rebbi yerrahmek ya djamel.
    "Tu es, donc je suis"
    Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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    • #32
      Un grand Monsieur qui s'en va...

      C'est triste
      Athyerhem rebbi
      Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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      • #33
        La vie continue
        Je ne comprend pas le but de cette intervention ?
        شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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        • #34
          Histo s'il ressemble à son avatar...il ya des chances qu'il ne comprenne pas grand chose à ce qu'il dit
          Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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          • #35
            La vie continue
            .................................................. .................................................. .........................

            et ta vie s’écroulera au décès de Zahouania....
            la « wilaya 3 », Kabylie, « la tête et la mère de toutes les wilayas ».

            Capitaine Alain de Sédouy

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            • #36
              Allah Yrahmou... Un monument !
              Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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              • #37
                Allah yerhmou

                Akyefk rabi El dajnaa ...

                Alzaiir inchallah Athlou....

                Laafou n'rbi ....aygma.

                In li Allah ou ina illyhi Rajinoun....

                Stanislas
                “If you think education is expensive, try ignorance”
                Derek Bok

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                • #38
                  Un morceau de notre culture, de nous même qui meurs..
                  allah yerahmou
                  On oubliera pas..
                  " Regarde le ciel c'est marqué dedans , toi et moi. Il suffit de regarder les étoiles et tu comprendra notre destinée "♥ღ♥
                  M/SR

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                  • #39
                    Chrif kheddam tire sa révérence.

                    l'Algérie vient de perdre son unique travailleur.
                    le DRS contrôle toute la Galaxie

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                    • #40
                      Paix à son âme.........................
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                      • #41
                        l'Algérie vient de perdre son unique travailleur.
                        faut il le prendre au premier degre
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #42
                          je ne vise pas l'artiste. paix à son âme.
                          le DRS contrôle toute la Galaxie

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                          • #43
                            c'est triste

                            alllah yerahmou

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                            • #44
                              Hommage dans El Watan

                              Hommage dans El Watan

                              La leçon du Kheddam

                              Par Ameziane Ferhan

                              Imaginez le fils d’un pauvre muezzin analphabète d’un petit village de Kabylie dans les années vingt. Un paysage de misère et de dur labeur où le pain paraît un luxe inouï.

                              Imaginez maintenant que son père l’envoie très jeune dans une zaouïa de la Soummam.

                              Imaginez encore qu’il apprend le Coran par cœur et éblouit les gens par ses psalmodies.

                              Imaginez-le, à 12 ans, obligé de se rendre à Alger pour devenir un Gavroche du colonialisme, manœuvre dans une entreprise de construction à Oued Smar.

                              Imaginez une dispute avec le patron, le renvoi et la seule perspective possible : l’émigration.

                              Imaginez le destin d’un ouvrier algérien de 20 ans dans la France de 1947, les cadences d’une fonderie puis les chantiers de peinture en bâtiment.

                              Jusque-là, l’imagination fonctionne aisément.

                              Mais là où elle s’enraye pour laisser place au plus grand étonnement et à une admiration encore plus grande, c’est quand on découvre que ce garçon-là se privait parfois de manger pour aller, le soir, épuisé jusqu’à la moelle, prendre des cours particuliers de solfège.

                              Il découvre la musique classique universelle, la grande musique arabe auprès de Mohamed Jamoussi et les musiques du monde présentes à Paris, c’est-à-dire quasiment toutes.

                              Il apprend le piano et le luth, l’harmonie et les règles de la composition musicale. Et comme cela ne lui suffit pas, il prend des cours chez le professeur Lamy, inspecteur des Conservatoires nationaux de musique de France… hachakoum, dirai-je !

                              A force de lire, il devient ami de son libraire français, un brave homme qui l’aidera à produire son premier 78 tours.

                              Il était sans doute le seul artiste algérien capable d’écrire directement une musique sur partition, du moins de cette origine sociale, du moins de sa génération. Même aujourd’hui, combien sont-ils, nos chanteurs, à disposer d’une véritable culture musicale et à maîtriser le solfège ? Ils devraient retenir la leçon du Kheddam, le travailleur qui, de son échafaudage, eut le courage de plonger dans l’univers de Beethoven !
                              Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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                              • #45
                                athyerham Rebbi attiwesa3 fellas, d y iwen ufennan amuqran igrnan azal i tizlit taqbaylit, ilaq ledjyal n lezzayer merra atissinen aken ilaq u atharzzen ayen idyedja d axxedim. akyerhem Rebbi a dda Crif Xeddam
                                Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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