Le FFS participera aux élections législatives
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En mathématiques ou en physique, quand un modèle et des hypothèses n'expliquent pas la réalité, c'est que le modèle est faux. Certains devraient revoir en profondeur leurs modèles d'analyse, et coller un peu mieux à un pays et ses réalités en pleines mutations....Othmane BENZAGHOU
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2/ Par sa participation, le FFS confère à ces élections une certaine crédibilité. Beaucoup de sceptiques iront voter ou du moins il vont se dire que finalement ces élections ne sont pas aussi bidon qu'on le croit.
C'est ce qu'on s'est dit aussi en 1999 mais Ait-Ahmed s'est retiré et a laissé Bouteflika tout seul. Si le seul FFS a tout ce pouvoir de donner ou d'enlever la crédibilité à une élection alors tant mieux car il pourra toujours se retirer après avoir participer à la sensibilisation de la population. Il faut savoir en effet que ceux qui boycottent seront empêcher de toute action. C'est l'embargo total.
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En 1999 il s'est non seulement retiré mais il a aussi réussi à convaincre les autres de se retirer. Mais cela n'a été fait que la veille (mercredi à 16H) L'information ne s'est même pas relayée et beaucoup de gens, ignorants le retrait des 6 candidats, ont été voter."Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
Socrate.
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En 1999 il s'est non seulement retiré mais il a aussi réussi à convaincre les autres de se retirer. Mais cela n'a été fait que la veille (mercredi à 16H) L'information ne s'est même pas relayée et beaucoup de gens, ignorants le retrait des 6 candidats, ont été voter.
Mais l'effet est là : le monde entier sait que Bouteflika était le seul candidat après le retrait des autres candidats. Le taux participation n'est qu'un détail puisque Bouteflika n'avait personne devant lui et cela la rendu plus qu'illégitime.
Pour la prochaine élection, si le FFS se retire après une compagne bien réussie alors tant mieux puisque ce qui compte c'est sensibiliser la société. Même si les gens voteront par la suite FFS, personne ne peut forcer ses élus d'être au parlement. L'enjeu est plus grand qu'un simple siège au parlement.
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Le choix entre la peste et le choléra n'était pas une phrase du FFS mais du RCD.
«Ni État policier, ni État intégriste. Choisir entre les deux c’est choisir entre la peste et le choléra.» dixit Hocine Ait-Ahmed lors du grand rassemblement du FFS à Alger au début janvier 1992 (c'est -à-dire entre les deux tours).Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...
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La fin du FFS ?
Je ne comprends pas pourquoi le FFS voudrait participer à cette mascarade, alors que ses membres savent pertinemment que les résultats sont courus d'avance.
Si le parti d'Ait Ahmed confirme sa participation à ces élections, c'est qu'il y a eu entente avec le FLN.
Sans quoi rien ne permet d'expliquer cette "participation alibi" qui va totalement à l'encontre des intérêts de la nation et du peuple algérien.
D'autant plus en cette période de "printemps Arabe" qui donnerait au boycott une résonance symbolique on ne peut plus forte.Dernière modification par GRAIN DE SEL, 03 mars 2012, 14h25.
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Le FFS participera aux élections législatives
Vu la conjoncture internationale, le retour des colonisations sous une forme nouvelle et les dangers de toutes sortes on peut dire que Hocine Ait Ahmed a privilégié la sagesse.
L'amour de l'Algérie et du peuple algérien a prévalu, mettre le pays à l'abri est la première priorité et le dernier combat de ce grand moudjahid.
Et si jamais le narcissique régime acceptait le jeu des urnes, ça sera joindre l'utile à l'agréable ... et pourquoi pas, possiblement que le prochain gouvernement sera FFS.وإن هذه أمتكم أمة واحدة
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Oui il faut voter et ne pas laisser les islamistes seuls dans la maison comme te dis .
le pouvoir et les dollars changes les hommes
parlait ainsi le 3 décembre 2011 s’appelle Bouguerra Soltani, président du parti islamiste MSP (Mouvement de la société pour la paix). A 57 ans, Soltani, ancien imam devenu ministre d’Etat, rêve de conquérir le pouvoir. Les Algériens sont-ils prêts à être gouvernés par un parti islamiste dont le chef est associé à diverses affaires de corruption ? Plongée dans les grandes affaires de Bouguerra Soltani.
Bouguerra Soltani cultive l’art de passer entre les gouttes. Mouillé dans divers scandales de corruption au cours des quinze dernières années, le chef du MSP qui vient d’annoncer son retrait de l’alliance présidentielle a su éviter les écueils judiciaires au point de paraitre devant l’opinion comme un intouchable. Présumé corrompu, toujours intouchable.
Les 17 milliards des retraités partis en fumée
Janvier 2007. Le procès de l’ex-milliardaire Rafik Khalifa, poursuivi pour corruption, prévarication et dilapidation, s’ouvre au tribunal de Blida.
Parmi les personnalités citées dans le cadre de cette affaire pour avoir obtenu des largesses de la part de l’ex-homme d’affaires figure le nom de Bouguerra Soltani.
Comment son nom est-il mêlé à ce scandale?
Selon Djamel Guelimi, l’un des bras droits de « Moumen » Khalifa, Soltani est intervenu auprès du milliardaire, aujourd'hui incarcéré dans une prison de Londres, pour faire embaucher son frère dans une succursale du groupe Khalifa à Paris.
L'affaire s'est conclue mais pas pour longtemps. Le frère Soltani a certes travaillé pendant une semaine à Paris, mais il a été viré au bout d'une semaine d'embauche pour défaut de maitrise de la langue française.
Les responsables de la CNAS et de la CNR paient, pas Soltani
Si ça ne tenait qu'à ce détail...
C'est que durant le même procès, le nom de Soltani est également cité par des nombreux prévenus pour avoir avalisé, à l’époque où il était ministre du Travail et de la Protection sociale, le dépôt de 17 milliards de dinars dans la Banque Khalifa, argent qui appartenait à la Caisse nationale de retraite (CNR) et la Caisse nationale d’assurances sociales (CNAS).
La décision, outre qu’elle fut contraire à la réglementation, avait provoqué une crise de paiements des retraités en 2002, les 17 milliards étant partis en fumée.
Alors que les responsables de la CNR et de la Caisse comparaissent en qualité de prévenus –certains ont été condamnés à de lourdes peines de prison -, Bouguerra Soltani lui s’est présenté à la barre en tan que témoin.
Devant la juge Fatiha Brahimi, le chef islamiste nie être intervenu auprès du banquier déchu, dit ne pas « être responsable de son frère » avant de s’offusquer que l’on cite uniquement son frère.
« Pourquoi parlez-vous de mon frère uniquement et pas des 21 000 autres employés de Khalifa ? », s’est-il exclamé avant de quitter le tribunal de Blida libre.
Le scandale de la pêche au thon qui éclabousse Soltani
Juillet 2010. La Cour d’Annaba, à l’Est d’Algérie, condamne en appel quatre Algériens et cinq ressortissants turcs à des peines allant de un à trois ans de prison ferme.
Les 9 prévenus étaient poursuivis pour « contrebande », « pêche non autorisée dans les eaux territoriales algériennes » et « trafic d’influence et évasion fiscale » ?
Parmi les condamnés figure le nom du secrétaire général du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, du reste cadre au sein du MSP, cadre du ministère officiant sous l'autorité de Bouguerra Soltani.
Les faits jugés remontent à la période (1996-1998) durant laquelle Soltani occupait les fonctions de secrétaire d’État à la pêche.
Selon des comptes rendus de presse de l’époque, le chef des Frères musulmans serait impliqué dans des contrats douteux accordés à des sociétés chinoises dans le cadre de cette affaire.
Son secrétaire général trinque, mais Bouguerra Soltani parvient à sortir indemne de ce scandale.
Autoroute Est-Ouest, le MSP grand bénéficiaire de marchés truqués ?
Septembre 2009. Le DRS lance des investigations sur des transactions douteuses liées à la réalisation du projet de l’autoroute Est-Ouest.
Au fil des auditions, les officiers des services secrets algériens mettent à jour un vaste réseau de corruption constitué d’hommes d’affaires algériens et étrangers, de hauts cadre de l’Etat, de ministres et d’officiers de l’armée, lesquels auraient bénéficié de largesses dans le cadre de l’attribution de ce projet. Ces largesses se chiffrent à plusieurs centaines de millions de dollars.
Parmi ces bénéficiaires figurent notamment le nom d'un homme d’affaires, Adou Tadjedine, proche du MSP, ainsi que celui d’Oussama Soltani, fils du ministre Bouguerra.
Oussama Soltani, sus-traitant influent
Dans l’enquête préliminaire bouclée par le DRS le 6 octobre 2009, le nom d’Oussama revient à plusieurs reprises.
Au terme de cette enquête, on y apprend que le rejeton a créé en 2005 une entreprise de BTP en association avec une des connaissances.
Oussama Soltai aurait ainsi servi d’intermédiaire pour l’octroi, au profit d'une entreprise française, d’un contrat de 60,4 millions d’euros dans le cadre de la réalisation du tronçon ouest de l’autoroute, tronçon confié à une entreprise chinoise.
Selon des informations jamais démenties par Bouguerra Soltani, son fils a également obtenu en 2006 une aide de l’Etat de 400 millions de dinars (5,3 millions de dollars) pour l’achat d’un bateau de pêche.
Ce crédit bancaire aurait été obtenu en contrepartie d’une garantie, avancée par Oussama Soltani, d’un marché en sous-traitance dans le cadre du projet de l’autoroute.
En dépit de ces fortes présomptions de concussion, en dépit du tombereau de révélations parues dans la presse, ni le ministre des Travaux Publics, Amar Ghoul, cadre du MSP, ni le fils de Soltani, n’ont été cités à témoigner.
Le ministre des Travaux publics, qui s’est contenté de répondre par écrit au juge instructeur, nie toute suspicion de corruption, de trafic d’influence ou d’enrichissement illicite alors qu’il reste le maitre d’œuvre de ce projet.
Rarement le nom d’un chef d’un parti politique n’aura été autant associé à des affaires de corruption comme celui de Bouguerra Soltani.
Lire également sur le même sujet
Lire l'article original : Khalifa, marchés truqués du thon, autoroute Est-Ouest : Les grandes casseroles de Soltani |- Dernières nouvelles d'AlgérieÉclairer les nations encore obscures.
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Madjid : Choisir entre la peste et le choléra était une formule de said Sadi. Ait Ahmed avait le slogan: Ni état intégriste, ni état policier.
Laisse-le continuer dans sa bêtise. La petite phrase de " choisir entre la peste et le choléra" était utilisée pour la première fois en Algérie par Said Sadi après l'interruption du processus électoral. Appelé à s'expliquer sur son choix de soutenir le pouvoir, Said Sadi avait répondu à l'époque qu'entre la peste et le choléra son choix est fait. Il faisait allusion à l'époque au FIS et au pouvoir.
La FFS a répondu par une grande marche où on pouvait lire "Ni Etat intégriste, ni Etat policier". C'est à dire que les deux sont à exclure et qu'il n'y a pas lieu de choisir.
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Beaucoup de gymnastique pour expliquer la participation du FFS aux prochaines échéances électorales !
Les uns dissèrtent d'après leur intuition, les autres par certitudes dénoncent des accords souterrains ....
Alors que notre ami Ott leur donnait un judicieux "conseil" :
En mathématiques ou en physique, quand un modèle et des hypothèses n'expliquent pas la réalité, c'est que le modèle est faux. Certains devraient revoir en profondeur leurs modèles d'analyse, et coller un peu mieux à un pays et ses réalités en pleines mutations....
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Hocine Aït Ahmed, « considère que la participation est une nécessité tactique pour le FFS et s’inscrit en droite ligne dans notre stratégie de construction pacifique de l’alternative démocratique à ce régime despotique, destructeur et corrompu ».
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il faut interdire l election a tout les partis islamistes
les gens vont voter bettement "islam" et non sur un programme economique qui permettrait a notre pays de sortir du tiers monde
pas de democratie aux ennemis de la democratie
et la constitution est claire la dessus
la religion ne doit pas sortir de la mosquee
donc il faut un coup d etatThe truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
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